Comparaison Platon Descartes

ECPLICATION DE TEXTE : HEGEL La critique de la philosophie est, comme on peut le constater chez Platon, fort ancienne, et aujourd'hui encore, la philosophie est suspectée d'être à la fois difficile, comme sont les sciences les plus abstraites, mais, de plus, parfaitement inutile. Tout juste pourrait-elle servir à dégourdir un peu l'esprit des élèves, à condition de ne pas leur faire prendre vraiment l'entreprise au sérieux: il y aurait, des choses bien plus importantes. Selon ce point de

et de satisfaction ne serait -il pas d'une longue durée auquel cas, son état correspondrait alors à une définition du bonheur ? Mais dire que l'Homme peut un jour satisfaire tous ses désirs n'est ce pas se méprendre quand on sait que, comme l'a dit Platon, l'Homme est insatiable et aura toujours des désirs ? Ces questions nous amènent à nous demander si l'Homme peut réellement satisfaire tous ses désirs et si cette satisfaction qu'un Homme peut éprouver peut lui permettre d'atteindre le bonheur.

lui parviennent. Il semble avoir distingué les sensations de la pensée. De toute manière, il eut le mérite de voir que le cerveau jouait en cela un rôle privilégié, puisqu’on admettait avant lui que le sensorium commune était le cœur. Hippocrate et Platon conserveront son importante découverte, mais Empédocle, Aristote et les stoïciens reviendront à l’idée ancienne. Les quatre éléments d’Empédocle. Dans son œuvre, on y retrouve la plupart des éléments qui fondaient les doctrines de ses prédécesseurs :

Dissertation de Littérature Gargantua de François Rabelais Sujet 1 (8 points) : Répondant aux pèlerins qui viennent d’exprimer leur admiration pour Grandgousier, Gargantua, citant Platon dit : « Les républiques seront heureuses quand les rois philosopheront, ou quand les philosophes régneront ». En quoi Grandgousier peut-il être qualifié de roi philosophe ? François Rabelais est l’auteur du roman humaniste Gargantua. A cheval sur deux époques, le XVème et le XVIème siècle, Rabelais assiste

✓ Chapitre3 : La conscience, l’inconscient et le sujet Page 4 ✓ Chapitre 4 : Le Désir Page 7 ✓ Chapitre 5 : La Raison et le Réel Page 9 ✓ Chapitre 6 : La Vérité Page 10 ✓ Chapitre 7 : L’allégorie de la caverne de Platon Page 12 ✓ Chapitre 8 : L’Art Page 15 ✓ Chapitre 9 : Le Vivant, la matière et l’esprit Page 17 ✓ Chapitre 10 : La culture Page 19 ✓ Chapitre 11 : La Démonstration Page 20 ✓ Chapitre 12 : Le Travail Page 21

c'est ce qui ne peut pas ne pas être , ce qui s'oppose au contingent. La science peut aussi être soit réduite à la connaissance scientifique soit associé au savoir en général, à la connaissance. Dès lors, le sujet demande de s'interroger, dans une comparaison avec la science, sur l'utilité de l'art, sur le rapport de l'homme avec la création artistique aussi bien en tant qu'amateur que de créateur. On pourrait dons associer à ce sujet 2 questions: l'art est-il moins utile que la science ( utile au sens

 appelées  principe  :  un  principe  est  selon  Descartes  une   connaissance  dont  dépend   • • • o la  connaissance  des  autres  choses.  (voir  les  «  Médita1ons  Métaphysiques  »  de  Descartes,   ainsi  que  la  «  Le:re   de  préface  aux  principes  de  la  philosophie  de  Descartes  »).  La  science   peut   être   en   ce   sens

Faculté de juger : prendre position par rapport a ses idées, émettre un jugement. Monde sensible : niveau de connaissance de l’opinion, reste au niveau des apparences et des illusions. (Platon) Monde intelligible, des Idées : Le Beau en soi, le Bien en soi… Il s’agit d’atteindre l’essence des Choses. (Platon) Le souverain bien : vouloir connaitre le bien, sans but, il est bon pour lui-même, parce qu’il est à lui-même sa propre finalité. Essentialisme : tendance philosophique, communes à

dans les établissements universitaires, instituts et autres structures, l’on oublie souvent de préciser qu’il s’agit de la « recherche de la Vérité », que la curiosité humaine désire tant, par nature. Depuis le Discours de la méthode de René Descartes, plus personne n’ose entreprendre une recherche scientifique quelconque sans la soumettre à la discipline, à la rigueur et à la vigueur d’une méthode de conduite du processus cherchant dont la pertinence par rapport à la nature de l’objet d’étude

phénomènes ou de la réflexion des vérités universelles, selon qu’on est empiriste ou rationaliste. Or tout raisonnement nécessite des prémisses, à l’image du syllogisme, c’est-à-dire une axiomatique et un système de pensée. Notons que le cogito de Descartes, énoncé alors qu’il ne considère plus rien comme vrai, n’est pas une déduction, malgré la proposition « donc » : « Je pense donc je suis » (Méditations Métaphysiques). Il est le fruit d’une intuition, mon existence s’offrant à moi à travers ma pensée