Comparaison Platon Descartes

les frontières établies entre les songes et le réel. le récit conteste l'habilité qu'à l'homme à tracer ces frontières. On serait en présence de l'application du doute absolu de Descartes. Un doute porté sur la dissociation humaine des faits et des songes. De plus, Raymond Queneau fait certainement aussi référence à Platon et sa citation "rêve à la place du rêve" qui amorce le roman. Une citation qui montre aussi la confusion entre l'illusion et la vérité. Ensuite, on trouve aussi dans le roman une

réalité et transforme cette réalité. Ici contrairement à ce qu’on va trouver chez les modernes, il n’y a pas de scission entre la vérité et la réalité. Leçon inaugurale du collège de France : « L’Ordre du discours », Foucault : entre Hésiode et Platon : s’est opéré un nouveau partage à travers lequel la vérité s’est trouvé redéfini. L’idée sur laquelle insiste Foucault c’est que dans un premier temps avec ces rois de vérité, le discours vaut par son énonciation et donc pour pouvoir valoir, ce discours

apparait comme plus fondamentale que les sciences car les sciences naissent en se détachant de la philosophie (ex: économie). Autres définitions: Platon: Il donne l'anecdote de Thales de Milet (fin 7e s et début 6e ANC). Thales tombe dans un puits et une servante se serait moque de lui car il s'intéresse aux choses qui l’entourent. Platon donne son explication et celles-ci diffèrent de celle d'Heidegger (allemand du 20e siècle). Sa conclusion est: 1. les philosophes ne s'intéressent pas

besoin de se créer un monde à eux afin de s’y réfugier ou tout simplement, pour ne plus être seul et ne pas s’ennuyer. La pensée antique ne reconnait pas à l’imagination de rôle légitime dans la connaissance. Platon situe l’eikasia qui est une représentation imagée. C’est une comparaison au degré le plus bas de la connaissance, à l’égalité avec les sensations, en l’affectant d’une connotation négative, car l’assimilation d’une représentation à une autre peut être trompeuse. Les auteurs antiques

L'opinion est une chose qui est délicate en philosophie, celle-ci est beaucoup critiquée car, elle n'est pas fondée sur la raison. D'après Platon dans L'allégorie de la caverne l'opinion existe mais celle-ci n'est pas fiable, nous sommes enfermées dans nos opinions mais nous pouvons en sortir . Dans cet extrait l'auteur développe l'idée de l'opinion aussi, tout en parlant de l'histoire de la philosophie. Les thèmes abordés sont donc l'histoire de la philosophie, l'opinion général & l'opinion

correspond à la « réelle réalité », si elle est universelle. D'autre part, le mobilisme, thèse soutenue par Héraclite qui disait « On ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve. » insiste sur la constante mobilité du monde sensible. C'est ce que Descartes met en évidence dans sa seconde méditation avec l'exemple du morceau de cire. La certitude sensible qu'il avait en observant un morceau de cire, sa couleur, son odeur etc. est mise en doute dès lors qu'il l'approche du feu : le morceau de cire a

réflexions, mieux vaut ce référer a Platon. Il nous laisse aucun choix quand ta se poser des questions sur soi-même mais le silence est de mise. A plusieurs, nous pouvons toujours poser une question qui peut changer notre pensée sur un objet et surtout qui peut nous faire changer d’avis. Alors qu’en solitaire, une méditation traverse nos esprits plusieurs moments après, qui nous repousse à ce poser des questionnements de réflexion générale. Ceci nous ramène à Descartes qui s’est longtemps questionné

sérieusement de savoir si cet énoncé est vrai ou faux. Toutes nos idées premières sont en ce sens des opinions, c’est-à-dire des préjugés, des « a priori », des idées toutes faites. On les croit vraies mais on ne sait pas si on a raison de le croire.   Cf. Descartes :  » Il y a déjà quelque temps que je me suis aperçu que, dès mes premières années, j’avais reçu quantité de fausses opinions pour véritables, et que ce que j’ai depuis fondé sur des principes si mal assurés, ne pouvait être que fort douteux et incertain ;

du bonheur (ataraxie), qu'il conçoit comme une absence de troubles. Si seule la douleur est positive, le plaisir serait alors simplement l'état dans lequel on ne souffre pas (ex : plaisir de ne plus subir la douleur de ces chaînes dans le Phédon de Platon, qui ne défend pas cependant une conception négative du plaisir). 1) Schopenhauer : négativité du plaisir Selon lui, nous prenons conscience de ce qui est plaisant seulement quand on en est séparé. La chance et le plaisir (santé, jeunesse) apparaissent

« l'homme est conscience de soi. Il est conscience de soi, conscient de sa réalité et de sa dignité humaines, et c'est en ceci qu'il diffère essentiellement de l'animal, qui ne dépasse pas le niveau du simple sentiment de soi » KOJèVE Le cogito, DESCARTES Le sujet prend conscience de lui-même par le fait qu'il pense d'où « je pense donc je suis » = cogito ergo sum; cela signifie que le sujet possède une conscience et c'est à partir de celle ci que l'on peut connaître la réalité. Le cogito représente