Comparaison Platon Descartes

régime politique lié à l’ethos de la Cité, mais sans lui ôter une dimension polémique typique des débats d’idées chez les anciens Grecs. En effet, des politeiai idéales se sont multipliées chez les théoriciens grecs : les modérés ou conservateurs, tel Platon, ont pour but de diminuer la licence populaire ; d’autres au contraire, tel Démosthène, veulent lutter contre la tyrannie et l’autorité personnelle. Mais au-delà de cette dimension strictement politique et polémique, Aristote fait de la Constitution

d'art baule. Cela autorise L. Stéphan à écrire que «l’esthétique yoruba [...] est à l’art yoruba ce que la philosophie platonicienne de l’art est à l’art du temps de Platon». Si cette analogie, prise au sens large, est acceptable, elle est contestable dans une fine analyse de l’hypothèse. En effet, s'il est possible d'admettre chez Platon une pensée de l'art, il est impossible de percevoir dans la philosophie platonicienne une «esthétique»19. Dans cette philosophie, la définition de l'art s'ouvre

PLATON PROTAGORAS. — Il y a eu un temps où les dieux existaient seuls, et où il n'y avait encore aucun être mortel. Lorsque le temps destiné à la création de ces derniers fut venu, les dieux les formèrent dans les entrailles de la terre, en mêlant ensemble la terre et le feu et les deux autres éléments qui entrent dans la composition de ces deux premiers éléments. Mais avant que de les laisser paraitre à la lumière, ils ordonnèrent à Prométhée et à Épiméthée de les orner et de leur distribuer toutes

le premier à avoir dit qu’il fallait renoncer réfléchir à la justice. Il considère que l’homme est un être faible, misérable qui vit dans une fragilité morale et intellectuelle. Pour lui, seul Dieu peut sauver et conduire l’homme. Pascal critique Descartes qui était confiant dans la raison. Pascal pense que la limite est une des raisons que l’on peut penser. Texte 28 : l’homme ignore ce qu’est la justice selon Pascal. S’il la connaissait, l’éclat de l’équité aurait assujetti tous les peuples. Texte

d’embrasser ce Tout, voire qui l’engendreraient. Le paradoxe qui frappe toutes ces solutions, où on aura reconnu l’Être, cher aux Grecs, Dieu, tel qu’il a été privilégié par les penseurs du Moyen Âge, ou le sujet, mis en avant à la période moderne avec Descartes, c’est que ce sont des réponses à la question de ce qui est premier. En tant que réponses, elles se détruisent, puisqu’elles font l’impasse sur le questionnement auquel elles renvoient en tant que réponses. Il ne compte pas : cela suppose une

démarche exige la capacité de vous faire à vous-même les objections qu’un autre sujet pensant pourrait vous faire. C’est pourquoi Hannah Arendt disait que dans l’activité pensante on est deux ou plusieurs en un. La pensée a une essence dialogique. Platon disait que « la pensée est le dialogue de l’âme avec elle-même ».     Ainsi, les difficultés de la thèse (réponse à la première question) suscitent la formulation de nouveaux problèmes et débouchent sur l’énoncé de l’antithèse. Celle-ci n’est donc

l'ambiguité du désir car d'un côté ce désir est le cruel constat que l'on manque de quelque chose dont l'absence est douloureuse / de l'autre le pressentiment, anticipation d'une chose qui nous satisfera. D'où le problème : les philosophes s'opposent : Platon, Pascal, Schopenhauer qui affirment que désirer c'est souffrir et la satisfaction qu'apporte le désir est seulement la diminution et la disparition de la douleur donc ce n'est qu'un plaisir négatif. Les autres philosophes, Aristote mais surtout Rousseau

que l'homme n'existe jamais seul ? Dois-je tenir compte de ce que font les autres, pour orienter ma conduite? (Autrui) Respecter autrui, est-ce respecter en lui la personne humaine ? (autrui,) Peut-on dire que le racisme repose sur la peur de la comparaison ? " Peut-on vaincre la peur de l'autre ? ". J'ai consulté votre réponse, cependant, je voulais savoir combien je devais faire de parties dans mon plan avec un tel sujet ? Est-ce que je dois dire " oui " puis " non " ou pas ? (Autrui) A quoi reconnaît

PLATON (1935) LÉON ROBIN (1866 - 1947) Édition électronique (PDF, ePub) v.: 1,0 : Les Échos du Maquis, 2011. 2 Note sur cette édition électronique! Avant-propos! Chapitre I • La vie et les écrits! Biographie! Écrits! 5 6 8 8 18 Chapitre II • Qu'est-ce que savoir?! Chapitre III • La méthode du savoir! I! II! III! IV! 36 48 48 51 53 58 Chapitre IV • Phénomènes et choses! I! II! III! IV! 67 67 77 90 95 Chapitre V • Le monde, l'âme et la divinité! I! II! III! IV!

siècle, notamment par une analyse critique de la crise de la culture vécue aujourd’hui dans le rejet de la tradition, quand   longtemps la tradition lui servit de guide. I.1 Paragraphe1 La tradition de pensée politique s’illustre dans la doctrine de Platon, et notamment dans l’allégorie de la caverne, qui peut être considérée comme le commencement de la tradition de pensée politique. Dans sa volonté de s’en affranchir, voire de la nier, Marx en fixe la fin et paradoxalement en affirme la puissance.