Cas Sphère

complètement de la phase gazeuse - cf. figure 1.1. (2) La particule est immergée partiellement dans le liquide (profondeur x) - cf. figure 1.2. L’énergie libre interfaciale totale du système est notée E1 et E2 dans les cas (1) et (2) respectivement. On donne la surface d’une sphère de rayon r: ASphère = 4r2 et la surface de la calotte sphérique de hauteur x (c'est-à-dire l’aire de l’interface solide/liquide sur la figure 1.2): ASL = 2rx. On notera les énergies d’interfaces solide/liquide, solide/gaz

graphiques de type « Bulles » poussent les « nuage de points » plus loin avec l’ajout d’une troisième valeur pour expliquer une donnée du graphique. En plus des coordonnées X et Y, la taille de la sphère détermine son importance par rapport aux autres. Remarquez dans l’exemple à la gauche que les sphères sont de plus en plus grandes. Un graphique de type « radar » permet de comparer plusieurs variables en même temps. C’est pour cela qu’il faut lire le graphique en partant du milieu en allant vers

Aberration sphérique : Lorsque les rayons lumineux qui passent par les bords de la lentille ne convergent pas sur le même plan que les rayons passant par le centre, il y a aberration sphérique. Dans ce cas il est impossible d'obtenir une image nette sur les bords et au centre. Les aberrations Il convient à présent de se familiariser avec la notion d'aberration. On parle d'aberration quand une partie des rayons lumineux qui forment l'image d'un point (ou une étoile) sont dirigés à l'extérieur

de l’éclatement d’une bulle de savon L'éclatement d'une bulle de savon peut être dû soit à : 1- La rupture de la membrane de la bulle s'il y a une perturbation brutale (c'est-à-dire si l'on touche la bulle et que de l'air rentre). Dans ce cas la bulle éclate car la pression à l'intérieur augmente. A partl'éclatement par contact direct avec une bulle, on peut voir qu'une bulle au bout d'un certain temps éclate d'elle-même. Nous allons essayer d'expliquer pourquoi . D’abord il est necessaire

J’ai découvert leur société, leur mode de vie, leur culture et leur alimentation. D’un point de vue matériel, il semble que cet espace puisse, effectivement être un territoire de secours, si nous devions chercher à coloniser une autre planète dans le cas où la notre aurait besoin de s’étendre. Certes, les humains semblent avoir déjà beaucoup exploité et même gaspillé les ressources naturelles, mais en y faisant régner le respect et l’éducation que nous avons su, pour notre part, développer, rien n’est

¨ ¦§©¨ ¦§§©¨ §§¦ ¦ ¦ ¦ ¦ ¦ ¦   ¢ ¤ a. Démontrer que le point H a pour coordonnées : a a a , , . 3 3 3 £ ¢ b. Démontrer que le tétraèdre ABCD est régulier (c'est-à-dire que toutes ses arêtes ont même longueur). c. Soit Ω le centre de la sphère circonscrite au tétraèdre ABCD. Démontrer que Ω est un point de la droite (OH) puis calculer ses coordonnées. BAC S 2003 Page 2 ¡   G. COSTANTINI Exercice 2 Spécialité (5 points) Les questions 3 et 4 sont indépendantes des questions

Correction des exercices du Chapitre II Dessinez les solides suivants en perspective cavalière. Rappelez leur volume. - un prisme à base triangulaire - un cylindre - un tétraèdre - une pyramide à base carrée - un cône - une sphère /!\ Ces tracés et leurs formules sont à connaître sur le bout des doigts. /!\ 1) Le prisme à base triangulaire Prisme droit Prisme pas droit V = B×h V = B×h 2) La pyramide à base carrée et le tétraèdre Pyramide à base carrée V = 1 × B×h 3 Tétraèdre (Pyramide à

II.4 Autres formules du cas général II.4.1 Relations importantes (p.32) II.4.2 Analogies de Gauss ou de Delambre (p.33) II.4.3 Analogies de Napier (p.34) II.4.4 Formules utilisant les déterminants (p.35) II.5 Expressions diverses de l'excès sphérique II.5.1 Aire du triangle sphérique (p.36) II.5.2 Autres formules (p.41) II.5.3 Formule de l'Huilier (p.43) II.6 Résolutions systématiques (p.45) II.7 Autres résolutions (p.50) III Comparaison avec le triangle du plan III.1 Cas d'isométrie de deux triangles

surface. L'unité de tension superficielle (N·m-1) est équivalente à des joules par mètre carré (J·m-2), qui correspondent à une unité d'énergie de surface. On peut définir cette énergie d'interface comme étant le surplus d'énergie chimique par rapport au cas où ces molécules se trouveraient à l'intérieur du liquide et non à sa surface. 2° Propriétés et conditions d’existence Une liaison de Van der Waals est une interaction électrique de faible intensité entre atomes, molécules, ou entre une molécule et

milieu de [BC] ; l’égalité précédente peut s’écrire : GI − IA + GI + IB + GI + IC = → − − − → → → − − → − → 0 ⇐⇒ −IA + GI = 0 ⇐⇒ GI = IA ⇐⇒ G est le milieu de [AG]. Vraie 5. On a vu que BC2 = 18 ⇐⇒ BC = 3 2. La distance de C au plan P est égale à : la sphère et le plan sont sécants. Vraie |1 + 6 − 5| 12 + 32 = 2 10 = 10 < 3 2. Donc 5 E XERCICE 2 Candidats ayant choisi l’option mathématiques 6 points 2. Pour z = 5, on obtient 5 = x 2 +2x + y 2 +1 ⇐⇒ x 2 +2x + y 2 −4 = 0 ⇐⇒ (x +1)2 − 1 + y 2 −