Cas Pratique Vice Caché

cas pratique droit des contratsbCas pratique Un particulier achète des parcelles de vignobles avec l’intention d’en faire une exploitation viticole. Antérieurement à l’achat, l’acquéreur informe le vendeur de sa volonté d’exploitation. Seulement il découvre après la vente que le domaine ne dispose pas d’autorisation d’exploitation. En réponse, le vendeur se prévaut d’une clause de non-garantie présent dans le contrat. Par conséquent, l’acquéreur cherche par quels moyens il peut agir contre son

consommateur en l’eclairant en l’informant et a réglementer voir interdire certaine pratique commercial. La formation des contrats Droit à l’information : L’art L.111-1 du code de la consommation indique que tout professionnel vendeur de bien ou de prestation de service doit avant la conclusion du contrat mettre le consommateur en mesure de connaitre les caractéristiques essentiel du bien ou du service .en cas de litige c’est au vendeur de prouver qu’il a exécuter cette obligation. Le

fonction des eusses et des coutumes, que la société suppose mais que la loi n’impose pas. A mi-chemin entre l’obligation morale (bien/mal) et l’obligation juridique Obligation sans conséquence en matière juridique car non sanctionnée Rq : Dans la pratique certaines obligations naturelles peuvent se transformer en obligation juridique : ex Au sein d’une famille les parents meurent, le frère veut prendre en charge ses frères et sœur (obligation naturelle) il va donc faire la démarche de devenir tuteur

dans le système de la Convention de Bruxelles de 1924 comprend trois principes : 1) Le transporteur est présumé responsable des dommages causés à la marchandise qu'il a prise en charge. 2) Le transporteur peut s'exonérer en faisant la preuve des cas exceptés. 3) Le chargeur (ou le destinataire) peut mettre en cause la responsabilité du transporteur en faisant la preuve de sa responsabilité. Néanmoins, durant les premières années d'application de la Convention de 1924 il y eut une hésitation

précise, ferme et définitive. Si le bénéficiaire accepte, le Ctt de vente est formé. Si le bénéficiaire refuse, le promettant retrouve sa totale liberté contractuelle. 3. La violation du pacte de préférence Quelles sont les sanctions applicables en cas de violation du pacte ? Le promettant engage sa responsabilité contractuelle. Le bénéficiaire peut obtenir des DI pour le préjudice subi. Le bénéficiaire peut obtenir la nullité de la vente dès lors qu’il a établi qu’il y a une fraude. La fraude implique

pas acquise, ou n'en aurait donné qu'un moindre prix, s'il les avait connus » (article 1641 du Code civil). La garantie des vices cachés dans la vente a subi une évolution importante dans le sens de l'extension afin de protéger l'acheteur. Dans la pratique des affaires, la garantie est devenue un élément de la politique commerciale. Les commerçants multiplient dans leurs contrats des clauses de garanties qui constituent, souvent un système de garantie différent de la garantie légale. Jusqu'à une époque

l’agréage. § III : Les ventes assorties d’une faculté de rétractation. § IV : Les ventes sujettes à un droit de préemption. Section II : Les règles spéciales à la chose, objet du contrat de vente. § I : Une chose susceptible d’être vendue. A) Le cas particulier des choses futures. B) Les choses inaliénables. C) La chose d’autrui. § II : Une chose nécessairement identifiée. Section III : Les règles spéciales au prix, condition de la vente. § I : Le prix doit être déterminé ou déterminable.

 Le dol est le deuxième vice du consentement prévu dans le code civil. On le trouve à l'article 1116 du code civil. Le dol est une tromperie destinée à surprendre le consentement de l'autre partie au contrat. C'est-à-dire qu'il y a eu un comportement malhonnête de l'auteur du dol. Contrairement à l'erreur où il n'y a pas eu de recherche pour tromper telle ou telle personne, cette fois on a cherché à tromper et le comportement a amené un vice du consentement. De cette manière, tout l'intérêt du sujet

catégories juridiques afin d’en déduire le régime juridique applicable. Exemple un prêt est accordé à une personne pour l’achat de son appartement et le prêteur exige que l’emprunteur obtienne l’engagement d’une tierce personne de payer à sa place, au cas où il ne rembourserait pas les échéances du prêt. L’article 2288 du Code civil dispose : « Celui qui se rend caution d’une obligation se soumet envers le créancier à satisfaire à cette obligation si le débiteur n’y satisfait pas lui-même ». En l’occurrence

prestations de chaque partie peut être exactement mesurée dès le 1er jour. Exceptions : - vente d’un coup de filet - vente d’une récolte sur pieds : la vente est transformée en un contrat aléatoire qui tient aux modalités de paiement de son prix. En cas de rente viagère et non paiement comptant il apparait une chance de gain ou de perte pour chacune des parties qui justifie notamment l’éviction de la lésion dans la vente d’immeuble : principe de l’aléa chasse la lésion. 3. Un contrat consensuel Le