Cas Pratique Trouble Anormal Du Voisinage

propriété le droit du propriétaire sur l’image de son bien. Le bien en question était un bâtiment, le 1er libéré en 1944 c’était le café Gondré. Il avait été photographié et on en a fait une carte postale commercialisée. Le propriétaire a trouvé anormal que l’on exploite son bien, la cour a approuvé que le propriétaire ait la maîtrise de l’image de son bien. Il a été confirmé par un arrêt du 5 janvier 2000 qui a repris la même solution avec deux apports intéressants : la cour a souligné que le bien

contre le risque résultant des travaux qu'il leur fait exécuter ". - L'activité est certes légale mais dangereuse. - Le préjudice doit être : - Anormal - Et spécial - L'administration doit procéder à l'indemnisation dont la mesure ou les risques sont excessifs par rapport à ce que doivent supporter les administrés dans l'intérêt général.  LES DIFFERENTS CAS DE RESPONSABILITE POUR RISQUE DEVANT L'ACTIVITE DE L'ADMINISTRATION : (on se limitera ici aux hypothèses classique : pas hospitalière)  A

droit personnel ! Propriété = droit réel ! La doctrine a remis en cause cette distinction au 19ème s. Planiol s’est demandé si la propriété était vraiment un droit réel. ATTENTION : La difficile distinction entre droit réel et droit personnel en pratique. Ex : Mon voisin de palier n’est pas propriétaire de son appartement, pourtant il l’occupe de façon légale. Droit réel ou personnel ? - Contrat de bail (si mon voisin de palier est un locataire) : droit personnel. - L’usufruit (si mon voisin

des réparations en nature. En cas de préjudice, la réponse de base c’est la responsabilité civile, mais certains textes prévoient des sanctions spécifiques. Par ex : en cas de vice caché, la sanction est prévue dans les textes du code civil, elle peut être des dommages et intérêts mais il peut s’agir également de la résolution de la vente. Quand le législateur n’a pas prévu de sanction spécifique, dans ce cas on agit sur le fondement de la responsabilité. (c’est le cas la plupart du temps). Responsabilité

de l’extraction de minerais. Les travaux nécessités pour l’extraction n’étant l’accessoire de la servitude. Enfin une servitude peut être collective lorsqu’elle crée des obligations réciproques entre les propriétaires de fonds. C’est notamment le cas des lotissements dans lesquels certaines obligations de ne pas faire concernant par exemple le style des maisons, sont imposés a chaque propriétaire au profit de la collectivité. Les conséquences incertaines. 1°) Les closes d’habitation ou de

simplification s’est manifestée dans le choix qui a été fait de s’interroger systématiquement sur la pertinence d’un certain nombre de distinctions pour se demander si celles-ci présentaient encore une utilité suffisante pour devoir être maintenue. En cas de réponse négative, elles ont été supprimées. Ainsi en a-t-il été, à titre d’exemple, des distinctions des servitudes apparentes et non apparentes, continues et discontinues. La commission a pensé que de telles divisions traditionnelles n’avaient plus

exploitation temporaire »). Cela signifie que l’auteur a seul le pouvoir d’exploiter son œuvre, il peut s’opposer à ce que des tiers y portent atteinte. Diversité des biens incorporels L’ensemble des biens corporels obéit en tout cas à bien des égards, à un même corpus de règles. Les biens incorporels quant à eux sont soumis à diverses réglementations autonomes, leur régime est fonction de leur objet. L’objet concernant certains droits intellectuels, est une clientèle (fond de commerce

différentes actions est parfois purement vitale: se nourrir, se vêtir ou se loger. C'est une matière qui va concerner de nombreuses professions juridiques: avocariat, notariat et les juristes en immobilier. Il y a également beaucoup de conflits de voisinage que l'on résout à l'aide du droit des biens. Par exemple: si la haie d'un voisin gêne c'est le droit des biens qui nous aident quant à la hauteur maximale de cette haie. Plusieurs branches du droit s'intéressent également aux biens. On a par

majeure : Aucune des parties ne sera tenue pour responsable vis-à-vis de l’autre, de la non exécution d’une obligation au présent contrat, qui seraient dus au fait de l’autre partie ou à la survenance d’un cas de force majeure, c'est-à-dire d’un évènement extérieur, imprévisible et irrésistible. Le cas de force majeure suspend les obligations nées du contrat pendant toute la durée de son existence. 5. Article 121-7 du code pénal – Est complice d’un crime ou d’un délit la personne qui sciemment, par

majeure : Aucune des parties ne sera tenue pour responsable vis-à-vis de l’autre, de la non exécution d’une obligation au présent contrat, qui seraient dus au fait de l’autre partie ou à la survenance d’un cas de force majeure, c'est-à-dire d’un évènement extérieur, imprévisible et irrésistible. Le cas de force majeure suspend les obligations nées du contrat pendant toute la durée de son existence. 5. Article 121-7 du code pénal – Est complice d’un crime ou d’un délit la personne qui sciemment, par aide