Cas Pratique Sur Le Silence Ne Vaut Pas Acceptation

de réflexion, le pollicitant ne peut pas revenir sur son offre avant expiration du délai – responsabilité délictuelle engagée sur fondement de l'article 1382 du Code civil) et une acceptation ( claire, précise, non équivoque, pas contenir de réserves – sinon, contre-proposition, pas de consentement -). Dans la pratique, les contrats se font parfois entre absents : la pbmtique est de savoir QUAND le contrat peut-être formé, avec 2 théories qui s'opposent – la théorie de l'émission (qd la lettre est

affaires Emarger dès arrivée dans la salle Lire impérativement le syllabus Ouvrage de base : « Droit de l’entreprise » de Gensse Romy dans cyberlibris (site gratuit avec environ 5000 ouvrages). Lexique juridique présent à l’infothèque. Examen : cas pratique Contrôles : QCM (au moins seize). Toujours prendre un crayon papier et un stylo. Toujours garder ses notes et ses copies jusqu’à la fin de la première année. Amener un surligneur. Travailler sur droit. Légifrance : tous les codes sont présents

en droit français, pas de forme particulière, rencontre des consentements, pas nécessaire qu’il soit écrit. Contrat solennel : c’est un contrat qui pour exister doit prendre des formes particulières, tel que des actes authentiques, dans d’autre cas un acte sous seing-privé avec des mentions obligatoire. Contrat réel : le contrat n’est valide qu’a travers la remise d’une chose à une personne, contrat n’exister que par transfère de la chose. On dit en droit qu’il faut qu’il y ait une tradition de

une source du Droit international, juste après le traité, en la définissant comme « la preuve d’une pratique générale acceptée comme étant le droit ». 1 Les éléments constitutifs de la coutume Pour que l’existence d’une coutume soit consacrée, elle doit réunir deux éléments, l’un matériel, l’autre psychologique. ■ L’élément matériel Cet élément se matérialise par l’existence d’une pratique générale, c’est-à-dire la répétition dans le temps d’actes, de faits, de déclarations ou d’agissements

Il n’y a pas de règles légales pour la formation d’un contrat, les règles ont été dégagées par la jurisprudence. Partie 1 : L’échange des consentements. I-Les règles communes à tous les contrats. Un contrat est égal à une offre et une acceptation. Offre. Définition de l’offre. L’offre est la proposition ferme de conclure un contrat déterminé à des conditions déterminées. Cette définition permet de distinguer l’offre de situations proches, ainsi la simple proposition de

fondamental du contrat, ou droit savant c'est-à-dire la théorie générale du contrat (la notion de contrat, les classifications du contrat, les fondements et les grands principes de base). Mais c’est aussi le droit appliqué ou droit vivant c'est-à-dire la pratique du contrat. Pour le mot « du » ça veut dire du contrat en général. Sur le mot « contrat » on s’y attardera plus tard. 3) Avant propos sur le renouvellement des sources du contrat Au-delà des sources classiques (lois et code civil et

consommateur. Par conséquent, le droit de la consommation est inapplicable entre 2 professionnels, de même qu’entre 2 consommateurs (=particuliers). Ex : Le droit de répartir ou le droit de rétractation qui profitent aux consommateurs en cas de démarchage à domicile et en cas de vente à distance (internet, téléachat…). Ici, le consommateurs dispose d’un délai de 7 jours pour revenir sur son accord au contrat. Titre 1 : Les principaux contrats commerciaux. Le commerçant, l’artisan doit s’approvisionner

les États qui ont acceptés de se soumettre à la règle ne l'ont accepté que dans leur rapport avec les États qui l'ont accepté aussi. Ex : Convention de Motego Bay (droit de la mer). II. Un système anarchique dans sa production : - exigence acceptation par l'Etat de soumettre le litige à un juge pour que celui-ci statue. - juridictions internationales permanentes : ¤ Cour internationale de Justice : questions universelles ¤ CPI: question application droit international pénal par les particuliers

la parole. En droit il y a plusieurs types d’obligations. Dans le cours nous nous intéresserons aux obligations juridiques. Un vinculum juris signifie que si quelqu’un n’exécute pas son obligation, il peut être tenu juridiquement de l’exécuter (cas de l’exécution forcée). On dit que l’obligation est obligatoire et exécutoire, l’Etat est le garant de son exécution. Il y a des obligations dont le degré de juridicité varie. Il y a des obligations que le droit appelle des « obligations morales »

la parole. En droit il y a plusieurs types d’obligations. Dans le cours nous nous intéresserons aux obligations juridiques. Un vinculum juris signifie que si quelqu’un n’exécute pas son obligation, il peut être tenu juridiquement de l’exécuter (cas de l’exécution forcée). On dit que l’obligation est obligatoire et exécutoire, l’Etat est le garant de son exécution. Il y a des obligations dont le degré de juridicité varie. Il y a des obligations que le droit appelle des « obligations morales