Cas Pratique Sarl Ou Sas

Répartition selon le statut juridique: créations en 2012: EI 71% Sociétés 29% dont : socéités unipersonnelles (eurl, sasu) 10,8% SARL (hors EURL) 13,7% SAS (hors SASU) 3,2% autres sociétés 1,3% Statut juridique des E immatriculées au greffe du TC de Paris: 79 % concernent des EC 18% sociétés civiles 3% autres statuts (SEL,GIE..) Parmi les EC: 47 % SARL 28% SAS 1% SA 3% Commerçants Le choix d'un statut juridique est très important, il dépend d'un certain nombre de critères, variables

diriger et / ou représenter la société. En fonction de la forme du groupement, le dirigeant aura un titre différent. Pour les sociétés civiles, les SNC, les sociétés en commandite et SARL, il s’agit d’un gérant. Pour les SA, ce sera un président, un DG ou un président du directoire, selon la forme de la SA. Pour les SAS, il s’agira d’un président pour la représentation, et d’un directeur général ou directeur général délégué pour les fonctions d’administration. Enfin, pour le GIE, il s’agira d’un administrateur

par deux ou plusieurs personnes qui conviennent par un contrat d’affecter à une entreprise commune des biens ou leur industrie en vue d’en partager le bénéfice ou de profiter de l’économie qui pourra en résulter. Elle peut être instituée, dans les cas prévus par la loi, par l’acte de volonté d’une seule personne. Les associés s’engagent à contribuer aux pertes » Ce texte nous apprend une première chose : la société peut être pluripersonnelle ou unipersonnelle. Il convient de noter qu’au départ la

résulter. Elle peut être instituée dans les cas prévus par la loi par l'acte de volonté d'une seule personne. Les associés s'engagent à participer aux pertes." Article 1832 du Code civil. Considération fiscales et financières : Les bénéfices sont acquis à la société, les dettes sont celles de la société, les biens utilisés appartiennent à la société, c'est à dire ni à ses dirigeants, ni à ses associés. Considérations sociales : Le gérant non majoritaire d’une SARL comme le PDG d’une SA ont les avantages

Corrigés des cas pratiques Manuel DCG 2, Droit des sociétés France Guiramand et Alain Héraud Chapitre 1 LE CONTRAT DE SOCIÉTÉ Cas Sécurit 1. Vérification des conditions de constitution d’une société Conditions résultant de tout contrat Consentement non vicié, capacité du contractant, objet licite et moral, cause licite et morale. Application : Stéphane manifeste sa volonté de création, elle semble libre de toute contrainte ; étant majeur, il a la capacité juridique requise ; l’objet

aux besoins des dirigeants de l’entreprise. L’entrepreneur, qu’il soit commerçant, artisan, agriculteur, profession libérale… doit avant tout déterminer s’il souhaite exercer son activité seul, ou alors, par la constitution d’une société. Dans le cas d'une activité individuelle, ses droits et obligations vont différer selon la nature de son activité (civile, commerciale, artisanale ou agricole). Si le choix d’une société a sa préférence, encore faut-il déterminer les diverses formes sociales qui

service 42 1.2 Innovation de notre offre 42 1.3 Processus du service 43 2 Les aspects juridiques 45 2.1 Forme juridique: SARL 45 2.2 Forme juridique: SAS 46 2.3 Avantages et Inconvénients : SARL/SAS 47 2.4 Tableau comparatif général des deux formes juridiques 48 2.5 Choix de la forme juridique 49 2.6 Les différentes étapes dans la création d’une SARL 50 3 La communication 50 3.1 Objectif de la communication : 50 3.2 Panorama des moyens de communication : 50 3.3 Budget

fiscal Imposition au nom de l’entrepreneur (exploitant) dans la catégorie BIC (bénéfice industriel & commercial) ou BNC (bénéfice non commercial) Impôt sur le revenu 14/06/2013 Henri DANG Consultant 4 L’entreprise individuelle (EI) • En cas de déficit: le déficit est imputable (déductible) sur les autres revenus du foyer de l’exploitant l’année même 14/06/2013 Henri DANG Consultant 5 L’entreprise individuelle (EI) • Exemple: Salaire net imposable: 55 000 Revenus fonciers

: 9613-F2/2 2 W9613-F2/2 W9613-F2/2 3 THÈME 2. LES STRUCTURES ET LES ORGANISATIONS SÉQUENCE 05 LE CHOIX D’UNE STRUCTURE JURIDIQUE ........................................................................................... 5  LE CAS ............................................................................................................................................................. 5  Dossier 1 : Les motivations liées aux finalités du projet ............................

totalité ? Il s’agit de voir dans un premier temps pourquoi certains affirment que l’apporteur en industrie est un véritable associé (I) malgré quelques aménagements dus à la nature même de l’apport, pour dans un second temps constater la différence en pratique du statut de l’associé en industrie avec ceux des autres associés et déterminer ainsi la raison pour laquelle d’autres préfèrent voir en l’apporteur en industrie un associé de nom seulement (II). I) Un associé véritable L’associé en industrie