Cas Pratique Promesse Unilatéral De Vente

est de pouvoir être exécuté en justice. Il est possible lorsqu’on est créancier d’obtenir le concours de la force publique pour faire exécuter sa créance. l’obligation au sens littéral, qui elle constitue un devoir de conscience, comme par exemple le cas de la personne qui fait acte de charité. Elle n’est pas tenue juridiquement, elle remplie seulement un devoir moral.   obligations naturelles qui constituent des obligations qui ne sont pas juridiquement sanctionnées par le droit mais qui peuvent

Section VII - L'inexécution des obligations contractuelles. Section 1 - LA NOTION DE CONTRAT I - LE CONTRAT ET LES ACTES JURIDIQUES A - Je décide seul : l'acte est unilatéral B - Nous décidons par un accord de volontés l'acte est une convention II - CLASSIFICATION DES CONTRATS A - Contrat synallagmatique - Contrat unilatéral. B - Contrat à titre onéreux - Contrat à titre gratuit C - Contrat aléatoire - Contrat commutatif D - Contrat successif - Contrat instantané. La vie sociale est composée

sur les parties essentielles du contrat pour que le transfert s'opère. Par ce principe, il ne peut pas exister d'obligation de donner, c'est un effet automatique du contrat. Il ne peut y avoir d'obligation de donner en droit Français que quand la vente a été retardée. *L'obligation de faire : c'est l'objet de tous les contrats de service (SNCF, pressing...) de manière gratuite ou non . *L'obligation de ne pas faire : on attend du débiteur une abstention. Par exemple en ce qui concerne la confidentialité

 Droit Civil S1 Les obligations sont d’une importance pratique, elles sont omniprésentes dans la vie des hommes en sociétés. Exemple : obligation de payer le prix du journal, de la baguette de pain, ou encore l’obligation pour un parent lors d’un divorce de verser chaque mois une pension alimentaire, ou l’obligation de sécurité du transporteur maritime et l’obligation pour l’état de payer les 2000 Milliard de dettes publiques etc … La palette des obligations est d’une infinie variété.

présence d’un quasi-contrat2 ou bien on a passé une convention entre particulier3, est ce que cette convention comportait une obligation contractuelle d’assurer la sécurité de celui qui rendait le service ? La question maintenant est de savoir dans quel cas c’est comme cela, c’est une convention d’assistance, mais peut on admettre qu’il y a une convention ? Il faut que la relation entre les parties présente un certain niveau officiel, si c’était une relation familiale, si c’était une relation amicale,

(ex. : contrat de vente d'immeuble), ses conditions (ex. : livraison, prix) et les obligations qui en découlent (résolution de la vente, modalités de paiement). La rencontre de deux volontés (ou l'échange de consentement) suit normalement la trajectoire suivante : Offre ou sollicitation Articles 1388 et 1389 CCQ: Acte unilatéral par lequel une personne exprime sa volonté de vendre ou d'acheter. Par exemple, elle doit démontrer une volonté ferme de son auteur d'être lié en cas d'acceptation.

(c'est un droit personnel). Le droit de créance est le coté positif: c'est actif de l'obligation. C'est en vertu de ce droit de créance que le créancier est en droit d'exiger de la part du débiteur qu'il remplisse son obligation. Dans un contrat de vente: l'acquéreur est le créancier il est celui auquel quelqu'un a une obligation de délivrance; le débiteur est le vendeur: il est tenu de délivrer cette obligation, mais le vendeur est le créancier d'une obligation de paiement qui vise le débiteur.

avec qui l’on veut, et la loi n’a pas à se mêler des affaires privées. Quelle relation entre la liberté de contracter et la loi ? Quand la loi doit se préoccuper des affaires privées, elle doit donner une réglementation aux ppaux contrats pour le cas où les contractants eux-mêmes ne seraient pas capables de le faire : c’est la loi supplétive. Elle s’oppose à la loi impérative, peu nombreuses au 18ème siècle. Ce sont celles qu’on ne peut pas écarter. * Le consensualisme Il reste fondateur de

commerce. L’objet de ce cours est d’étudier les règles particulières élaborées pour chaque type de contrat. Par exemple la vente relève de la théorie générale (question du consentement, de la capacité, de la cause), relève également du droit des contrats spéciaux (exigence à peine de nullité de détermination du prix), et relève du choix des parties (question de savoir si la vente portera sur telle ou telle chose, si elle sera faite moyennant tel ou tel prix, ou telle ou telle modalité). §1. Identification

deux éléments constitutifs d’une règle de droit : * le présupposé hypothétique : situation de fait à laquelle la csq est attachée * la sanction ou la csq : La csq est la réponse à la question posée puisque l’on ne recourt à la règle qu’en cas de problème. L’hypothèse est la vraie difficulté puisqu’il s’agit de qualifier les faits : faire coïncider la situation de fait présentée avec l’hypothèse prévue par la loi. Si la situation ne correspond pas, on n’applique pas la sanction. ex. 1382