Cas Pratique Redressement Judiciaire

des créanciers. L’idée de juguler les difficultés par une négociation entre le chef d’entreprise et ses créanciers n’est pas neuve. Le recours au concordat préventif permettait d’octroyer des délais de paiement et des remises de dette même si cette pratique soulevait de sérieuses difficultés d’application. La défiance vis à vis des techniques conventionnelles a été levée récemment avec principalement l’ordonnance du 23 septembre 1967 qui crée une procédure de suspension provisoire des poursuites

SO M M AI RE LISTE DES ABRÉVIATIONS TABLE DES FIGURES NOTE DE SYNTHÈSE INTRODUCTION 7 8 9 11 PARTIE I : SAUVEGARDE ET REDRESSEMENT JUDICIAIRE - INTÉRÊT DE CES PROCÉDURES 15 CHAPITRE I : 1985-2008 : L’ÉVOLUTION DU DROIT DES ENTREPRISES EN DIFFICULTÉ SECTION 1 – DU REDRESSEMENT JUDICIAIRE (1985) À LA PROCÉDURE DE SAUVEGARDE (2005) 1) Similitudes des deux procédures a) Personnes visées b) Déroulement c) Caractère public 2) Spécificités propres à chaque dispositif a) Initiative de l’ouverture

Le Redressement Judiciaire Table des matières I) Histoire et définition3 II) Les acteurs et les objectifs d’une procédure de redressement3 2.1) But recherché3 2.2) Les acteurs3 III) Les organes judiciaires4 3.1) Le tribunal du siège de l’entreprise4 3.2) Le juge commissaire4 3.3) Le procureur de la République5 3.4) Le mandataire judiciaire5 3.5) L’administrateur judiciaire 5 3.6) Le représentant des salariés6 IV) Le déroulement de la procédure6 4.1) Projet de plan de redressement &

branche de dt où on parle encore de droit des faillites : c’est en DIP, on va parler de faillite internationale. * Tournant surtout était amorcé en 1967 : loi 13 juillet 1967 et ordonnance du 23 septembre 1967 : la loi instituait le règlement judiciaire et la liquidation des biens et l’ordonnance prévoyait la suspension provisoire des poursuites (mettre un débiteur à l’abri des poursuites de ses créanciers). Idée apparait en 1967 : -> il faut distinguer le sort de l’H à la tête de l’entreprise

entreprise. Il accordait toute son attention à l'aboutissement des difficultés, la cessation des paiements contre laquelle il réagissait par des solutions radicales, la déclaration de la faillite avec son diminutif de règlement judiciaire, et la sanction pénale et banqueroute le cas échéant. L’intérêt exclusif des créanciers, ramené à la récupération de leurs créances, dominait totalement cette conception.  Le nouveau code de commerce innove entièrement en la matière en abandonnant purement et simplement

Ecole supérieure de Technologie de Guelmim Droit Commercial Exposé sur le Droit commercial I. a. b. c. d. a) b) c) II. a. Le Redressement judiciaire : ........................................................................................................... 2 Définition : ................................................................................................................................... 2 L’initiative de la procédure : ......................................................

par les actionnaires) et quasi fonds propres (QFP : emprunts obligataires, capitaux longs) Complexité droit du travail et droit fiscal : maitriser l’environnement fiscal et juridique est primordial : bien savoir avec qui on travaille ! Mauvaises pratiques : Non respect des règles de la concurrence (concurrence déloyale : vendre à perte, espionnage, accords…etc.) : les règles varient selon les filières professionnelles Appel d’offres à condition irréalisables (moins disant…etc.) Désengagement brutal

Parti I : l’attribution et l’exercice du pouvoir de gestion dans l’entreprise du débiteur Chapitre 1 : Le chef de l’entreprise : le principe du maintien du pouvoir Chapitre 2 : Le syndic : acteur-clé du redressement judiciaire Parti II : le pouvoir judicaire : organes décisifs du redressement judicaire Chapitre 1 : Le remodelage de l’entreprise (plan de continuation) Chapitre 2 : Une préparation anticipant la liquidation (plan de cession) Introduction : « Un bon manager doit toujours

ntaire de l’arrêt de la Cour de Cassation, chambre commerciale du 09 juillet 2002 La lettre d’intention est une création de la pratique contractuelle. Ce document est le plus souvent souscrit par une société mère au profit de sa filiale pour lui faciliter l’obtention de crédits ; l’auteur de la lettre peut se contenter de recommander la filiale à son interlocuteur mais il peut également prendre des engagements de nature et de portée variables. C’est cette diversité de lettres qui tend à expliquer

un jugement du tribunal de commerce de Casablanca en date du 27/03/2000, jugement n° 116/2000, dossier n° 88/2000/10, il a été décidé que le fait que Le passif d'une entreprise commerciale dépasse son actif justifie qu'elle soit soumise au redressement judiciaire du moment que sa situation n'est pas irrémédiablement compromise. Nous avons déterminé qu'il peut y avoir des difficultés temporaires et permanentes et que toutes les entreprises sont exposées au risque de ne plus continuer leur activité