Cas Pratique Liberté Matrimoniale

désormais. 4.L’évolution du droit de la famille semble aller vers un aménagement de plus en plus grand de la liberté des individus. On pourrait dire que sur certains aspects le droit est moins interventionniste et qu’il laisse le choix aux membres de la famille de faire ce qu’ils préfèrent. On parle d’ailleurs de contractualisation du droit de la famille. Le contrat est régit par la liberté contractuelle. On pourrait dire que le droit de la famille est de moins en moins stricte; ce sont des règles

la cellule familiale. Ex : la plus part des société occidentale interdise la polygamie or la plupart des musulmans conçoivent qu’un homme ait jusqu’à 4 épouses et également dans certains droits coutumiers africains pour des motifs religieux et pratiques. En se qui concerne l’adoption certain pays accepte l’adoption, d’autre pays l’ignore, d’autre pays interdise l’adoption (pays musulmans). Différence qu’il existe dans les couples, égalités entre l’homme et la femme→la suprématie du marie s’impose

cousins germains... C'est le cas en matière d'incapacités ou encore pour la constitution du conseil de famille pour un mineur orphelin ou un majeur placé sous tutelle. A l'inverse, dans d'autres cas encore, le droit de la famille traite les couples sans enfants, qu'ils soient mariés, pacsés, ou en concubinage. Enfin, il y a même des cas où le droit de la famille traite des situations qui concernent un seul parent, c'est le cas de la famille monoparentale ou en cas de demande d'adoption par un célibataire

Préliminaire : la liberté matrimoniale Mariage = expression de liberté qui n’est qu’autre le prolongement de la liberté individuelle inscrite dans la DDHC. Cette liberté matrimoniale n’est pas inscrite dans un texte de droit interne et ni même dans la constitution mais elle est protégé par le conseil constitutionnel et ressort d’un certain nombre de décision de la cour de la cassation. Article 12 de la CEDH est inscrite dans la charte des droits fondamentaux. Cette liberté prend deux fonctions

alors que l’Eglise catholique ne reconnaît ni le divorce ni le remariage d’un divorcé et alors que la liberté du mariage est un principe à valeur constitutionnelle ? L’Assemblée Plénière estime que dans ce cas de figure le licenciement est justifié. Réponse de la Cour de Cassation, que le caractère confessionnel d’un établissement n’est pas un motif suffisant pour justifier une atteinte à la liberté du mariage. En effet on peut considérer qu’ici tout repose sur le comportement de l’institutrice. Si

CORRECTION CAS PRATIQUE LE MARIAGE Sous la pression psychologique de ses parents qui souhaitent une descendance, un homme de 40 ans épouse une femme de 32 ans le 15 juin 2018. L’épouse a déjà un enfant mineur de 5 ans issu d’une précédente relation au moment où l’époux fait sa connaissance. L’épouse ne veut pas tout de suite de nouvel enfant, ils essaient après la célébration de leur mariage de procréer sans succès. En 2020, l’époux découvre la stérilité de son épouse à travers des analyses

civil, plus particulièrement en ce qui concerne le droit de la famille. LA PRATIQUE CONTEMPORAINE DU DIVORCE EN FRANCE : Depuis 1884, l’esprit de la législation s’est trouvée largement transformé par une JP extensive et quelque peu libérale. Les causes déterminées par la loi ont été définies de façon très large, la notion même de faute a subi quelque évolution. La difficulté des preuves a souvent été tournée par la pratique avec la complicité bienveillante des juges. Le Code civil : conditions

constate une évolution de la famille vers une optique plus individuelle et moins collectives, et ce, au nom de la liberté et de l'égalité. Etudions la mise en place du code civil (A), puis le droit contemporain (B) A) La mise en place du code civil : Le droit révolutionnaire, aussi appelé droit intermédiaire, était une période abondante en droit de la famille, consacrant les idées de liberté et d'égalité, mais l'idée était de briser la famille, car celle-ci s'opposait au lien entre l'Etat et le citoyen

(pour se marier) l’homme et la femme ont le droit de se marier et de fonder une famille selon les lois nationales régissant l’exercice de ce droit ». ⇨ La Cour de cassation fait respecter cette liberté fondamentale et le Conseil constitutionnel voit dans le mariage une des composantes de la liberté individuelle. On peut alors s’interroger sur la nature juridique du mariage c’est à dire le mariage est-il simplement un contrat ou au contraire une institution ? Traditionnellement, on considérait

d’une société ? Mais les statistiques montrent de faibles variations depuis 1870 donc pourquoi serait-il dramatique ? 1 - Le système des échanges matrimoniaux dans la société d’autrefois Avant 1914, mariage strict car il implique toute l’exploitation familiale et doit assurer la continuité du lignage sans compromettre l’intégrité du patrimoine : pratique de la répartition de la dot pose les premières limites. └ Le droit d’aînesse intégral ne peut se comprendre que comme sauvegarde du patrimoine =