Cas Pratique Liberté Matrimoniale

répondre à ces questions: qui contribuent aux charges du ménage? Qui payent des dettes contractées par un membre de la cellule familiale? Qui héritent? A ces questions répondent des branches spéciales du droit de la famille que sont les régimes matrimoniaux et le droit des successions. - les rapports extra-patrimoniaux: les règles de constitution et de dissolution d’une famille. Ces règles permettent de répondre aux questions suivantes: avec qui peut on se marier? Comment divorcer? Comment établir

plutôt par des r morales, coutumières ou religieuses. Le d de la famille ne devrait pas imposer des modèles (ex : modèle de la famille légitime fondée sur le mariage). Le d de la famille devrait tout au plus, s'adapter aux mœurs, aux faits, aux pratiques que l'on constate dans la société. Dans la famille, la loi serait inutile car la morale est individuelle et n'aurait rien à voir ac le d familial. Un d de la famille moraliste constituerait une immixtion intolérable dans la vie privée, la loi devrait

du régime matrimonial revêt une importance toute particulière pour un créateur d'entreprise. En effet, il faut être conscient que, quelle que soit la structure juridique adoptée, le patrimoine personnel d'un entrepreneur n'est jamais totalement à l'abri de l'action des créanciers de l'entreprise.C'est le cas naturellement de l'entrepreneur individuel qui engage la totalité de ses biens, ses patrimoines personnels et professionnels étant juridiquement confondus.Mais c'est également le cas du dirigeant

lien sacré établit par Dieu. Le mariage est indissoluble. Sous l’ancien régime la conception chrétienne du mariage se heurta à une forte résistance de la part du pouvoir royal. La législation révolutionnaire, en posant les principes d’égalité et de liberté est en rupture total avec la conception chrétienne du mariage. La famille dans le code napoléonien Les rédacteurs du code civil on fait œuvre de transaction. Le mariage est conçu comme un pacte entre deux familles. La famille par le sang

en principe librement. Toutefois, malgré cette liberté théorique de choix. Les conjoints ne peuvent dans la pratique échapper complètement aux mécanisme sociaux culturels qui font que telle personne est davantage susceptible de plaire à une autre. Lfépoque contemporaine est favorisé par le développement important de lfunion libre qui peut emprunter des formes très diverses allant de la cohabitation juvénile soit la cohabitation post matrimoniale (réunion de personne plus âgée ayant connus le mariage

envisagée en tant que tel comme le serait une personne morale, mais est envisagée à partir de la personne dans ses liens avec autrui. La famille s’est soi-même et l’altérité. L’approche de la famille actuellement repose sur trois forts principes : la liberté, l’égalité et la solidarité. A . De la personne aux liens familiaux. 1 . Absence de définition juridique de la famille. Il n’y a pas dans le Code civil ni ailleurs de définition de la famille. L’expression famille est utilisée occasionnellement

constitution de nouveaux couples. Modèle très connu. Dans l’ensemble, cette évolution des mœurs est à relier de la philosophie individualiste de notre époque où prévaut la quête de notre bonheur individuel, servie par une place croissante reconnue à la liberté. La considération de l’individu exerce une influence sur l’idée même de famille. Certains auteurs la présentent en effet comme le cœur de la vie privée, le lieu où s’épanouissent les sentiments individuels. La famille est rapportée à l’individu. Cependant

par le pacs n’est pas un lien a proprement parlé de famille. Il y a une différence entre la famille (le pacs ne créer pas une famille) et le droit de la famille ( traite du pacs) . si il y a pas de définition strict c’est pour laissé une certaine liberté aux évolutions sociétales. Il existe pas une mais des familles, qui évolue en fonction du temps du lieu et de la branche du droit concerné. Il y a le couple et la filiation. PREMIERE PARTIE : LE COUPLE La définition courante du couple est différente

C’est un engagement prit par un homme et une femme de se marier ensemble. On parle également de promesse de mariage. C’est un engagement plus ou moins solennel. La promesse de mariage faite n’est pas un engagement de nature juridique. La liberté matrimoniale est préservée jusqu’à l’échange des consentements entre époux devant l’officier de l'état civil. On ne peut pas forcer son fiancé en exécution d’une promesse de mariage. Les seuls effets de la rupture sont aux regards des cadeaux qui ont

 DIVORCE Prise de vue Le divorce est la rupture, consacrée par le droit, de l’union conjugale. Ce caractère le distingue nettement de la séparation de corps qui ne rompt pas le lien matrimonial, mais fait seulement disparaître l’obligation de cohabitation, et de la séparation de fait, qui laisse juridiquement le mariage intact, mais qui est un phénomène sociologique se traduisant par une division matérielle et volontaire de l’habitation. La question du divorce, a-t-on dit, divise une nation : c’est