Cas Pratique Dol Erreur

de concepts fondamentaux qui s’articulent les uns avec les autres. On les retrouve en droit commercial, en droit administratif, pour l’étude des marchés publics et les contrats de travail. Ces concepts généraux s’appliquent à une multitude de cas pratiques. L’obligation peut être définie comme le lien de droit en vertu duquel une ou différentes personnes peuvent contraindre une ou différentes autres personnes à « donner », à faire ou à ne pas faire quelque chose. 1.2 POLYSEMIE DU TERME C’est

majeur qui est soumis le libre exercice de ses droits, elle ne le frappe donc pas d’une incapacité. Mais la personne protégée peut échapper aux conséquences fâcheuses des actes qu’elles auraient imprudemment fait, ainsi en cas de lésion, l’acte sera rescindé, de même en cas d’excès l’engagement sera réduit. Il y a excès lorsque l’engagement est hors de proportion avec la fortune de la personne protégée. L’action en rescision en lésion ou en réduction pour excès doit être exercée par la personne

soumise aux mêmes conditions que la répression d’une infraction et donc aux mêmes garanties. Il en ressort deux conséquences : ➢ 1ère conséquence La tentative est soumise au principe de légalité. La répression n’est donc possible que dans les cas prévus par la loi. Des distinctions sont à faire au regard de la classification tripartite : - La tentative est toujours punissable pour les crimes, c’est un principe général - La tentative n’est punissable que si la loi le prévoit pour les délits

homosexuel. Le Couple La filiation Les rapports de famille Partie 1. Le Couple Pendant un temps, on interdisait au couple le concubinage et l’enfant né était considéré comme un enfant adultérin. Aujourd’hui, le concubinage est passé de la pratique au droit et il n’est plus mal perçu. Le couplé marié Le mariage est un acte extrêmement important au sein des familles et eux depuis toujours dans toutes les sociétés. Mais les conditions du mariage varie avec le facteur spatio-temporel.

de l’autonomie de volonté engendre le consensualisme. Art. 230 du D.O.C. : « Les obligations contractuelles valablement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites, et ne peuvent être révoquées que de leur consentement mutuel ou dans les cas prévus par la loi. » Les conditions de validité du contrat     consentement (qui ?) Capacité (comment ?) Objet (sur quoi ?) Cause (pourquoi ?) 1 En droit français, un contrat innommé est un contrat qui n'est pas décrit par le code civil — contrairement

peut comprendre que le pacte lie ses co-contractants aussi longtemps que dure dans la société la situation d’actionnaire. Dans ce cas, le pacte serait à durée indéterminée. La conséquence pratique est importante dans la mesure où, dans le dernier cas (pacte pour la durée de l’actionnariat), chaque partie peut résilier le pacte à tout moment, alors que, dans le premier cas (pacte à durée déterminée), une telle résiliation est impossible. Dans l’arrêt de la chambre commerciale de la Cour de cassation

partiellement la prestation à laquelle elle est tenue tant qu’elle n’a pas reçu la prestation qui lui est due), la règle de la restitution en cas de résolution (résolution = nullité donc restitution simultané de se qu’elles ont reçu). Il y a aussi la théorie des risques (quand le débiteur ne peut pas exécuter l’obligation à la suite d’une cause étrangère ou cas d’une force majeur : Res perit debitori, la chose est perdu et il en assume les conséquences ou Res perit domino, transfert de propriété de

comme un aspect du droit des contrats, semble être l'occasion d'apprécier plus en détails le rapprochement des droits. Le contrat est le vecteur des transactions économiques, son régime juridique évolue ainsi au grès des mutations du marché et des pratiques commerciales. Il résulte des thèses du libéralisme économique que le contrat est le « produit du libre accord des volontés », il permet d'établir les rapports individuellement les plus justes car chaque individu est le meilleur juge de ses intérêts

forcée à la différence de l’obligation juridique (notamment, le fait de ne pas laisser passer une personne plus âgée n’est pas sanctionné). Applications En pratique, la distinction est malaisée ; par exemple dans les lettres d’intention par lesquelles une société mère s’engage à honorer les engagements de sa ou ses filiales en cas de défaillance de celle- ci; selon le libellé de la lettre, la société mère contracte ou non une obligation juridique, de moyens ou de résultat qui l’oblige à l’égard

obligation de moyen . Dans la première , le débiteur s’est engagé pour un résultat précis promis au créancier . Il en résulte que si ce résultat n’est pas atteint , l’inexécution est constituée . L’absence de résultat revient à l’inexécution , dans ce cas , le créancier n’a pas à prouver la faute du débiteur , ni la charge de la preuve . C’est une présomption de faute . En revanche , lors de l’obligation de moyen , le débiteur ne promet pas un résultat mais de faire de son mieux pour atteindre un résultat