Cas Pratique Dol Erreur

) Le contrat unilatéral est diférent de l’acte unilatéral qui ne résulte de la volonté que d’une des parties (exemple : le testament) Tout contrat synallagmatique doit être établi en autant d’originaux que de parties au contrat. En cas de litige : La mise en demeure doit être un préalable à tout autre action. Les parties disposent, dans le cadre d’un contrat syn., d’une possibilité de contraindre le cocontractant à s’exécuter au travers du principe de l’exception d’inexécution

unilatéral : Obligation pour un seul des parties. Exemple : La promesse de vente, promesse d’achat En cas de litiges avec des contrats il y a deux types de preuves : -Les preuves parfaite (actes authentiques, actes soussigné) -Les preuves imparfaites (témoignages, les preuves par écrit) Il est possible de réaliser des contrats sur feuille blanche en mentionnant le lieu la date et le nombre d’originaux… En cas de litige avec un fournisseur pour non paiement, il y a deux moyens, mettre sont fournisseurs

principaux caractères de l’obligation. L’obligation présente trois caractères : caractère obligatoire : quand on est engagé dans un rapport d’obligation, on est obligé de le respecter. Sinon, il peut être contraint à respecter son obligation, le cas échéant par le moyen d’une action en justice. Ce pet être des obligations civiles, ou des obligations naturelles, qui ne sont pas marquées. caractère personnel : lorsque l’on s’engage dans un contrat, on s’engage à titre personnel, c'est-à-dire que

Cas pratique n°2 Tom DONIPHON, propriétaire d'une boite de nuit fait savoir autour de lui qu'il souhaite céder ses fonds commerce. Momo procurait depuis longtemps une clientèle régulière a Tom en échange de quelques services. Accompagné de ses gardes du corps, il propose à Tom de lui céder sa boite de nuit à bon prix, en échange Momo renoncerait à dénoncer les magouilles de Tom au fisc. Tom accepte le marché et cède son fond de commerce à Momo pour la moitié de sa valeur, en contre partie, Momo

d’une chose. Cependant, en droit français, l’obligation de donner n’est que théorique, parce que dans la plupart des contrats qui ont pour objet une obligation de donner il y a un transfert immédiat de propriété (transfert automatique). Ex. dans le cas de la vente d’un meuble a lieu dès l’accord des partis sur la chose et le prix. Cependant il est possible dans le contrat de décider de retarder le transfert de propriété, par la mise en place d’une clause de réserve de propriété. La clause de réserve

créancier, sujet actif du droit et le débiteur, sujet passif. Le droit appelé droit de créance, par rapport au sujet actif, se nomme obligation ou dette, si on l’envisage du côté du sujet passif. B - Importance du droit des obligations L’importance pratique de la matière est évidente. La théorie des obligations est la mise en œuvre juridique des rapports économiques entre les hommes : des échanges de richesses et de services qui sont nécessaires à leur existence. C’est pourquoi, quantitativement, les

n’est pas reconnu comme licite, le D e lui impose pas) L’O alimentaire des pères et mères envers l’enfant est réciproquement une O civile. L’O alimentaire des frères et sœurs est une obligation naturelle non formulé par le législateur. Dans les deux cas il y a obligation juridique parce qu’il y a en justice quelque chose de du par l’un à l’autre. En ce sens l’o naturelle ne doit pas être confondu avec l’O morale par ex : si je verse une somme d’argent à mon frère dans le besoin, j’accomplis une dette

parties conduit donc à exclure un engagement juridique qui n’aurait pas été voulu. Nous le verrons bientôt à travers notamment la question des vices du consentement. Celui qui s’est engagé à réaliser une obligation ne sera pas tenu s’il s’est engagé par erreur, si on l’a trompé ou si on l’a forcé à s’engager. En revanche, si une personne, libre de volonté a décidé de s’engager, on considérera que rien, ou presque, ne peut lui permettre d’échapper à sa volonté. Personne n’est obligé de s’engager, mais si

doctrine et la jurisprudence ont découvert des cas dans lesquels l'acte unilatéral peut être créateur de droit (et d'obligations). Le fait juridique : Tout évènement ou toute activité humaine qui produit des effets juridiques que les intéressés n'ont pas volontairement recherchés. (Fait licites : quasi-contrat et fait illicites : quasi-délit civil) Paragraphe 3 - De l'intérêt du droit des obligations Le droit des obligations revêt un double intérêt : pratique et théorique. Sur le plan théorique : le

ou par un tiers). Incapacité : mineurs (sauf émancipation) et personnes sous tutelles. Les vices du consentement. Art. 1109 du CC : « il n’y a point de consentement valable si le consentement n’a été donné que par erreur, s’il a été extorqué par la violence ou surpris par dol ». L’erreur. Est à l’origine du défaut de lucidité du co-contractant. Elle est une fausse représentation de la réalité. Elle dénature donc le consentement du co-contractant qui l’a commise. 2 impératifs à concilier :