Cas Lafarge Parties Prenantes

“l’Audit social”. Jean Claude CASTAGNOS & Michel LE BERRE..........................................................................225 RSE et parties prenantes : fondements conceptuels ? Didier CAZAL..................................................................................................................................233 RSE : parties prenantes et partis pris. Didier CAZAL & Anne DIETRICH ..............................................................................................243 Individus

CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET METIERS Groupe de recherche en économie et gestion EA 2430 Centre de recherche en comptabilité LE PROCESSUS DE NORMALISATION COMPTABLE PAR L’IASB : LE CAS DU RESULTAT THESE tel-00473181, version 1 - 14 Apr 2010 Pour l‟obtention du titre de DOCTEUR EN SCIENCES DE GESTION (Arrêtés du 30 mars 1982, du 21 juillet 1999, du 25 avril 2002 et du 7 août 2006) Soutenue publiquement le 10 décembre 2009 par Anne LE MANH-BENA JURY Directeur de thèse : Monsieur

société : G 3Suisses.fr David Edouart, chef de département marketing multicanal ...........34, 56, 67, 84, 86, 92, 96, 97, 105, 107 G Acxiom Didier Grilo, directeur conseil, et Sarah Wanquet, directrice juridique ..26, 27, 116, 137 (partie 6.2) G Batirenover (groupe Lafarge) Régis Bourdot, directeur opérationnel ...............................68, 73, 90 G Club Med Jérôme Hiquet, directeur internet & CRM......50, 69, 81, 90, 95, 104 G Crédit Agricole Centre France Sébastien Confesson, responsable des

La question qui se pose est double : existe-t-il des mé thodes permettant l'analyse exhaustive de ces variables, et comment, en fin de compte, seront é laboré les es dé cisions straté giques ? La pré sente sé tente de ré rie pondre à la premiè re partie de la question. Il existe des mé thodes permettant d'analyser une à une et parfois en les croisant, les variables pertinentes de la ré flexion straté gique. Mais l'existence d'outils ne doit pas constituer un leurre : la qualitéde la dé marche ré

émettrices de l’industrie et de la production d’énergie, couvre moins de 30% des émissions nationales : les 70% restants ne sont soumises à aucune incitation via le prix du carbone, et ce alors que les émissions qui progressent le plus en France font partie de ces émissions non couvertes. L’élargissement du système des quotas se heurterait rapidement à des limites techniques (émissions diffuses, sources mobiles) et de coût (nombre d’installations). Un système de projets domestiques aurait en revanche

secteur industriel qui fait face ˆ des mutations structurelles importantes. QualitŽ, certification et tra•abilitŽ sont dŽsormais de mise. a dŽmarche qualitŽ est depuis longtemps entrŽe dans les habitudes du secteur privŽ. Il sÕagit m•me, dans certains cas, dÕune obligation commerciale. Pour entrer sur certains marchŽs, une certification comme les normes ISO ou EMAS est souvent une condition sine qua de la cha”ne de production) sont, plus que jamais, dÕactualitŽ. Les agro-industriels marocains, conscients

améliorés comme par exemple les fraudes que le marché européen a subit à répétition. Pour cette raison, le marché est très volatile mais l’étude de la finance carbone comme un actif financier s’avère possible. Un fonds carbone doit donc s’analyser en prenant en compte le couple rendement et risque pour l’investisseur. La comparaison entre plusieurs véhicules financiers nous a permis d’analyser leurs performances en période de crise. Les places boursières se sont effondrées pendant ces périodes en particulier

l’initiative d’AFNOR, représente le consensus obtenu par un groupe d’acteurs individuels ou collectifs définis et identifiés dans ce document. Son utilisation est volontaire. Cet accord n'a pas été soumis à la procédure d'homologation et ne peut en aucun cas être assimilé à une norme française. Copyright © Le présent document bénéficie de la protection des dispositions du Livre 1er du Code de la Propriété Intellectuelle sur la propriété littéraire et artistique. Toute reproduction sous quelque forme que

des relations entre la France et les pays d’Afrique. Les nombreux projets qui ont obtenu le label du cinquantenaire ont permis de jeter un regard objectif et apaisé sur le passé. Quelques-uns d’entre eux se tournent résolument vers l’avenir. C’est le cas du « Dialogue des Éthiques ». Lorsque le directeur de l’Institut Éthique et Diversité, Khalid Hamdani et son équipe ont présenté leur initiative, nous avons tout de suite mesuré que ce projet mettait l’accent sur la dimension économique des relations

vous préserve tous et vous procure sagesse et bonheur ~ 3 ~ Chapitre 1 : Présentation générale de l’ONCF ~ 4 ~ 1-Statut & Mission Les Chemins de Fer au Maroc ont fait leur apparition sous le Protectorat français à partir de 1911. 3 compagnies concessionnaires françaises se partageaient, à l’époque, l’exploitation du chemin de fer marocain : la Compagnie des Chemins de Fer Marocains (CFM) sur le réseau de Marrakech à Oujda, le Tanger-Fès (TF) concernant la ligne