Cas Lafarge Parties Prenantes

SOMMAIRE : MANAGEMENT INTRODUCTION! PARTIE I : Une explication multiforme de la crise! A.Une crise liée à la financiarisation excessive de lʼéconomie! B.Une crise liée à la nature du capitalisme et à ses propres contradictions! C.Une crise liée à lʼabsence de repères de rationalité! 3 3 3 3 3 PARTIE II : Une crise à portée réelle et mondiale! A.Une crise “classique” mais a failli toucher tout le système! B.Une crise avec une incidence directe sur le chômage! C.Une crise aggravée par la

Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales Année universitaire : 2011/2012 [Tapez le titre du document] SOMMAIRE INTRODUCTION 3 PARTIE I – LE COMITE D’AUDIT : DEFINITION, OBJECTIFS ET COMPOSITION 5 A- Définition et objectifs : 5 B- Composition et critères de sélection 6 PARTIE II – MISSIONS ET FONCTIONNEMENT DU COMITE D’AUDIT 9 A. Les principales missions du comité d’audit 10 B. Fonctionnement des comités d’audit 14 CONCLUSION 20

similaires " [Edgar Schein, 1985]. Il s’agit donc d’en ensemble cohérent de « valeurs ». Celles-ci peuvent avoir été « découvertes », ou « inventées ». Elles servent de guide à un nouvel arrivant pour qu’il puisse s’intégrer dans le groupe. Dans ce cas, on considère la culture plutôt comme un outil pour accroître la performance de l’entreprise. Ainsi, elle « prend appui sur les valeurs d’adhésion des participants, leur motivation pour les condenser et les synthétiser en un système de représentation

........... 9 e) Pisé ............................................................................................................................................ 11 II) Etude de cas : Hassan Fathy .............................................................................................................. 13 1) Le cas ............................................................................................................................................. 13 2) Leçons passé/présent du travail

similaires " [Edgar Schein, 1985]. Il s’agit donc d’en ensemble cohérent de « valeurs ». Celles-ci peuvent avoir été « découvertes », ou « inventées ». Elles servent de guide à un nouvel arrivant pour qu’il puisse s’intégrer dans le groupe. Dans ce cas, on considère la culture plutôt comme un outil pour accroître la performance de l’entreprise. Ainsi, elle « prend appui sur les valeurs d’adhésion des participants, leur motivation pour les condenser et les synthétiser en un système de représentation

l’éthique introduit une dimension supplémentaire : elle impose de donner une place à l’individu, reconnu capable de faire valoir sa parole et ses intérêts propres. 3 La déontologie renvoie à un ensemble de règles dont se dote une profession (ou une partie de la profession) au travers d’une organisation professionnelle qui devient l’instance d’élaboration, de mise en oeuvre, de surveillance et d’application de ces règles [H. Isaac, 1998, p. 98]. Elle a toujours un caractère obligatoire, tout manquement

La responsabilité sociétale (ou sociale) des entreprises (RSE) est un "concept dans lequel les entreprises intègrent les préoccupations sociales, environnementales, et économiques dans leurs activités et dans leurs interactions avec leurs parties prenantes sur une base volontaire"[1]. Enoncé plus clairement et simplement, c'est "la contribution des entreprises aux enjeux du développement durable"[2]. A noter qu'en 2010 le Ministère français de l'Ecologie, de l'Energie et du Développement Durable

| SOMMAIRE Introduction Première partie : Approche théorique I- Définition de la responsabilité sociale de l’entreprise (RSE) 1- Les définitions du concept de RSE II- Les analyses 1- La notion d’investissement socialement responsable (ISR) 2- Comment communiquer sur la RSE ? 3- Les clients et la RSE Deuxième partie : Approche empirique I- Initiatives RSE en France : le cas d’EDF 1- Les stratégies mises en place par

3 Partie 1 : le secteur public Marocain 5 I. Les composants du secteur public au Maroc 5 II. Les raisons de la mise en place de l’audit dans le secteur public 9 Partie II : l’audit public et ses risques

niveaux de précision : * Le niveau 1 : il existe un marché liquide et coté sur lequel la juste valeur de l’actif est observable. * Le niveau 2 : l’évaluation de l’actif est basée sur des modèles prenant en compte des paramètres observables. * Le niveau 3 : En l’absence des deux cas précédents, ce niveau correspondant au résultat d’une évaluation financière. Cette méthode est censée prendre en compte toutes les informations et fournir une évaluation des risques. Cela permet d’avoir