Carte Stratégique Transport Aérien

liés à un éventuel développement touristique. La dernière phase de diagnostic – les forces et les faiblesses du territoire confrontées aux opportunités et aux risques de son secteur touristique sur le marché – permettra de définir une “position stratégique de succès”. Ce concept recouvre les principaux atouts susceptibles de procurer à long terme une supériorité par rapport aux concurrents. Un autre point également important est de pouvoir déterminer si le territoire dispose d’un “positionnement unique”

matérialisé cet engouement par l’adoption d’un plan quinquennal 1973-1978 qui scella définitivement le fondement d’une politique en transport maritime2. De quelques navires désuets et hérités du temps colonial, la flotte a ainsi marqué un essor considérable pour culminer au milieu des années 80 à quelque 66 navires et couvrant prés de 25% des besoins nationaux en transport maritime3. Parallèlement, une diplomatie défensive au niveau de l’ONU et d’autres organismes de régulation internationaux en matière

chapitre [p. 13] [pp. 14-15] La double page tourne d’abord autour de la notion de territoire dont la définition est rappelée, et précisée dans sa dimension locale avec celle de territoire de proximité. L’aménagement est également redéfini. La carte des grandes opérations d’aménagement à l’échelle nationale permet de rappeler (l’aménagement des territoires étant vu au collège) les grandes dynamiques depuis un demisiècle. Les documents qui l’entourent, à l’échelle locale cette fois, permettent

des centres de congrès et conférences (Atria) associés à un Novotel ou un Mercure ; – du voyage et du loisir : Accor Vacances (hôtels de vacances), Accor Thalassa, Club Med, Carlson Wagonlit Travel (voyages d’affaires), Go Voyages (réservations aériennes et offres avion + hôtel), Compagnie des wagons-lits (hôtellerie et restauration à bord des trains) et Pullman Orient Express (train de légende à disposition du grand public et des organisateurs d’évènements) ; – du luxe : Lenôtre (traiteur et restauration)

de voyages, réceptions et manifestations dans un but de publicité touristique ; 4 La réalisation, l’aménagement et la gestion de tout équipement concernant notamment les domaines de l’hébergement, de la restauration, de l’animation et des transports ; 5 L’octroi de subventions aux associations ou entreprises ayant une activité touristique d’intérêt national ; 6 La prise de participations financières dans les entreprises ou sociétés en relation avec l’activité touristique En pratique

formules, plus ou moins élaborées : vol sec circuit en groupe accompagné l’autotour individuel (circuit en voiture avec pré-réservation des sites d’hébergements) - Il est également possible d’organiser son voyage "à la carte", en assemblant, selon ses désirs, le transport, l’hébergement, les visites... le tout constituant un forfait. En France, il y a environ entre 400 et 500 voyagistes, dont une centaine est spécialisée dans le réceptif, ils peuvent être classés en 3 catégories : Les généralistes

Marshall, accords du GATT ¤ URSS : 1949 COMECON et CAEM pour répartir la production entre pays communistes] C) Et à la confrontation des deux grands 1) D’ abord en Allemagne : 1ère crise de Berlin (mai – juin 1949) [Deutschemark ( blocus ( pont aérien ; 1er échec de Staline : Allemagne divisée (RDA / RFA), Europe coupée en 2 blocs] 2) Puis en Corée (juin 1950 – juillet 1953) [Corée du Nord communiste attaque Corée du Sud capitaliste, Truman envoie l’armée, les Chinois interviennent, conflit stabilisé

un tourisme durable Comité 21 -2- Pourquoi ce guide ? Il aura fallu du temps avant de voir le secteur du tourisme et des loisirs concerné par les attentes du développement durable. Essentiellement fondé sur le déplacement (et donc les transports), le tourisme est pourtant acteur et victime de l’emballement climatique. Il est également au carrefour de la préoccupation fondamentale du développement durable : comment contribuer à un développement humain et local sans peser sur les équilibres

premières recherches se sont réalisées dans le but de cerner différentes zones portuaires. Or, il n'existe pas de géographie spécifique des villes-ports, mais plutôt un champ d'analyse imbriquant plusieurs géographies. Le port engage la géographie des transports, des flux maritimes, des littoraux, économiques. De l'autre coté se déploie une géographie urbaine centrée sur l'environnement humain et son bien-être. L'espace qui lie ces deux ensemble est l'interface 1, ce qui nous situe donc au croisement de

définitivement les forces de l’Axe. I. DE LA GUERRE EUROPEENNE A LA GUERRE MONDIALE (1939-1942) A/ Les premières victoires de l’Axe 1) La Blitzkrieg : un avantage stratégique des allemands en Europe Elle permet à Hitler de dominer en deux ans presque la totalité du continent européen. Il s’agit avant tout d’un avantage stratégique plus que d’une supériorité en hommes ou en matériel. La Blitzkrieg (ou Guerre Eclair) consiste à défoncer par surprise et le plus vite possible les défenses ennemies