Bentham

l'utilité ne constitue en aucun cas la mesure de la valeur d’un bien (contrairement à la rareté d’un bien et à la quantité de travail nécessaire pour l’obtenir) Cette approche est nommée théorie objective de la valeur. Le courant utilitariste par contre (Bentham : 1748-1831) accorde à l’utilité un rôle beaucoup plus important dans la définition de la valeur d’un bien. Surtout les utilitaristes soulignent le caractère hautement subjectif de celle-ci. [...] [...] le bien X procure deux fois plus d’utilité

raisons et les buts ?      Les références pertinentes :   -         sur la relativité de la justice : Pascal -         pour aller dans le sens de la destriction faite pas Locke : Kant, Hegel -         pour nuancer : la morale utilitairste de Bentham     Le plan :   De manière générale, l'explication de texte peut être faite soit selon un plan I. Explication, II. Analyse critique, soit selon un plan comprenant autant de parties que de parties dans le texte, la critique étant insérée dans

un obstacle au bonheur Représentants : Zénon de Cittium (335 – 264 av. JC) : fondateur Sénèque (4 av. JC – 65) Epictète (50 – 130) Marc-Aurèle (121 – 180) X. Utilitarisme Thèses : Est moral ce qui est utile et procure du bonheur Représentants : Bentham (1748 – 1832) Mill (1806 – 1873)

présenter la place comme un endroit libre, sans des mauvaises intentions. Cependant, le bâtiment me rappelle d’une autre sorte de place: une prison. Au XVIIIe siècle, un peu plus tard que l’époque de Rabelais bien sûr, un philosophe utilitariste Jeremy Bentham a développé l’idée du panoptique, un type d’architecture carcérale qui peut rendre la surveillance des prisonniers plus efficace. La prison est construit comme une tour au centre avec un gardien dedans, qui peut observer tous les détenus qui sont

société. VI) Le critère de l’utilité Pour Hume, les devoirs sont des conventions adoptées par les hommes en raison de leur utilité (le respect de la propriété d’autrui permettant par exemple à chacun de jouir de ses biens sans inquiétude). Pour Bentham et Mill, les seules actions obligatoires sont les actions qui provoquent un accroissement du bonheur. Ce ne sont que d’après les conséquences des actions ou des règles d’action que l’on peut juger de leur statut de devoir.

on lui accorde une volonté comparable à la nôtre. Sinon, on se contente prudemment de construire sa maison plus loin. Cependant, le cas d'un mécanisme fait précisément pour nous asservir représente un autre cas de figure. Le panoptique imaginé par Bentham n'a pas d'autre fonction que de réduire le surveillé à une parfaite visibilité. Il ne dispose plus de l'opacité nécessaire pour mettre en place une riposte, une contre-stratégie. Il est transformé en objet. Les technologies du pouvoir tirent leur

Approche psychologique  Maslow  Herzberg  ...  Théories des processus :  Expliquer les mécanismes  cognitifs sous jacents  Comment la motivation permet l’ajustement des comportements ? Approche marketting:  comment ajuster les  motivations  Bentham  Seligman  ... 14 14 Motivation et apprentissage (Kintsch; 1980)     L’intérêt et la motivation sont nuls en l’absence de connaissance, ou de représentations La motivation croît au fur et à mesure de l’apprentissage

et de se prémunir contre les éventuels empiétements de l’État. L’État est ainsi pensé chez l’ensemble des libéraux comme un État minimal, voué à ses missions de régulation, qui s’oppose à l’État absolu du XVIIe siècle. À des titres divers, Jeremy Bentham et John Stuart Mill en Grande-Bretagne, Mme de Staël, Guizot, Royer-Collard, Tocqueville et surtout Benjamin Constant en France sont, dans la première moitié du XIXe siècle, quelques-uns des principaux acteurs du courant libéral.

branches fondatrices de la philosophie moderne, au-delà de sa dimension proprement et exclusivement scientifique. Car elle donne des outils pour penser une des grandes dimensions de la modernité : l’individualisme. Smith, Ricardo, mais aussi Locke, Bentham, étaient anglais. Ceci est peut-être à même de nous permettre de penser la mondialisation. Car cela permettrait de se situer à la fois sur l’axe des faits empiriques et sur celui des idées qui peuvent être aussi des principes moraux ou éthiques. Alors

L'utilitarisme La base de l'utilitarisme peut remonter aussi loin que l'hédonisme d'Épicure. Le plaisir est le bien suprême. Le mal réside dans la douleur. Le meilleur guide en moral pour Bentham (1748-1842) se trouve dans le plaisir et la douleur. Premier point de départ (égoïste) : L'action qui produira un excédent de plaisir par rapport à la douleur sera la meilleure sur le plan moral. On peut dire qu'une action qui engendre plus de plaisir que de douleur est utile, en ce sens qu'elle rend