Philo
Problème traité par le texte : Est-ce parce qu’on agit de manière légale qu’on est juste ou / et moral ? Suffit-il d’agir « justement » pour être juste ?
Thèse de l’auteur : La justice et la vérité sont des « pièces élémentaires de toute société ». La où il y a homme, vie en groupe, il y a des règles à respecter (même chez les hors-la-loi il y a des lois).
Axe critique : Locke reste dans une optique déontologique exigeant que l’on fasse son devoir par principe, parce que c’est juste et par reconnaissance de ce principe. MAIS ne peut-on pas adopter une morale conséquentialiste : ce qui compte, ce sont les actes, peu importe les raisons et les buts ?
Les références pertinentes : - sur la relativité de la justice : Pascal
- pour aller dans le sens de la destriction faite pas Locke : Kant, Hegel
- pour nuancer : la morale utilitairste de Bentham
Le plan : De manière générale, l'explication de texte peut être faite soit selon un plan I. Explication, II. Analyse critique, soit selon un plan comprenant autant de parties que de parties dans le texte, la critique étant insérée dans l'explication. Les professeurs de philo tolèrent les deux plans ! I Premier paragraphe : -Constat de la relativité dans le temps et l’espace des valeurs de Bien et de Mal : à développer et illustrer. Relativité à laquelle on pourrait ajouter le fait que cela varie aussi d’un individu à un autre : nos valeurs, nos intérêts, notre éducation.
- Mais un principe traverse l’histoire et se retrouve partout : le respect des lois et des contrats (même chez ceux qui sont immoraux ou dans l’illégalité).
Idem pour la véracité et le code d’honneur même hors de l’humanité II Deuxième paragraphe Si ces hommes obéissent à des lois et des valeurs morales (ne pas mentir, fidélité de la promesse ) : ce n’est pas parce que cela est utile. Approche intéressée et utilitaire des lois pour