Bentham

entrant dans la définition de la valeur. Jérémy Bentham La morale utilitariste Parmi les économistes classiques, nous allons aborder Jérémy Bentham et la morale utilitariste. Bentham fût le spectateur attentif de l'élan révolutionnaire français et européen. Ce qu'il s'attacha à résoudre, c'est le décalage entre la réalité des relations et l'expression juridique de ces relations entre les hommes au sein de la société. Il faut, nous dit Bentham, fonder l'expression du droit et de la justice sur

constitutionnel (1830). Fondements de son système Tout son systè me e st basé sur un principe: le principe d’utilité (Bentham est un positiviste utilitariste). Pre mie r axiome: il ne part pas d’un état de nature. Il constate que ce qui nous anime se résume à deux choses : les e ines(douleur) et le p plaisir: nous cherchons tous à atte indre le plaisir et à éviter la douleur. Jeremy Bentham 1748-1832 De uxiè me axiome: le principe d’utilité intervient : nous recherchons notre plaisir et nous essayons

considéré comme principal instigateur de l’utilitarisme .Jeremy Bentham créa une théorie utilitariste à la fois conséquentialiste (qui est basé sur le contexte d’une action) et hédoniste (qui met en premier plan le plaisir). Cette théorie vise à dicter l’action morale lors d’une situation donnée en considèrent les effets ou les conséquences des actions .L’action qui est bonne est choisie en fonction du bien-être. L’utilitarisme selon Bentham se base sur six critères bien précis dans le but de calculer

siècle. L’école historique, la science du droit romain et la jurisprudence des concepts Savigny Le pandectisme et la science juridique conceptualiste Conceptualisme et formalisme Section 3. - L’école anglaise. Un juspositivisme doctrinal. Jérémie Bentham et John Austin 1 Section 4. - Le formalisme dans la science du droit aux Etats-Unis (Langdell et Gray) Section 5. - Les caractères principaux de la science du droit au XIXè siècle. Le positivisme juridique naissant 1. Notion de théorie générale

au départ il était néoclassique) II/ Les précurseurs 1) Bentham (1748- 1832) Un des fondateurs du courant du radicalisme philosophique. Cette école suggère que l’homme réagit à ce qui lui est agréable et désagréable. L’idée est que l’on peut fonder une science de l’homme à partir du principe d’utilité. C’est lui qui crée le concept de l’homoeconomicus : l’individu est rationnel est calcul ses peines et ses plaisirs. Bentham aborde l’analyse de l’utilité marginale à partir de considérations

libérale.  Cette idée de principe d’intérêt individuel est reprise par l’ensemble des Classiques (Ricardo, Mill, Say). 1.2. Rationalité et calcul : le  « felicific calculu »s  de Jeremy Bentham Cet individu égoïste va être théorisé en terme de calculs économiste par un juriste anglais : Jeremy Bentham. Fondateur d’une doctrine qui va théoriser le principe d’intérêt : c’est l’utilitarisme, fondement de base des théories classiques. Elle repose sur deux principes : * Le principe du « plus

unfairness) originelle qui est injuste. Il distingue ainsi la liberté commerciale qui régule le marché, et la liberté personnelle où réside le seul et unique concept de justice. La justice sociale s'en est largement inspirée, à travers la pensée de Bentham et son principe du plus grand bonheur pour le plus grand nombre16. Autres types de justice Article détaillé : Pénologie. En marge de ces deux types fondamentaux de justice d'autres types de justice sont évoqués. Même si, en dépit des différences

de cet idéal et de son optimiste croyance au bon vouloir des libertés humaines. C'est en ce même sens que Rabelais gravait à l'entrée de l'abbaye de Thélème l'impératif « Fais ce que voudras ». Utopique ? De quel bonheur est-il question ? Jeremy Bentham affirme en 1789 que le travail du législateur est d'associer la recherche du bonheur au principe économique de l'utilité, premier motif de la conduite humaine car « le plus grand bonheur pour le plus grand nombre est la mesure du juste et de l'injuste

tendance à augmenter le bonheur de la société est supérieure à tout ce qui le diminue » Bentham, Principes de morale et de législation.               On retrouve dans la philosophie moderne une conception quelque peu similaire à celle d’Épicure bien que centrée, à la différence de cette dernière, sur la vie sociale. Cette conception a été développée par dans la pensée utilitariste de Bentham et Mill. Pour Bentham, le critère premier des actions humaines est leur utilité, celle-ci étant définie comme

centre de la justice et comptent tous de la même façon. La somme des individus forme un tout homogène en quête du bonheur ou d’un bien-être. Bonheur qu’il faut maximiser, au moyen de quatorze plaisirs et de douze peines, pour les partisans de Bentham, ou que l’on doit adapter aux préférences individuelles pour les parétiens. Chez les premiers, la sauvegarde du bonheur de la majorité peut justifier le sacrifice de quelque uns. L’élimination d’individus est un élément commun à l’angsoc et à la conception