Beauté Cruauté Flaubert

L’humanisme  : Montaigne, Essais – Le classicisme : Molière, Tartuffe ; Racine, Andromaque ; La Bruyère, Les Caractères – Les Lumières : Rousseau, Le Contrat social ; Beaumarchais, Le Mariage de Figaro – Le romantisme : Musset, Lorenzaccio – Le réalisme  : Flaubert, Madame Bovary – Le naturalisme  : Zola, Germinal – Le surréalisme  : Aragon, Le Paysan de Paris – Le Théâtre de l’absurde : Ionesco, La Cantatrice chauve – Le Nouveau Roman : Sarraute, Le Planétarium. **5. Repérer les ruptures marquées par les

et socit La morale est linstinct du troupeau elle vise dfendre lintrt du groupe contre lintrt individuel. (Nietzsche) Lautorit morale vient de la socit. (Durkheim) Le moyen dont se sert la socit pour soumettre les individus est lintrojection de la cruaut, cest--dire la mauvaise conscience, incarne dans le surmoi. (Freud) Nous pouvons dtailler lanalyse freudienne du dispositif psychologique et social que constitue la morale Selon Freud, les penchants agressifs des individus sopposent la cohsion sociale

6 7 8 9 10 Activité n°1 – Quizz d’autoévaluation ᕡ Parmi les romanciers français suivants, quels sont ceux qui ont écrit et publié au XIXe siècle? ¨ Alexandre Dumas ¨ Mme de La Fayette ¨ Romain Gary ¨ Stendhal ¨ Gustave Flaubert ¨ Victor Hugo ᕢ Une nouvelle peut être : ¨ Un événement récent, dont on prend connaissance dans le journal. ¨ Un récit de fiction bref, dont le dénouement est inattendu. ¨ Un roman publié en plusieurs épisodes dans un journal. ᕣ Dans la

ses vœux car l’agitation du monde lui permettra, en contrepoint, de rentrer en lui-même (l. 10) et de se créer un « cocon » d’où il observera de l’extérieur le monde. 2. Les termes mélioratifs sont associés au crime et aux criminels : « beauté profonde », « beauté en creux », « de si beaux crimes que j’envie », « l’amour que je porte à ce qui compose le monde des prisons et des bagnes », « la gloire qu’ils secrètent ». On remarque par ailleurs que le vocabulaire habituellement péjoratif prend une

la crise économique capitaliste, la montée du fascisme. Le modernisme rend compte des changements survenus en littérature et en art. Les prémisses du modernisme : le 19e siècle. Baudelaire : Paris 1845, poème : A une mendiante rousse : loue la beauté tout en l’imaginant en habit de cour, donc il lui prête en imagination les parures vestimentaires de l’aristocratie. Ce poème porte la trace du modernisme. Le caractère innovateur du poème tient à la complexité de ton : le poète s’identifie à la mendiante

affranchi théoriquement. Quand le jugement de valeur est sentimental, son objet est presque toujours très mal déterminé. J'admire ; mais qu'est-ce au juste qui excite mon admiration ? Est-ce le diamant ou la personne dont il rehausse la beauté ? Est ce la beauté du diamant ou la grosse somme, qu'il représente ? Est ce le titre pompeux ou le personnage qui le porte ? Est ce le beau château ou, avec le château l'heureux châtelain ? « Si le cheval disait, en se redressant : je suis beau! ce serait tolérable

début de l’histoire. Identifiez les caractéristiques qui lui sont attribuées dans le premier chapitre (son aspect physique, son statut social, son comportement). Les principales caractéristiques physiques associées au héros au début du roman sont sa beauté, sa moustache et son allure de mauvais garçon. Le statut social du héros est cependant moins enviable : Duroy est dans la misère, n’ayant en poche que 3,40 francs. Ancien hussard, il est employé aux bureaux du chemin de fer du Nord. Sa seule perspective

totale différence de méthode». Elle considérait comme «proprement inconcevable» «tout désir de faire du beau style pour le plaisir d’en faire, pour se donner et pour donner aux lecteurs des jouissances esthétiques», ce beau style «dont l'harmonie et la beauté apparente est à chaque instant pour les écrivains une tentation si dangereuse». Elle demandait aux romanciers de «se délivrer du sujet, des personnages et de l’intrigue». Elle refusait qu’on fasse du roman «une arme de combat, destinée à servir la

« mauvais garçon » de la littérature française ; écrit le Testament qui comporte plusieurs ballades en forme de bilan pour une vie fort mouvementées : la plus connue est celle qui évoque non sans humour la fuite du temps et les plaisirs éphémères. La beauté ne dure qu’un moment : un air de nostalgie dont RONSARD et les romantiques ne manqueront pas de faire un bon usage. La ballade des pendus  (ou l’épitaphe Villon) : La pluye nous a buez et lavez, Et le soleil dessechiéz et noircis ;

recul critique qui instaure une discordance entre ce que le texte programme et ce qui advient. Ce court-circuit, qui mène de la fée à la pâtissière, signale ainsi un dénivelé, qui conduit des rêveries existentielles à la prise de conscience de la cruauté de la réalité et confère au récit la portée d’un récit d’apprentissage. èEx 1 : incipit de la nouvelle. èEx II : ch II « en paradis » et non « au paradis ». èEx 3 2ème apparition d’Adrienne , déguisée en esprit avec un « nimbe de carton