Beauté Cruauté Flaubert

personnages   et  les  faits  de  manière  objective.  On  ne  parle  plus  de sentiments, mais  de comportement,  on   analyse  l’homme  dans  son  élément.  La  science,  le  déterminisme influencent  la  vie  artistique.  Balzac,  Stendhal,  Flaubert,...  cherchent  à  refléter  le  réel  en différents degrés. Stendhal parle “des petits faits vrais” Les tendances s’éxagère dans sa dernière étape, le naturalisme. ➔ Le Naturalisme Emile  Zola  est  le  chef  de  file  de  ce  courant.  Les théories philosophiques

notre structure atomique, certains sont simplement naturels ça veut dire qu’on peut ou pas les assouvir et ils peuvent être dangereux, c’est pas vital. Il s’agit de deux grands types de désirs, esthétique : attirance naturel de l’être humain par la beauté : forme d’harmonie d’apaisement voilà pourquoi l’art répond à un désir naturel mais il y a des arts dangereux par exemple l’art de Omer. Car il risque de raviver la peur des dieux et de la mort. Pour Épicure il y a aussi les désirs sexuels le seul

qu’elle fait, d’être comme elle est». C’est-à-dire? Ducharme aurait pu indiquer qu’elle est débordante d'énergie avant d’être soudainement attaquée par un mal mystérieux. - Bérénice s’est «coiffée à la Bovary» (page 298) ; or on lit dans le roman de Flaubert (chapitre 2) : «Ses cheveux, dont les deux bandeaux noirs semblaient chacun d’un seul morceau, tant ils étaient lisses, étaient séparés sur le milieu par une raie fine, qui s’enfonçait légèrement selon la courbe du crâne ; et, laissant voir à peine

collège, Lucien Chardon, intelligent et séduisant poète qui est aimé de Mme Louise de Bargeton, épouse d’un notable local et la femme qui est la plus en vue dans la société aristocratique et bourgeoise de la ville. Elle est séduite « par l’excessive beauté de Lucien, la timidité de ses manières, de sa voix ». Il découvre l’amour grâce à elle qui, dans son salon, l’initie aux subtilités, aux raffinements et aux codes de la vie mondaine, lui fait prendre de Rubempré. Mais, lors d’une soirée, il s’attire

E S A U T E U R S SOMMAIRE Avant-propos 3 Module d’apprentissage N°1 : Souvenirs et nostalgie Oral Débat : Nostagie, quand tu nous tiens ! Lecture A l’ombre de mon grand-père de Christian SIGNOL Lecture Crépuscule de Gustave FLAUBERT Langue Le discours rapporté Ecrit L’étude de texte Lecture L’Absent de Linda LÊ Lecture La madeleine de Marcel PROUST Lecture de l’image La mémoire de MAGRITTE Ecrit L’essai Lecture Visite à la maison paternelle de François-René de CHATEAUBRIAND

science, il est maître du monde …»². Ce phénomène ne date pas seulement d'aujourd'hui, mais cela remonte au début du XXème siècle voire même plus loin, vers la fin du XIX siècle avec les grands chefs-d'œuvre de l'époque, notamment avec Balzac, Flaubert, Zola, Stendhal et beaucoup d'autres, non seulement au niveau de la littérature française mais aussi dans la littérature dite francophone comme la littérature maghrébine au début du XX siècle. En effet, à partir de 1945, les auteurs maghrébins

peuvent être publiées : parce qu'elles témoignent de faits historiques ou exemplaires (Paroles d'étoiles). - La correspondance d'un artiste ou d'un écrivain offre un éclairage précieux sur sa vie, ses idées, son œuvre (ex. : la correspondance de Flaubert). - La lettre au XVIIe siècle devient un genre littéraire pour un public élargi. Elle est souvent lue dans les salons (lettres de Mme de Sévigné à sa fille). LES LETTRES FICTIVES On distingue celles qui peuvent apparaître ponctuellement au sein

détrompe pas. Bref, dans quelques mois, je pourrai peut-être lire Taniguchi en japonais. Mais cela nous ramène à notre affaire : ça doit se faire avant le 16 juin parce que le 16 juin, je me suicide. Mais pas de seppuku. Ce serait plein de sens et de beauté mais… eh bien… je n’ai pas du tout envie de souffrir. En fait, je détesterais souffrir ; je trouve que quand on prend la décision de mourir, justement parce qu’on considère qu’elle entre dans l’ordre des choses, il faut faire ça en douceur. Mourir

Françoise, par d’autres domestiques ou par les garçons des restaurants ou des cafés. Françoise (en réalité Céleste Albaret) était entrée au service des parents de Marcel, puis de celui-ci. Montrant un curieux mélange de dévouement à ses maîtres et de cruauté pour les autres, elle était en fait plus qu’une domestique, et elle joua un grand rôle dans le roman où elle fut comme une sorte de conscience et de regard permanent pour Marcel qui ne cessa de porter des jugements condescendants sinon méprisants

collège, Lucien Chardon, intelligent et séduisant poète qui est aimé de Mme Louise de Bargeton, épouse d’un notable local et la femme qui est la plus en vue dans la société aristocratique et bourgeoise de la ville. Elle est séduite « par l’excessive beauté de Lucien, la timidité de ses manières, de sa voix ». Il découvre l’amour grâce à elle qui, dans son salon, l’initie aux subtilités, aux raffinements et aux codes de la vie mondaine, lui fait prendre de Rubempré. Mais, lors d’une soirée, il s’attire