Bancarisation

technologies augmentent le nombre de concurrents potentiels. De nos jours, les banques proposent toutes les mêmes produits et des services quasi identiques (épargne, assurances, crédits…). C’est dans ce contexte de forte compétitivité, de multi-bancarisation et de volatilité des consommateurs que l’image de la banque et du conseiller joue un rôle essentiel. Un revirement de stratégie a entrainé un certain nombre de changement au sein des banques que ce soit au niveau de la politique de communication

bancaire au maroc. 1 Le paysage bancaire marocain 1. Un potentiel de développement encore très important: A fin décembre 2003, les 19 banques agréées marocaines offraient au pays un guichet pour 17 000 habitants, soit un taux de bancarisation qui ne concerne encore que le quart de la population totale, mais la moitié de la population urbaine. Près du tiers du réseau bancaire est concentré sur l’agglomération casablancaise. 1-2. Une présence marquée des banques étrangères :

occasion, de bénéficier d’une amélioration de la note accordée par l’agence de notation internationale Standard & Poor’s. Ainsi, le secteur bancaire au Maroc a connu les « 10 glorieuses », puisqu’au bout de 10 ans, soit entre 2002 et 2012, le taux de bancarisation est passé de 24% à 55% au royaume. Par ailleurs, les fonds propres des banques marocaines ont été multipliés par quatre sur 10 ans pour s’estimer à près de 13,18 milliards de dollars. Les crédits à l’économie ont atteint 82,89 milliards de dollars

qui présagent d’opportunités de développement certains pours le secteur bancaire marocain, qui reste cependant confronté à bon nombre de difficultés structurelles à circonscrire. Des difficultés en matière d’incitation à l’épargne (taux de bancarisation faible qui dépasse à peine les 20%), d’offre de produits et services bancaires davantage tournés vers les réalités des entreprises, de recouvrement des créances qui pour plus de 80% d’entre elles appartiennent à la catégorie dite des créances

Al Maghreb, a publié la première directive relative aux produits alternatifs (RN 33/G/2007). Cette directive traite des produits Ijara, Moucharaka et Mourabaha. Ainsi ce mode de financement alternatif, permettra, de contribuer à une meilleure bancarisation de l’économie marocaine. Ce mémoire que nous proposons, intitulé « étude comparative entres les produits classiques et les produits alternatifs : cas du Maroc », essayera de dévoiler la différence entre les produits islamiques, dits alternatifs

bancarisées jusqu’à présent. Cette clientèle devrait s’accroître à l’horizon 2013 pour atteindre quelque 6 millions d’adhérents avec un réseau de 1700 points de contact agréés par BARID AL MAGHRIB. S’inscrivant dans le processus d’accélération de la bancarisation à l’échelle nationale, Al BARID Bank met à la disposition de sa clientèle une panoplie de produits, tout en leur assurant une qualité de service en amélioration continue. Précisant qu’Al BARID Bank dispose d’un capital social de 200 millions de

commissions. Tout client présent dans la base de donné est susceptible d’être un futur client assuré, puisque toutes personnes disposant d’un véhicule ou étant soit propriétaire soit locataire doit se prémunir de tous dommages. Aujourd’hui le taux de bancarisation de la population française atteint les 98% ; il devient difficile d’accroitre sa clientèle et les efforts démesurés sont même proscrit car l’institution risque d’attirer une clientèle trop volage, c’est pour cela que la bancassurance constitue

nouvelle réglementation bancaire sur l'introduction de la finance dite participative est attendue pour bientôt au Maroc, le secteur dispose d'un grand potentiel de développement au niveau national aussi bien sur le plan de l'amélioration de la bancarisation, du financement du développement que de l'attraction des capitaux, en particulier ceux des pays du Golfe traditionnellement orientés vers des placements islamiques. Bien qu'il regrette l'option du gouvernement de procéder à un amendement de la

général des acteurs 2. Activité bancaire C. Structure de l’offre 1. Réception de fonds publics 2. Opérations de crédit 3. Mise à disposition des moyens de paiement et autres activités connexes D. Structure de la demande 1. Le taux de bancarisation comme instrument de mesure de la demande 2. Un taux en progression continue 3. Perspectives d’évolution Chapitre 2 : Analyse des mécanismes concurrentiels A. Degré de concentration 1. Vision macroscopique 2. Focus sur les banques universelles

Banque Populaire n’est pas le fait du hasard, il est le fruit des efforts déployés depuis plusieurs décennies ; depuis sa création en 1919 la banque populaire n’a pas cessé de mettre en œuvre des structures adaptées pour introduire le terme de la bancarisation à la civilisation marocaine, malgré les circonstances de la colonisation persistées à cette époque. En application du dahir 2 mai 1926, différentes banques populaires se sont constitués : | Casablanca |