Autorité Parentale 18eme Siècle

les cheveux arrachés ou un viol collectif. En Angleterre le nez et les oreilles étaient coupés. Au 5ème siècle avant Jésus Christ dans la Grèce antique, l’infidélité était punie de la mort, fustigé ou subir une mutilation de ses organes sexuelles. La punition était valable pour le couple qui avait commis cette infidélité y compris les complices de cette infidélité. Au 17ème et au 18ème siècle, l’infidélité s’est très répandue dans les milieux les plus aisés, comme en témoigne le « fameux les liaisons

comprendre que la tache incombant aux tribunaux était fort lourde en l’absence de textes, et d’autant plus lourde que la matière est complexe. Donc la doctrine a joué un grand rôle. A cet égard, 2 figures majeures se sont distinguées pour le 20ème siècle : Lerebours Pigeonnière. Il était professeur de droit et a terminé sa carrière à la Cour de Cassation. Il est batifole dont l’autorité doctrinale en France et à l’étranger ont été considérable. Il faut souligner également que la doctrine internationale

il occupe dans les sociétés occidentale une place primordiale. Il régit toutes les activités humaines il est omniprésent dans la vie des affaires mais également dans la vie de tous les jours. En dehors des relations contractuelles, les relations parentales. "Ubi sociétés ibi ius " = Pas de société sans droit Certaine théorie avaient prédit la disparition du droit comme la théorie marxiste du dépérissement du droit. Dans certaine culture le droit n'a pas la place centrale que nous lui donnons,comme

peuvent avoir des comportements associables. Les premières années d'un individu sont fondamentales dans le développement de la personne. Comment expliquer que durant ces premières années on apprend autant de chose, et surtout le poids de l'éducation parentale ? 2. Les enfants, des êtres particulièrement « influençables ». Selon Durkheim mais aussi Elias, l'enfant serait un être particulièrement influençable car il y aurait selon eux un besoin d'être entouré par des humains pour ne pas être un animal

sanction est indispensable à l’efficacité de la règle de droit/garantit le respect de la règle. La sanction est là pour dissuader et indiquer quel est le comportement que doit suivre le citoyen moyen. Cette sanction ne peut être prise que par une autorité publique (une personne extérieure à celle qui n’a pas respecté la règle). Ceci distingue la règle de droit de la règle morale (sanction interne : conscience). 6 On est dans un système de justice publique et non privée comme il a existé. Elle

expérience ne serait donc pas : « Nous sommes tous violents (cruels) à l’intérieur, nous refoulons notre violence, mais l’exprimons dès qu’on nous en donne l’occasion », mais plutôt « nous sommes tous potentiellement violents, car l’obéissance à une autorité (abusive) peut nous faire perdre tout sens des responsabilités (et non toute morale !). » 1. Quel est ton sentiment par rapport à cette expérience et à ses résultats ? …………………………………………………………………………………………………………………………………………………. …………………………………………………………………………………………………………………………………………………

instrument pour fixer une charge. Ce sont des termes du 11ème siècle qui désignent 2 activités liés aux soins des animaux et à la torture. Ce terme a perduré jusqu’à aujourd’hui (lorsque le travail cause du mal). Vers le 12ème/13ème siècles ce mot est utilisé pour les maux de l’âme. Au 15ème/17ème siècles plus d’expression contenant le mot travail mais toujours en lien avec le côté négatif, la violence, l’inquiétude. Au 16ème siècle on utilise le mot « travailler » pour faire travailler et donc

question mérite d’être posée. Par le passé, en tant qu’unité de production, la famille produisait des biens destinés à l’alimentation de ses membres (fruits légumes…), mais aujourd’hui, les économistes considèrent que, même si la famille du 20ème siècle ne produit que peu de biens de consommations elle produit aujourd’hui des services. Elle reste donc une unité de production de services. Ces services correspondent à des manifestations de l’entraide familiale tel que : garder les enfants, aider à

le droit n'est-il que des lois? L'histoire du droit montre que les règles d'organisation sociales préexistent à l'Etat. La définition n'est donc déjà plus valable puisqu'elle supposait qu'il n'y avais pas de droit sans Etat. Par exemple, au V ème siècle on voit apparaître des royaumes barbares, qui ne maîtrisaient pas la notion d'Etat, et qui ont produis des règles de droit. L'anthropologie nous montre que dans des sociétés différentes, on trouve très rarement des lois, se sont des sociétés sans

contenu : on peut dire que les libertés publiques sont des droits de l’homme bien définit. Elles constituent des pouvoirs de choix. Si a l’origine de la notion des droits de l’homme qui remonte au 18ème siècle il n’y avait que des pouvoirs de choix (liberté religieuse), la seconde moitié du 20ème siècle a connu une importante évolution des mentalités au cours de laquelle c'est affirmé la conviction que la personne humaine exigeait pour la protection de sa nature humaine autre chose que la reconnaissance