Arrêt 30 Mars 2005 Chambre Commerciale

sarl constituée avant le 4 aout 2005 -où il faudra que https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006225049les associés présents possèdent au moins 3/4 des parts- et celle constituée après le 4 aout 2005 où il faudra seulement 1/4 des parts. En effet , les décisions extraordinaires sont les décisions qui modifient les statuts par principe ces décisions sont prises par les associés représentant au moins le 3/4 de parts sociales selon l’article L223-30 du code de commerce. Par ailleurs

version 1 - 20 Jul 2012 tel-00719575, version 1 - 20 Jul 2012 PRINCIPALES ABRÉVIATIONS Aff. Affaire Al. Alinéa AMF Autorité des marchés financiers Art. Article Bibl. Bibliothèque Bull. Bulletin des arrêts de la Cour de cassation Bull. civ Bulletin de la Cour de cassation ; chambre civile BJS Bulletin Joly sociétés BJB Bulletin Joly Bourse C. Code CMF Conseil Monétaire et Financier CBV Conseil de Bourse de Valeur C. civ. Code civil C.com Code de commerce tel-00719575, version

sont plus fréquentes Ex : un associé réussit à faire majorer la valeur d’un apport en nature qu’il effectue en dissimulant les défauts de ce bien ou en exagérant ses qualités ceci afin d’obtenir d’avantages d’actions ou de parts sociales. Com. 27 mars 1972 Gazette palais 1973 P259. Ex : il cache à ses co-associés qu’il est débiteur d’une clause de non concurrence lui interdisant de se rétablir à l'intérieur de la zone géographique où la société s’implante Com 23 mai 2006 JCP E 2006 n2247. En

Sommaire des séances de travaux dirigés consacrées au Droit des obligations – L’acte juridique 1re – LECTURES. Apprendre à lire les arrêts de la Cour de cassation. Approfondissement de la méthodologie du commentaire de décision judiciaire. *  Comprendre un arrêt de la Cour de cassation rendu en matière civile », par Jean-François WEBER, Président de chambre à la Cour de cassation. Document extrait du site officiel de la Cour de cassation (p. 3 à 17). * « Méthode du commentaire de décision

[pic] TRADUCTION FRANÇAISE POUR INFORMATION Mardi 7 rejeb 1430 – 30 juin 2009 152ème année N° 52 Sommaire Lois Loi n° 2009-33 du 23 juin 2009, modifiant et complétant la loi n° 94-36 du 24 février 1994, relative à la propriété littéraire et artistique ......................................................................... Loi n° 2009-34 du 23 juin 2009, modifiant et complétant la loi n° 91-37 du 8 juin

l’un des contrôleurs. Cette qualité est réservée également au ministère public ou au tribunal d’office[3]. Il faut noter que les actionnaires n’ont pas ce droit même s’ils ont intérêt beaucoup plus que le chef d’Entreprise, comme le précise un arrêt de la Cour d’Appel de Casablanca de 2002.[4] Cela ne constitue qu’un rappel des organes qui peuvent demander l’ouverture de la liquidation judiciaire, notant que la pratique judiciaire nous à montré que l’ouverture d’une telle procédure est soumise

de l’un des contrôleurs. Cette qualité est réservée également au ministère public ou au tribunal d’office[3].  Il faut noter que les actionnaires n’ont pas ce droit même s’ils ont intérêt beaucoup plus que le chef d’Entreprise, comme le précise un arrêt de la Cour d’Appel de Casablanca de 2002.[4]  Cela ne constitue qu’un rappel des organes qui peuvent demander l’ouverture de la liquidation judiciaire, notant que la pratique judiciaire nous à montré que l’ouverture d’une telle procédure est soumise

décision et se voit condamner à garantir seul l’agent local, la Cour d’appel ayant considéré que l’intermédiaire devait être mis hors de cause compte tenu des obligations minimes qui étaient les siennes contractuellement7. COMMENTAIRES  Cet arrêt est intéressant car il concerne les rapports complexes entre professionnels du tourisme tantôt acteurs juridiques actifs, tantôt acteurs passifs ce qui entraîne automatiquement des solutions différentes. Dans cette décision, on comprend bien la

turpitudinis cessat repetitio » (A égalité de turpitudes, le droit à répétition des obligations du contrat disparaît). II./. Travail à effectuer : 1°) Commenter :, Cass. 1 civ., 20 mai 2009 (document 3) 2°) Quelle est la problématique dans les arrêt suivants et quelle est leur portée juridique : Cass. com., 3 e novembre 1988, (document 1) ; Cass. com., 27 avril 1981(document 6) ; Cass. 3 civ., 14 mai 2003 (document 11) ; re Cass. Ch. Mixte, 9 juillet 2004 (document 13) ; Cass. 1 civ., 4 juin 2007

en une opération de crédit : A l’occasion de deux arrêts rendus en 1982 et 1983 dans une même affaire[2], la jurisprudence considère ainsi qu’une société non enregistrée comme établissement de crédit achetant des créances non échues effectue des opérations de crédit (même si la commission qu’elle perçoit n’est pas proportionnelle au temps restant à courir avant l’échéance de la facture). Michel Vasseur , commentant ces arrêts, nuance cette solution. D’une part, il estime que des achats