Arret 9 Decembre 2003 Concubinage

partie de la doctrine conteste la catégorie des contrats réels. L'idée est de dire que la remise de la chose n'est pas une condition de validité du contrat mais plutôt un effet du contrat. Le projet de réforme ne prend pas en compte cette critique (art 9 du projet). 3) selon les effets On distingue quatre catégories principales : – Contrat synallagmatique & contrat unilatéraux C'est une distinction expresse du code civil. Contrat synallagmatique (art 1102) : le contrat est synallagmatique

concept de l inexistence du 23 juin 1973 déclare caduque le jugement sur la liquidation des biens, la CASS dit qu' il engage leur patrimoine personnels. Arrêt de la ch commerciale du 29 juin 1989 : la société fictive est nul sans rétroactivité alors le passé de la société est valable. Précise que la rétroactivité joue s il y a des fraude. Arrêt du 15 oct 2002 statue dans le même sens.  vices du consentement : Erreur si la considération de la personne est une cause essentiel de la non existence

légale mais il n'y a pas de sanctions). 2) Le droit et la religion Il y a certains pays où la religion fait le droit (ex: la Chariah) En France>droit laïque depuis 1905 «chacun a droit au respect de sa vie privée » Art. 9 du Code Civil. Parfois flou (ex : le 18 décembre 2002--> la communauté juive refuse d’utiliser le digicode le vendredi>ils peuvent mais ça doit être spécifié dans le contrat que le proprio tienne compte de la religion de l'immeuble) Certains préceptes religieux s’articulent

sauf les cas où ils exercent une procédure d'exécution sur ces comptes (V. n° 129 à 135). 8. - Le secret ne peut être, en principe, opposé aux représentants légaux d'une société. (V. n° 153 à 156), aux commissaires aux comptes (V. n° 157 à 159). 9. - De même, dans le cadre d'une procédure judiciaire, qu'il s'agisse de surendettement des ménages (V. n° 127 et 128), de procédures collectives, ou de procédures contre les dirigeants fautifs (V. n° 161 à 165), le banquier ne peut opposer le secret

Alors une remise en ordre , un toilettage, s'impose, mieux, il est imminent de s'y atteler. Ainsi, pour louable qu'elle soit, la prise en compte du sort des victimes ne doit pas permettre une remise en cause constante du droit de responsabilité. Un arrêt très récent, en l'occurrence l'arrêt Perruche rendu par l'assemblée plénière de la cour de cassation 17 nov 2000 , a frisé l'intolérable, a franchi l'infranchissable, pire il a provoqué un séisme dans le droit de la responsabilité en reconnaissant

établir un acte d'enfant sans vie. Peut-on autoriser toute fausse couche même très précoce ? Peut-on autoriser une femme qui veut faire une IVG à établir un acte d'enfant sans vie ? Est-il raisonnable de supprimer toute limite ? 2 décrets et 2 arrêtés du 20 août 2008 ont réintroduit une limite : un acte d'enfant sans vie peut être établi sauf en cas de fausse couche précoce (= 16 semaines de grossesse et IVG). La limite est plus « fiable » car posée par le législateur français, et non par l'O.M

fœtus n’est pas né il n’est pas personne. L’assemblé plénière dans un arrêt de 2001 a considéré que l’atteinte à un foetus ne pouvait pas être considérer comme un crime car ce n’est pas une personne. Mais à partir du moment où le fœtus a respirer une seconde, on bascule dans l’homicide. Crim 30 juin 99, un médecin avait confondu deux patiente. Le médecin provoqua l’avortement spontané de la patiente enceinte et ne fut pas arrêté d’homicide involontaire. Assemblée plé 29 juin 2001. Une femme accouche

Quatre arrêts sont particulièrement illustratifs du pouvoir d’adaptation des juges : * Arrêt Teffaine = élargissement de la responsabilité du fait des choses * Arrêt Jand’heur = élargissement de la responsabilité du fait des choses * Arrêt Blieck = élargissement du fait d’autrui * Arrêt Desmares = il a conduit à la loi de 1985 qui porte responsabilité du fait des choses, plus particulièrement sur le domaine des accidents de la circulation. Ces 4 arrêts ont construit

Par exemple, la bonne foi dans les contrats. Toutefois, si le droit intègre dans ses règles une dose de morale, ce n’est qu’avec l’objectif d’assurer l’ordre social. Inversement, d’autres règles vont à l’encontre de la morale. Par exemple, depuis un arrêt de la cour de cassation de l’assemblée plénière du 29 octobre 2004, une libéralité consentie à l'occasion d'une relation adultère n'est plus nulle comme ayant une cause contraire aux bonnes moeurs. Par conséquent, les règles de droit et les règles

Françoise Durieux Droit Civil : Les personnes, les incapacitées Contrôle DM écrit à la main. Intérro écrite semaine du 10 novembre, sans code civil Epreuve commune en amphithéatre le samedi 6 décembre de 8h30 à 11h30 sur le campus de Bron. Le cours se composera de deux parties : Les personnes et une autre sur les Incapacitées. I ) Les personnes : Au sens juridique les personnes sont les gens qui sont capables de jouir de droit. Ce sont les sujets/titulaires de droit. Droit : Il peut être utilisé