Arnolphe Tragique

lui, pris de peur il la supplie de repartir et de ne jamais revenir, effrayé par son physique repoussant, La Fontaine aborde donc le sujet de la mort avec humour, rendant la fable plus légère, accessible à tous et enlevant en quelque sorte l'aspect tragique de celle-ci. Cet état d'esprit est également retrouvé dans les comédies de Molière, tel que «  L'Avare » dans laquelle un père de deux enfants, intéressé principalement par l'argent et secondement par ses enfants, est à la recherche d'une cassette

lecteur ou spectateur qui assiste aux scènes avec tous les points de vue à la fois, étant plus au courant que les personnages de ce qui va leur arriver, par exemple dans L’Ecole des Femmes Acte I scène 4, de Molière, Horace fait une confession à Arnolphe sans savoir que ce dernier est directement touché par cette confession plutôt désagréable. La comédie cherche toujours à montrer l’aspect ridicule des choses en les dédramatisant voire en désacralisant l’homme. Beckett détourne par exemple l’existence

“L'école des femmes” (1662) Comédie en cinq actes et en vers Fort de l’expérience universelle qui fait craindre aux maris d’être faits cocus, décidé à ne pas l’être, rêvant d'une femme parfaitement fidèle et soumise à ses volontés, Arnolphe a pris soin de choisir autrefois, à la campagne, une fillette de quatre ans et l'a formée selon sa «méthode» qui doit la maintenir dans la voie de la vertu, dans l'ignorance et loin de tout regard masculin. Agnès a maintenant dix-sept ans et, en

contribue à l’expression de cet amour infini : j’ai dans l’âme une fête éternelle ! (vers 23). Bien qu’éloignée du registre de la comédie qui prévalait en début de tirade, l’expression de l’amour n’est cependant pas ici tragique. C’est dans cette tension entre la comédie et le tragique que se situe le drame romantique. L’image de la femme est ici heureuse et provoque dans l’âme de l’amant une fête éternelle. La fin de la tirade se rapproche ainsi du blason (technique poétique du XVIème siècle qui

Identification ( douleur de Pridamant, qui croit qu'il vient d'assister à la mort de son fils et envisage de le suivre dans la mort. identification ) possible des spectateurs à un personnage ou de leur rejet devant un personnage odieux ou ridicule. (Arnolphe dans L’Ecole des femmes, sequestre Agnès) *   * MONOLOGUE * Apartés scènes comiques = établit complicité spectateur qui se sent investi dans la représentation C'est ainsi que lorsque Figaro et Suzanne, dans Le Mariage de Figaro

1662, un barbon tente de s’opposer à la relation amoureuse entre deux jeunes innocents. Ce conflit entre les deux héros et la précaution du vieux Arnolphe établies un support de la pièce de tel sorte que les lieux, les personnages et le temps sont basés selon l’intrigue. Agnès, jeune fille innocente, est décrite comme quelqu’un de bête pendant que Arnolphe tombe désespérément amoureux tout en supportant sa théorie sur les femmes en même temps que Horace est dés le début aveuglé par l’amour. Le fonctionnement

 Mon avis sur le livre : J’ai bien aimé ce livre car l’histoire est pleine d’actions et de rebondissements. L’intrigue est drôle (Dom Juan le têtu, Sganarelle essayant de le raisonner en vain), ce qui nous implique dans la lecture. La fin tragique, même si elle est un peu étrange, s’accorde bien avec le reste de la comédie. On s’attendait à une vengeance divine à cause de toutes les frasques de la vie de Dom Juan. Ce que je trouve intéressant dans cette comédie, c’est que Molière " épargne "

Lorsque l'on évoque les nombreuses formes du comique, par ses mimiques très prononcées et très amusantes. De même, dans l'Ecole des Femmes, Molière sait, grâce à son habileté et son écriture, amuser le public. Dans la scène 5 de l'acte II, Arnolphe, obsédé par la crainte d'être cocu, interroge Agnès qui vient de s'ouvrir à l'amour; le dramaturge utilise ici le quiproquo, et l'équivoque entre l'amour et le ruban. De plus, de tous temps, les Hommes voient le théâtre comme un lieu de divertissement

l'on évoque les nombreuses formes du comique, par ses mimiques très prononcées et très amusantes. De même, dans l'Ecole des Femmes, Molière sait, grâce à son habileté et son écriture, amuser le public, le stimuler . Dans la scène 5 de l'acte II, Arnolphe, obsédé par la crainte d'être cocu, interroge Agnès qui vient de s'ouvrir à l'amour; le dramaturge utilise ici le quiproquo, et l'équivoque entre l'amour et le ruban. De plus, de tous temps, les Hommes voient le théâtre comme un lieu de divertissement

spectateurs. Aussi, dans la scène 2 de l’acte I de L’école des Femmes de Molière également, le valet et la servante d’Arnolphe mènent une dispute. Le valet, très énervé envers la servante, veut lui donner une gifle mais par accident cette gifle touche Arnolphe ; un comique de geste est utilisé pour faire rire le public. En outre, dans L’importance d’être constant d’Oscar Wilde, les didascalies soulignent le fait que devant les multiples tentatives d’Algernon qui essaie tant bien que mal de lui déclarer