Animalité

mis à nu” publié en 1887, Baudelaire écrit : ”Il y a dans tout homme, à toute heure, deux postulations simultanées, l’une vers Dieu, l’autre vers Satan. L’invocation de Dieu, ou spiritualité, est un désir de monter en grade ; celle de Satan, où animalité, est une joie de descendre.” C’est de cette façon que Baudelaire représente la condition humaine. Ce qui nous ramène à la dualité du titre de la section “Spleen et Idéal”. À l’élan vers l’idéal s’opposent la chute et le désir de se laisser emporter

par la révolution prolétarienne. F - LE TRAVAIL COMME CULTURE Avec le travail l’homme divorce d’avec son animalité, il ne laisse pas la nature telle qu’elle est, il la transforme et en la transformant, il se transforme lui-même. En travaillant, l’homme se trouve lui-même travaillé, ce qui veut dire qu’il généralise la transformation. On peut dire qu’il s’élève au-dessus de son animalité pour devenir spécifiquement humain. Le travail prouve que l’homme n’a pas une nature donnée une fois pour toutes

projeter. C'est pourquoi le désir est propre à l'homme. Il le différencie de l'animal et fait partie de ce qui définit son humanité.Lorsque Pascal dit « qui veut faire l'ange fait la bête », il entend que renoncer au désir revient à retourner à animalité. Un homme sans désir est condamné à l'ennui, à la mort ou à l'animalité.Le désir meut les hommes car il est insatiable : il les pousse à dépasser les limites et leurs limites, pour obéir à leur désir.On développe ici le mythe des androgynes, raconté

|Vers 5 : « bête » et « esprit » sont placés en oxymore (alliance de mots dont le rapprochement est | | |inattendu) au milieu pour dépasser la traditionnelle opposition entre animalité et spiritualité. | | |Vers 6 : « fleur » et « âme » se font écho à la 3ème et 6ème syllabes. Le 1er mot définit et met en | | |valeur le 2nd

celle de la polis, la violence est chassée. De plus, la cité régie par un ordre politique, variant selon les époques, n’a-t-elle pas pour conséquence l’annihilation de la violence humaine ? En effet, en entrant dans la cité, l’homme annihile son animalité et la violence qui la caractérise. Ainsi, hors de la cité, l’homme, soumis à ses instincts, ses désirs, ses passions, ne se soumettrait qu’à la loi du plus fort et cet état naturel serait un véritable enfer où la violence se déchaînerait, (Hobbes

Distance méprisante caractère cosmique L12 Ce, Ca Distance L14 Comparaison de la guerre à des activités triviales et quotidiennes Caractère absurde L17 Comparaison avec la lampe à arc Explosion L19 « Roti » « carne » Animalité, égalité dans la mort, regret de s'etre engagé L20 Exclamation « crétin » Autocritique Problématiques : Par quels moyens l'auteur exprime-t-il l'horreur et l'absurdité de la guerre ? Comment l'auteur utilise-t-il son anti-héros

Relativisme culture avec des normes ↓ ≠ Selon les cultures. Les pratiques sexuelles ou alimentaires sont contrôlées par la morale. La morale ordonne la répulsion des pulsions & permet alors à l’homme de s’éloigner de son animalité & donc de s’affirmer en tant qu’humain. La morale donne des périodes d’abstinence (en classe, au parc...) Les moines sont l’exemple de l’abstinence. La morale est là pour nous édifier (nous élever vers le haut) ≠ Le corps est la pour nous tirer

qu’on épouse. Pour finir, le mot « raison » (v.22) s’oppose au mot « animal » (v.23). La raison permet de maîtriser cette part animale rattaché au désir charnelle qui est bien évidemment sous-entendu dans le texte sous la forme du mariage. Cette animalité contesté par Armande par le terme péjoratif de « nous ravale » (v.24). Armande revendique donc l’égalité entre les hommes et les femmes, ainsi que la liberté des femmes par l’amour du pouvoir d’où le rattachement au mouvement littéraire féministe

la fragilité et de la passion, avec une touche de mystère qui ne fait qu’ajouter à son charme. Du côté des valets, Marie Vialle réjouit par son énergie autant qu’elle émeut par sa déconvenue finale, et Arlequin, énergique Alexandre Aubry, apporte animalité et drôlerie dans ce monde où le sentiment règne en maître. Enfin, dans le rôle de la mère, Isabelle Sadoyan brille par sa finesse et son humour, tandis que Christian Bouillette, dans le rôle de M. Rémi, et Jean-Yves Chatelais, dans le rôle du comte

techniques mécaniques. Le problème principal est que tout le vivant est réduit à l'état d'objet, sans sensibilité ! Pour Descartes si un animal est blessé et saigne il n'aura pas mal. Ce type de conception constitue une sorte d' impensée à identifier animalité humain comme l'animalité classique. Débat entre réalisme et anti-réalsime il y a également des degrés de réalisme et anti-réalisme. Descartes ne pense pas comme Épicure ( antiquité) que l'ensemble des constituants de la matière serait des atomes