Animalité

formelles puis du texte -problématique autour de la stratégie argumentative paradoxale qu’adopte le poète -annonce du plan I Un portrait dévalorisant II L’allégorie de la misère III La place du poète I Un portrait dévalorisant : On note une certaine animalité : les comparaisons suivantes participent au processus de déshumanisation : « C’était un nègre grand comme un pongo » présence dans la citation d’indices rappelant qu’il s’agit d’une description : l’utilisation de l’imparfait et le pronom démonstratif

solitaire, il est obligé de vivre en société et de construire des relations humaines. La culture peut alors servir à la destruction de l’homme et des civilisations car si la société civile à le pouvoir d’adoucir les hommes et de contenir leur animalité, elle ne leur extrait pas cependant leur nature. Ainsi la culture permet de canaliser l’agressivité contenue en chacun pour permettre le vivre ensemble mais les civilisations sont donc basées sur un refoulement des instincts de chaque individu ce

et des conversations de salon. Cette communication n’est pas verbale par absence, non pas de verbe, mais de verbosité de la parole. C’est le langage essentiel et existentiel de la relation à l’autre, des émotions et sentiments, des états d’âme et animalité dans l’humanité de la langue. La langue anglaise fait la distinction nette entre "speech" (langue) et "language" (langage de la communication non verbale). Ce n'est que par la traduction et la trahison à partir de la langue anglaise que la notion

pour l’Homme, lui qui est toujours en quête de la preuve de son existence, trouve ici une vérité sédative à son mal être. On voit donc que par la prise de conscience, l’Homme acquiert une capacité de se comprendre et de dépasser l’état de simple animalité pour atteindre la connaissance. Ensuite, la prise de conscience face au monde extérieur nous montre que l’être pensant que nous sommes, existe dans un monde constitué d’autres êtres pensants. On est donc humains parmi les humains. La prise de

plus radicale. *Barbarie: - ce qui n'est pas civilisé (étym.) --> descriptif - comportement que l'on juge indigne d'un homme --> normatif Etymologiquement --> logos (grec): -langage articulé ≠ cri -la raison/cohérence/intelligence ≠ animalité/affects/pulsions Tout homme est animé d'une tendance à rejeter la différence du côté de l'altérité radicale. Cette attitude peut se retrouver en chacun de nous. Parallèle à l'idée de barbarie nazie, on refuse de se reconnaître comme semblable

une abstraction. Ainsi l'homme, dans la mesure où il est un être social, ne saurait échapper aux cérémonies. Celles-ci, loin d'être quelque chose d'extérieur à l'homme, constituent son être même. Elles seules, au fond, arrachent l'homme à la pure animalité. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle toutes les sociétés ont élaboré des cérémonies d'initiation qui permettent à l'individu d'être intégré dans le groupe social . Par exemple par : cérémonie mariage, baptème, remise diplôme et même enterrement

maîtrise la nature et réalise son humanité. Le travail devient ici libérateur. Cf. Cours sur le travail : Hegel développe l’idée que l’homme prend conscience et réalise son humanité par un processus de transformation du donné naturel (monde extérieur, animalité en l’homme), une confrontation avec ce qui est autre (matière / esprit). Repris par Marx : essence du travail = médiation par laquelle l’homme réalise son essence, mais Marx critique idéalisme hégélien (négliger conditions historiques : travail aliéné)

travail contraint ne permet pas un épanouissement du travailleur, et donc un accomplissement de son humanité, des ses finalités humaines. Tout dépend du travail choisit, pour les moins chanceux, il s’agira d’un travail physique, les amenant à leur animalité, et à leur retour aux fonctions primaire de l’homme, les fonctions animales. Pour les hommes effectuant un travail plus intellectuel, l’aliénation ne sera pas aussi forte, mais sans épanouissement dans ce qu’il fait, l’homme ne s’accomplira pas.

Selon Kant la notion même de bonheur pose d’abord un problème, car le contenu concret (empirique) en est impossible à cerner. « Le concept de bonheur n’est pas un concept que l’homme abstrait de ses instincts et qu’il extrait en lui-même de son animalité, mais c’est une simple Idée d’un état, à laquelle il veut rendre adéquat cet état sous des conditions simplement empiriques (ce qui est impossible) » 2 De même il pense que le bonheur supposerait que nous puissions satisfaire tous nos désirs,

Introduction Jean Jacques Rousseau est né le 28 juin 1712 à Genève et est mort 2 juillet 1778 à Ermonville, est un écrivain,philosophe et musicien Genevois francophone. Orphelin de mère très jeune,sa vie est marquée par l’errance.Jean Jacques Rousseau est certes,un philosophe de lumière en raison de ses caractères révolutionnaires de ses idées mais aussi à contre-courant de la confiance de son époque dans le progrès.En effet,il conçoit le progrès comme toutes les mutations opérées par