Animalité

Exposé Animalité et humanité dans le roman « Cannibale » Points développés dans l’exposé : * Le traitement des Kanaks * Le langage des autres pour les désigner * Le champ lexical de l’animalité dans l’extrait du livre p.35 * Le degré d’humanité de certains personnages du livre * Définition d’un humain Le traitement des Kanaks Pour dire comment sont traités les Kanaks, nous avons essayé d’abord de voir ce qu’était un traitement humain. Pour nous, un traitement

que ces ancêtres ont écrits pour transmettre leur connaissance. L’homme est produit que pour l’infinité car il ne s’arrêtera pas d’apprendre et de transmettre. Question 3 Le destin de l’homme est-il de rompre avec son animalité en conservant et en augmentant ses connaissances. Dans ce texte, Pascal entreprend de nous convaincre qu’il existe une différence de nature entre connaissance humaine et connaissance animale. Les animaux naissent avec la connaissance pour

de donner à la satisfaction de ses besoins animaux ce cours libre, auquel l'animal n'apportait pas de réserve. Il est nécessaire encore d'accorder que les deux négations, que, d'une part, l'homme fait du monde donné et, d'autre part, de sa propre animalité, sont liées. Il ne nous appartient pas de donner une priorité à l'une ou à l'autre, de chercher si l'éducation (qui apparaît sous la forme des interdits religieux) est la conséquence du travail, ou le travail la conséquence d'une mutation morale

moralité et la nature humaine. Cependant, à la différence de Lafontaine qui faisait parler des animaux pour encourager les humains à adopter une conduite honnête et prudente, Radiguet propose à ses lecteurs un adolescent convaincu de l’essentielle animalité des humains et qui a décidé de mener une existence plutôt malhonnête et téméraire. Étant donné les valeurs conservatrices du début du XXe siècle en France, le roman de Radiguet est manifestement une ode à la rébellion. En effet, la profonde ironie

donne à l’homme des interdits et trouve sa morale dans le travail. Ces interdits religieux , tels que ne pas voler (de la nourriture par exemple), ne pas tuer pour manger ,comme pourraient le faire les animaux, permettent à l’homme de nier son animalité car lui ne le fait pas. Enfin, plus le monde se transforme(par le travail de l’homme), change , plus l’homme a besoin d’évoluer avec ce monde. Ceci ne peut se faire sans qu’il s’éduque, afin de continuer son adaptation à ce monde artificiel. Mais

discipline représente une part importante de l'éducation . Effectivement le processus culturelle auquel l'homme est soumis a la capacité de le faire devenir humain ou inhumain. C'est alors pour lui le rôle de la discipline de transformer son animalité en humanité, ainsi par l'usage de la raison l'homme peut atteindre sa destination : l'humanité. Grâce à autrui et dès son plus jeune âge, l'enfant pourra acquérir un réflexion lui permettant de ne pas agir au grès de ses envies. Il serait alors

elle est double : - Négation externe: l’Homme qui modifie les données naturelles. Exemple: Si une foret le dérange, il va la raser. - Négation interne, de son animalité. Exemple, il se fixe des interdits moraux. Négation intérieur Animalité Refus des besoins animaux← Éducation-->Interdit religieux/morale Mutation morale

(3)INTRODUCTION « J’ai voulu étudier des tempéraments et non des caractères, j’ai choisi des personnages souverainement dominés par leur chair et leur sang. » C’est ainsi que Zola décrit son projet de présenter l’homme dans toute son animalité, projet réalisé à travers l’écriture des « Rougon-Macquart, histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire ». Dans cette série de vingt romans suivant les membres d’une famille sur cinq générations, Zola tente de décrire l’ensemble

Baudelaire fait une gradation: «femme impure», «cruelle», «en cruautés féconde» se mue en «reine des péchés» et en «vil animal». Le dégoût de cette animalité se fait d'autant plus redoutable qu'elle est fascinante. Cette fascination est notable dans le vingt-cinquième poème de Spleen et Idéal «Ô fangeuse grandeur! Sublime ignominie.» Or cette animalité est l'envers de l'idéalité qui fait aussi de la femme un guide angélique. C'est ce rôle qui lui est dédié dans «Le Flambeau vivant», «Me sauvant de

justement « les hommes ». Ce qui nous amène à nous poser quelques questions : Tout d’abord, en lisant son roman on peut remarquer une double personnalité des hommes. Un côté de grandeur et un côté bestial. Comment se manifeste cette dualité Grandeur/Animalité ? Ensuite, de quelle(s) manière, l’homme a-t-il une emprise sur la femme ? Quel est l'importance de la tradition dans la relation homme/femme ? Comment faire évoluer cette relation entre les deux sexes ? Et finalement : Quelle est la thèse de Mariama