Animalité

nature humaine -L'Homme est défini comme un être de pulsions, de désirs qui le conduise à faire le mal. ex: Macbeth est poussé au mal par sa soif de pouvoir. -On retrouve chez l'Homme une forme de jouissance à faire le mal. ex: Thérèse: animalité, sadisme. (comparaison avec un furet assoiffé de sang et plaisir à l'idée de vider Mme Numance comme un lapin). Confusion entre l'animal et l'Homme. Ex: Ovide cite « je sais ce qu'est le bien mais je choisis de faire le mal ». -Ce dernier exemple

et paradoxalement même le désir d’être seul renvoie à un désir de reconnaissance. L’Homme pourrait-il vraiment toujours vivre seul ? Peut-on parler en effet d’humanité sans autrui ? N’est-ce pas autrui qui nous permet de nous libérer de notre animalité ? La conscience de soi ne passe-t-elle pas obligatoirement par la reconnaissance de l’autre ? Donc la finalité du désir n’est-elle pas de porter sur un autre désir ? La première partie présentera la critique de la solitude. La deuxième partie

lequel il s’égorge ». • Dénonciation de leur sauvagerie : la répétition d’ «égorger» • Les hommes doivent rester humbles. On les appelle de «si chétifs animaux», «un animalcule» CP: le chapitre sept est une invitation faite à l’homme à vaincre son animalité, son esprit de guerre, de destruction, sa vanité. Conclusion : Dans cet incipit, Voltaire enseigne la sagesse qui mène l’homme au bonheur. Ce dialogue entre des extra-terrestres étonné que des êtres si petits soient si intelligents doit aider

nous donne à voir le monde grâce au présent de l’énonciation. Utilisation du pronom « on » (= « nous »). S’apparenter au travestissement du propos à des fins argumentatives + « certains » = « animaux farouches » Scène qui se précise peu à peu. Animalité lisible jusque dans les dernières lignes du 1er paragraphe. Comme si ces animaux agissaient par instinct, sans ordre. Le 1er détail qui rapproche ces êtres de l’humanité  la voix Incapacité à communiquer se retrouve chez les barbares. « Tanière

“L’enfant est le père de l’homme”. Avant d’être fils de l’homme, l’homme est fils de l’animal. L’animal est le père de l’homme. La double acceptation de sa filiation et de sa nature présente est un élément de sa dignité et la clef du dépassement de son animalité. Rosanna Santos L’homme et l’animal I QUEL EST LE STATUT DE L’HOMME PAR RAPPORT À L’ANIMAL ? 1 - La conscience de l’altérité animale 2 - En découle une double interrogation sur le statut de l’animal et de l’homme 3 - Une question atemporelle et

du fait » qu’elle n’est pas la faculté dominante chez l’homme », et ajoute t’il, « l’homme n’agit point par la raison qui fait son être ». En supposant que nous soyons des animaux raisonnables, cela ne nous fait pas agir. Nous n’agissons pas par animalité, même si la raison était essentielle, elle n’est pas ce qui nous force à agir. L’instinct est une première vérité. La raison est livrée à elle-même, elle est en proie à des contradictions, elle dépend de prémisses, de principes indémontrables alors

couleurs …) justifiant le slogan « LEGO, constructeur d’avenir ». L’enfant est un être autonome, intelligent, associé à l’avenir et à la technologie (éolienne , pull rayé, cheveux coiffés …) alors que ses parents sont assimilés à des êtres archaïques (animalité des chevelures, faux léopard, chemisier au motif non structuré de la mère, végétation en arrière plan, …). L’opposition parents/enfants est clairement signifiée dans la composition (séparation axe vertical) et dans l’attitude des personnages (regards

immédiate, la vocation à produire des richesses le conduit à en construire beaucoup d'où la conclusion. DÉNATURATION NATURATION ≠NATURE Auteur des choses - Violence – force- Instincts / pulsions ≠ Homme - Tend à devenir- Animalité dégénère sociable mêle confond défigure mutile PERFECTIBILITÉ Il ne veut rien tel que CULTURE / ÉDUCATION la nature l'a fait. Volonté de dresser

des temps qui ne sont point nôtres et ne pensons point au seul qui nous appartient » Pascal. Nous ne vivons jamais mais nous espérons vivre. Toutefois le désir est «l'essence de l'humanité »  écrit Spinoza. L'homme en desirant depasse son animalité . Il se fixe des objectifset donc existe. Il ne se contente plus d'un état passif, il agit et donne un sens à son existence. Le désir est donc le moteur de l'homme , il est une force créatrice. Nous pouvons considérer les œuvres du genre humain :

puissance et aussi à détruire tout ce qui s’oppose à sa puissance, y compris l’homme lui-même. C’est inscrit dans l’histoire de l’humanité et les actualités nous le rappellent tous les jours, comme la guerre au Mali. L’homme agit par instinct et animalité. Seule la culture le différencie de la nature animale. Doit-t-on alors parler de nature humaine ou d’homme cultivé ? L’ensemble des caractères communs à tous les hommes seraient plus la culture que la nature.