La sous-traitance De plus en plus d’entreprises sou traitent une portion accrue de leurs activités afin d’améliorer leur compétitivité au sein d’un environnement caractérisé par des changements profondes et continues et qui s’évoluent avec un rythme très élevé par rapport celui de l’entreprise. La sous-traitance permet aux entreprises de se focaliser sur le cœur du métier et de confier au maximum les activités périphériques à des spécialistes ce qui leur permet d’être plus flexible et plus innovant toute en réduisant les coûts, les investissements et les risques. Certes, cette tendance touche par excellence l’industrie automobile surtout pour les activités de conception et de fabrication et aussi les industries aéronautiques et les télécommunications. Mais avec le développement des technologiques de l’information et de la communication, le changement du comportement du client qui devient de plus en plus exigent, la mondialisation qui accroit la concurrence, les entreprise sont encouragées à étaler leurs stratégies de sous-traitance à d’autres activités.
Les entreprises qui adoptent la stratégie de sous-traitance n’obtiennent pas toujours les bénéfices souhaités, elles peuvent même supporter l’échec suite d’un manque de planification et de contrôle a posteriori de la décision de sous-traitance, et suite à des erreurs commis au moment du choix du sous-traitant ou bien de l’activité sous-traitée par les gestionnaires.
Afin de réussir la sous-traitance, l’entreprise doit respecter six étapes toute en assurant la cohérence entre eux d’abord les gestionnaires doivent définir les activités à impartir et celles à garder à l’intérieur, ensuite justifié la décision de l’impartition qui doit amener l’entreprise à être plus compétitif et à se concentrer sur son activité principale, après choisir le type de sous-traitance entre la sous-traitance d’économie ou de capacité, la sous-traitance de spécialité et la sous-traitance d’intelligence selon s’il s’agit de la