En France, plus de 99 % des 2,6 million d’entreprise françaises sont des P.M.E. (petits et moyennes entreprises).
Les petites et moyennes entreprises constituent un grand pole diversifié, multiformes. Elles sont constituées de moins de 250 salariés, on dit qu’elles ont une taille humaine.
Les PME échangent certain rapport avec des entreprises appelées généralement sous-traitant.
On parle de sous-traitant quand une entreprise, appelée donneur d’ordres, confie une tâche à exécuter ou un produit à réaliser à une autre entreprise, appelée sous-traitant.
Il existe deux genres de sous-traitance, la sous-traitance de spécialité et la sous-traitance de capacité.
La sous-traitance de spécialité consiste à faire fabriquer ou à faire concevoir des produits par des autre entreprise pour faute de compétence. La sous-traitance de capacité, le donneur d’ordres, biens qu’équipé lui-même, recourt à des entreprises extérieurs pour produire en volume (période de suractivité).

On premier lieu, nous verrons si la position et la situation économique des équipementiers est’ elle favorable.

Les équipementiers sont confrontés à une conjoncture difficile, notamment avec l’augmentation rapide des coûts des matières premières.
Dont les constructeurs refusent de prendre à leur charge la hausse ou à certaines conditions, notamment, une amélioration de la productivité. Pour que cela devienne possible, les entreprises devront automatiser leur production en ne conservant qu’un effectif pour la maintenance.
Ce qui entraine des licenciements de personnels ou, voir même une délocalisation.

Le nombre d’entreprise composé d’un effectif supérieur a 20 a régressé par rapport aux trois dernières années 2003 : 227,2004 : 219 et 2005 : 217.
Donc l’effectif en millier a aussi régressé ces trois dernières années, 2003 : 92.6, 2004 : 91.4 et 2005 : 89.5 milliers.
Le chiffre d’affaires des équipementiers automobiliste français de ces trois dernière années se trouve sur une période stable,