ô Tourment

noctes atque dies labore praestante | S'efforcer jour et nuit par un travail acharné | Emergere ad summas opes rerumque. | De s'élever au sommet des richesses et de dominer le monde. | O miseras mentes hominus, | O malheureux esprits des hommes, | O pectora caeca, | O coeurs aveugles, | In qualibus tenebris vitae | Dans quels tenèbres de la vie | In quantisque periclis | Et dans quel grand péril | Degitur quodcumquest hoc aevi! | Se consumme

 Baudelaire – Le possédé Le soleil s'est couvert d'un crêpe. Comme lui, Ô Lune de ma vie ! emmitoufle-toi d'ombre ; Dors ou fume à ton gré ; sois muette, sois sombre, Et plonge tout entière au gouffre de l'Ennui ; Je t'aime ainsi ! Pourtant, si tu veux aujourd'hui, Comme un astre éclipsé qui sort de la pénombre, Te pavaner aux lieux que la Folie encombre, C'est bien ! Charmant poignard, jaillis de ton étui ! Allume ta prunelle à la flamme des lustres ! Allume le désir dans les regards

vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps, et transir3 et brûler.Je reconnus Vénus et ses feux redoutables,D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables.Par des vœux assidus je crus les détourner : Je lui bâtis un temple, et pris soin de l'orner ; De victimes moi-même à toute heure entourée,Je cherchais dans leurs flancs ma raison égarée.D'un incurable amour remèdes impuissants !En vain

de ce funeste doute. PHÈDRE Tu le veux. Lève-toi. OENONE                                Parlez : je vous écoute. PHÈDRE Ciel ! que vais-je lui dire ? Et par où commencer ? OENONE Par de vaines frayeurs cessez de m'offenser. PHÈDRE O haine de Vénus ! O fatale colère ! Dans quels égarements l'amour jeta ma mère ! OENONE Oublions-les, Madame. Et qu'à tout l'avenir Un silence éternel cache ce souvenir. PHÈDRE Ariane, ma sœur ! de quel amour blessée, Vous mourûtes aux bords où vous fûtes

org/wiki/1941 o 19411941, pour lui sauver la vie, sa mre lexpdie dans les Alpes par un train de la HYPERLINK http//fr.wikipedia.org/wiki/Croix-Rouge_franC3A7aise o Croix-Rouge franaiseCroix-Rouge Son nom, francis, devient Perec. Georges Perec passera l le reste de la guerre avec une partie de sa famille paternelle. Sa mre disparat Auschwitz, en 1943. Georges retourne HYPERLINK http//fr.wikipedia.org/wiki/Paris o ParisParis en HYPERLINK http//fr.wikipedia.org/wiki/1945 o 19451945 o il est adopt

BAUDELAIRE « Le Crépuscule du soir » Sens et contenu : portrait d'une ville sombre, peu avenante et réaliste Lecture : Si je mourais là-bas sur le front de l'armée Tu pleurerais un jour ô Lou ma bien-aimée Et puis mon souvenir s'éteindrait comme meurt Un obus éclatant sur le front de l'armée Un bel obus semblable aux mimosas en fleur Et puis ce souvenir éclaté dans l'espace Couvrirait de mon sang le monde tout entier La mer les monts les vals et l'étoile qui passe Les soleils merveilleux

protagoniste. c. Quatrains 8-11 : Recherche frénétique d’un espoir. Les quatrains 8 à 11 se démarquent par la fréquence des modalités interrogative et exclamative. On est ici dans un moment de véritable tourment. Le quatrain 8 se démarque par la simplicité de ses assonnances claires en a, o, é, « allés », « évanouis », « encor », « chose », « éblouis », « clarté » ; et par le classicisme de ses vers avec césure à l’hémistiche. C’est en effet le moment de la réminiscence de la « clarté » et

puis la nuit ! – Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ? Ailleurs, bien loin d’ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j’ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j’eusse aimée, ô toi qui le savais ! Poèmes issus d’une source internet GERARD de NERVAL : «  Une femme est l’amour » Une femme est l'amour, la gloire et l'espérance ; Aux enfants qu'elle guide, à l'homme consolé, Elle élève le cœur et calme la

l'idée d'une pièce comique. L'auteur contraste l'effet comique de la scène par du tragique en employant par exemple une Stichomythie ( Octave ! ô fou, ô Coelio ! fou ) souvent utilisé lors de tensions, duels. Ainsi que l'utilisation de l'oxymore à la première réplique de Octave annonce une position inconfortable pour Coelio qui reste tout de même tourmenté car il est abandonné à un amour impossible avec Marianne, c'est d'ailleurs la raison pour laquelle il se blâme lui même à ça toute première réplique

la nature donnent une impression de douceur, ce sont deux choses naturelles comme l'inspiration pour un poète. ( La muse guide le poète elle est son inspiratrice) La muse possède une place presque maternelle dans la vie du poète tourmenté par la souffrance, elle le guide dans ses choix concernant l'écriture, lui propose des sujets d'écriture. La présence d'une personnification de la muse (dialogue) lui donne un caractère humain, ainsi elle semble faire preuve d'autorité envers le