ô Tourment

sa raison. Le champ lexical de la folie en témoigne, avec « Un trouble » v. 8 ; « âme éperdue » v. 8 ; ma raison égarée » v. 16 Phèdre se voit affectée de troubles qu’elle repousse le plus qu’elle peut. Mais à cause de ces troubles (V.12 : « Tourments » v. 32 : « Agitées » v.20), Phèdre perd la raison et se met à avoir des visions et à imaginer Hippolyte partout, même quand il n’est pas là (« Le voyant sans cesse »). D Ce passage vers la folie fait que Phèdre, quand elle nomme Hippolyte,

boit et jette la fiole.) DOÑA SOL. Que fais-tu? HERNANI. Qu'as-tu fait? DOÑA SOL. Viens, ô mon jeune amant, Dans mes bras. Ils s'assoient l'un près de l'autre. Est-ce pas qu'on souffre horriblement? HERNANI. Non! DOÑA SOL. Voilà notre nuit de noce commencée! Je suis bien pâle, dis, pour une fiancée? HERNANI. Ah! DON RUY GOMEZ.  La fatalité s'accomplit. HERNANI. Désespoir! Ô tourment! Doña Sol souffrir, et moi le voir! DOÑA SOL. Calme-toi. Je suis mieux. — Vers des clartés nouvelles

influence auprès de Thésée. Hippolyte la décrit d'ailleurs comme étant la cause de la fin de sa vie paisible. Ainsi Hippolyte apparaît tourmenté par l'hostilité que montre sa belle-mère mais surtout par ses sentiments nouveaux pour Aricie qui le décontenancent. Il semble déterminé à accomplir ce en quoi il est convaincu, c'est à dire quitter Trézène et ses tourments pour retrouver son père. Résolution soulignée par son avant dernière réplique, brève, " Théramène, je pars, et vais chercher mon père

J’aime… Œnone Qui ? Phèdre Tu connais ce Fils de l’Amazone, Ce Prince si longtemps par moi-même opprimé ? Œnone Hippolyte ? Grands Dieux ! Phèdre C’est toi qui l’as nommé ! Œnone Juste ciel ! Tout mon sang dans mes veines se glace ! Ô désespoir ! Ô crime ! Ô déplorable race ! Voyage infortuné ! Rivage malheureux, Fallait-il approcher de tes bords dangereux ? Phèdre Mon mal vient de plus loin. À peine au fils d’Égée Sous les lois de l’hymen2 je m’étais engagée, Mon repos, mon bonheur semblait

Athénienne, trois grands dramaturges grecs en interrogent les fondements religieux et politiques en représentant différents conflits. o Eschyle exprime l’esprit religieux et la fierté nationale d’Athènes en mettent en scène héros ou dieux. o Sophocle humanise les personnages de la tragédie toujours soumis à la volonté du destin. o Euripide met l’accent dur les tourments de la passion. • Le Romain Sénèque adaptera en latin des tragédies grecques comme la Médée d’Euripide. 2. Qu’est-ce qu’une situation

méchants ». Rousseau fait alors une sorte de blâme envers les « méchants ». Mais l'auteur les connaient-ils réellement? Qui est-il pour les juger ainsi? L'auteur commence par affirmer une certaine inutilité à ce sujet: « Ne me demendez pas si les tourments des méchants seront éternels ; je l'ignore et je n'ai point la vaine curiosité d'éclaircir des questions inutiles. » Il confirme par la suite ses propos précédents : « Que m'importe ce que deviendront les méchants? Je prends peu d'interêt à leur

Je les supprime dans votre texte systématiquement. Baudelaire sent que sa fin approche : il est tourmenté. Cette L’oxymore : " le regret souriant " (v.11) est mise valeur par la diérèse (sou-ri-ant) et elle montre que Baudelaire est troublé car il personnifie le regret qui en général normalement ne sourit pas, mais avec lui pour Baudelaire il sourit. Est-ce pour le narguer et accentuer son tourment ? [soyez prudent dans vos interprétations] De plus, des vers 1 à 8 les rimes sont semblables phonétiquement

le thème que j’ai choisi, et que je vais aborder. Bien que la souffrance puisse être physique, je me penche plus amplement sur la souffrance morale. Sa caractérisation est souvent simple, définie par ses synonymes comme étant une douleur, torture, tourment… Néanmoins elle n'est pas moins ressentie par les gens dans chaque épreuve de la vie. Ainsi, il est arrivé dans l'histoire de la poésie, que certains artistes se penchent à leurs façons sur le sujet.  C'est pour cela, que nous avons décidé de traduire

petits amoureux qu'ont les fleurs ! Ce n'est dans les jasmins, ce n'est dans les pervenches Qu'un éblouissement de folles ailes blanches Qui vont, viennent, s'en vont, reviennent, se fermant, Se rouvrant, dans un vaste et doux frémissement. O printemps! quand on songe à toutes les missives Qui des amants rêveurs vont aux belles pensives, A ces coeurs confiés au papier, à ce tas De lettres que le feutre écrit au taffetas, Au message d'amour, d'ivresse et de délire Qu'on reçoit en

du ver 17 le poète prend le relais de Dieu pour stigmatiser l’infamie. Il exprime sa colère (pas besoin du « je » : colère objective) : points d’exclamation (vers 17, 21, 25, 27, 28, 29, 31, 32, 34) correspondants à l’indignation. Article vocatif « Ô », adjectifs « infâmes », « étouffants », « insensée », « mauvais », et surtout « maudit » : Anaphores (v. 30, 31, 32). 2) Faire appel à l’émotion du lecteur, à ses sentiments : Persuader -Le tableau des premiers vers cherche à faire naître la