ô Toi Que Mon Amour Profond

campanile de Giotto… Ce spectacle était enchanteur au premier chef. Mais un autre spectacle ravissait intérieurement l’âme du père et lui faisait oublier celui-là. Des yeux illuminés de son cœur, il contemplait Dieu, il suivait avec un sentiment de profonde adoration les actes de la vie divine, il se voyait lui-même perdu dans la divine présence comme le grain de poussière dans un rayon de soleil. Nous ne relèverons point, par de vaines louanges, la haute spiritualité contenue en ces pages sous une

l'amour. Je vous invite donc à lire cette anthologie enfin de vous en rendre conte par vous même. A la fin de l'anthologie vous trouverez un regroupement de citations des poètes vu dans l'anthologie. En espérant qu'elle sera à votre goût. Amour me tue, et si je ne veux direAmour me tue, et si je ne veux direLe plaisant mal que ce m'est de mourir :Tant j'ai grand peur, qu'on veuille secourirLe mal, par qui doucement je soupire.Il est bien vrai, que ma langueur désireQu'avec le temps je me

la douceur de mon passé. Les trois poèmes suivants parlent d’amour passé. Le poème A George Sand, d’Alfred de Musset est un poème de souffrance exprimant un amour perdu. Il exprime tout l’amour qu’il a pour cette femme ainsi que sa souffrance, ce n’est plus qu’un souvenir. Puis le poème Souvenir, d’Alphonse de la Martine est aussi un amour perdu, passé. Mais celui-ci est beaucoup plus paisible. Le poète se remémore sa douceur, ses murmures. Il essaye de revivre ses moments de bonheur passé en écrivant

pourrons-nous jamais sur l'océan des âges il voudrait arrêter le temps Jeter l'ancre un seul jour ? Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière, le lac est un témoin de ce qu’est passé Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes, Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés, il projet son état d’ậme sur ce qu’il voit Ainsi le vent jetait

plus belles : Mes yeux, mes larges yeux aux clartés éternelles ! Car je ne puis trouver parmi ces pales roses Une fleur qui ressemble a mon rouge idéal. Qui saura satisfaire un cœur comme le mien ? Ce qu'il faut a ce cœur profond comme un abime, c'est Vous. O Beauté ton regard, infernal et divin, Verse confusément le bienfait et le crime, Tu sèmes au hasard la joie et les désastres, De Satan ou de Dieu, qu'importe ? Ange ou Démon, Qu'importe, si tu rends, homme aux yeux de velours

le poème en vers « La langoureuse Asie et le brulante Afrique, Tout un monde lointain »et dans le poème en prose « l’espace est plus bleu et plus profond ». Le sous-thème de la sensualité, dans le premier poème : « Le mien, ô mon amour ! Nage dans ton parfum. » est présent aussi dans le deuxième poème : «Dans les caresses de ta chevelure, je retrouve les langueurs des longues heurs

L’imagination formelle est indifférente à la matière qui lui sert de support. Selon Bachelard, il n’existe aucune relation entre la matière et les formes imaginées. Nube/ Corazón. Imagination matérielle. L’imagination matérielle s’occupe des images profondes et éternelles. L’imagination matérielle consiste à pénétrer dans l’intimité de la substance des images qu’on voit. Il existe une relation entre la matière et l’image. Nube/ Algodón. L’EAU L’eau comme surface : - Complexe de Narcisse

perceptions de l’amour. J’ai choisi Caerulei Oculi de Théophile Gauthier qui nous parle d’un amour impossible ; Le Pont Mirabeau de Guillaume Apollinaire qui nous raconte un amour déçu ; A une passante de Charles Baudelaire où on assiste à un amour idéal voire impossible ; J’ai tant rêvé de toi de Robert Desnos qui nous parle d’un amour idéal ; Vielle chanson du jeune temps de Victor Hugo qui nous raconte un amour de jeunesse ; Les yeux d’Elsa, un poème d’amour de Louis Aragon ; et Je l’aime à mourir

n'a sondé le fond de tes abîmes;O mer, nul ne connaît tes richesses intimes,Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets! Et cependant voilà des siècles innombrablesQue vous vous combattez sans pitié ni remords,Tellement vous aimez le carnage et la mort,O lutteurs éternels, O frères implacables! Charles Baudelaire, L'Homme et la mer Victor Hugo : Une nuit qu'on entendait la mer sans la voir Quels sont ces bruits sourds ? Ecoutez vers l'onde Cette voix profonde Qui pleure toujours Et qui toujours

charme non encore révélé, rencontre un homme cynique et dur mais qui dissimule une tendresse profonde. L'homme est pratiquement toujours supérieur à la femme quant à l'âge, l'instruction, la situation sociale. Entre l'instant de leur rencontre (le coup de foudre) et le "happy end", il leur faudra surmonter de nombreux obstacles (quiproquos, malentendus), mais ils sont prédestinés l'un à l'autre et leur amour triomphera de tout (l'union est symbolisée par un simple baiser ou par le mariage). • La