ô Toi Que Mon Amour Profond

qu'elle aimait est en profond désespoir. Parti pour erreur, celui-ci revient et décide de reconquérir son cœur par son amour revenu. Celle-ci, ne sachant pas quoi faire, se pose des questions qui semble pour elle sans réponses. Meurtri jusqu'au plus profond de ma chair, Tel un fantôme, j'arpente le long du précipice, j'erre, j'erre. Ô misérable amour ! Suis-je contrainte au malheur ? Revient - t - il par honneur ? 5 Ou simplement pour combler son amour certain ?

L'amour Il pleure dans mon cœur Il pleure dans mon cœurComme il pleut sur la ville,Quelle est cette langueurQui pénètre mon cœur?O bruit doux de la pluiePar terre et sur les toits!Pour un cœur qui s'ennuieO le chant de la pluie!Il pleure sans raisonDans ce cœur qui s'écoeure.Quoi! nulle trahison?Ce deuil est sans raison.C'est bien la pire peineDe ne savoir pourquoi,Sans amour et sans haine,Mon cœur a tant de peine! Verlaine Romances sans paroles La tristesse Il n'y a pas d'amour heureux Rien

Ô toi, que mon amour profond Ô toi, que mon amour profond et sans mélange Formé de ton image et de ton souvenir, Avait su distinguer en l’auguste phalange Des jeunes beautés dont nous faisons notre ange Pour nous guider dans l’avenir, Toi que tout rappelait à mon âme inquiète, Et dont l’âme sans cesse assise auprès de moi, Me dérobait du temps, qu’à présent je regrette, Le cours lent à mes voeux, quand la bouche muette, Je ne pouvais penser qu’à toi, Qu’as-tu fait – loin

titre «Après la bataille» qui fut écrite en 1850. Dans ce poème Hugo fait l'éloge de son père qui est soldat. Il nous fait ressortir toutes les qualités de son père comme le courage, la gentillesse, la bravoure,la générosité. On voit bien qu'il a un amour fort pour son père. Puis encore un poème de Hugo que j'ai découvert en faisant mes recherche et dont j'ignorais l'existence. Ce poème s'intitule «L'an Neuf de l'hégire»et a été écrit en 1858. Ce poème raconte la vie du prophète de l'islam Mahomet et

(1524-1566) Second Sonnet Ô beaux yeux bruns, ô regards détournés, Ô ris, ô front, cheveux, bras, mains et doigts ! Ô chauds soupirs, ô larmes épandues, Ô luth plaintif viole, archet et voix ! Ô noires nuits vainement attendues, Tant de flambeaux pour ardre une femelle ! Ô jours luisants vainement retournés !   Ô tristes plaints, ô désirs obstinés, De toi me plains, que tant de feux portant, Ô temps perdu, ô peines dépendues, En tant d'endroits d'iceux mon cœur tâtant, Ô mille morts en mille

Sciences et Recherches de Téhéran NADERI MAGHAM Chaghayegh Doctorante Université Azad islamique, Sciences et Recherches de Téhéran D I S f E-mail: ch.naderimaqam@hotmail.fr (date d’acceptation 30/4/2010 – date d’approbation 10/10/2010) o e Résumé Louis Aragon, dont nous essaierons d’analyser l’œuvre dans cet article sous l’angle d’un poète et écrivain féministe contemporain, est l’un des principaux poètes engagés de la Seconde Guerre mondiale, et plus particulièrement de la Résistance

n'y faut plus penser », de François de Malherbe, extrait de « À la vicomtesse d'Auchy », 1608. Ici, l'auteur est amoureux d'une femme qui ne veut point partager cet amour, l'auteur souligne la cruauté de la femme qui le désespère et le frustre. L'auteur lui fait ses adieux car il au bout d'un moment il s'est fait une raison, leur amour n'existe pas, mais il lui dit quand même qu'il aime à la fin. Enfin, nous finirons par « Une allée du Luxembourg », de Gérard de Nerval, extrait de « Odelettes »

faire ; et sois sûr que l'étude, La veille et le travail ne pourront te guérir.  Tu vas, pendant longtemps, faire un métier bien rude,  Toi, pauvre enfant gâté, qui n'as pas l'habitude  D'attendre vainement et sans rien voir venir. Et pourtant, ô mon coeur, quand tu l'auras perdue,  Si tu vas quelque part attendre sa venue,  Sur la plage déserte en vain tu l'attendras. Car c'est toi qu'elle fuit de contrée en contrée, Cherchant sur cette terre une tombe ignorée, Dans quelque triste lieu

Alphonse ALLAIS 2. Extase : Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ 3. Nos désirs sont d’amour la dévorante braise : Théodore Agrippa d' AUBIGNÉ 4. Mon amour : Julie Jamar 5. J'ai tant rêvé de toi : Robert Desnos 6. À la faveur de la nuit : Robert Desnos 7. Non l'amour n'est pas mort : Robert Desnos 8. Si tu savais : Robert Desnos 9. Ô douleurs de l'amour ! : Robert Desnos 10. Toi aussi tu viendras où je suis : Robert Desnos 11. Jacques Brel : Ne me quitte pas Complainte

ressentir, et la quête de l’amour est primordiale au sein de notre société. Elle désigne l’affection et l’attachement envers un être ou une chose, qui pousse ceux qui le ressentent à rechercher une proximité physique ou spirituelle avec l’objet de cet amour. Par ailleurs, le choix du thème de l’amour s’imposait à moi, il m’était vital de mettre en évidence ce sentiment et de remettre d’actualité la poésie française par le biais de ce dernier. Les poèmes que vous allez lire par la suite, sont classés par