ô Toi Que Mon Amour Profond

I – La fatalité Phèdre se présente comme la troisième victime de la haine de Vénus après sa mère, rendue amoureuse d'un taureau et sa soeur Ariane, abandonnée par Thésée. v. 249 : « Ô haine de Vénus ! Ô fatale colère ! Dans quels égarements l'amour jeta ma mère ! » V. 253 : « Ariane, ma soeur, de quel amour blessée, Vous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée ! » v. 277 : « Je reconnus Vénus et ses feux redoutables D’un sang qu’elle poursuit tourments inévitables » ( pluriel poétique)

Paul Rubens. Les Phares Rubens, fleuve d'oubli, jardin de la paresse, Oreiller de chair fraîche où l'on ne peut aimer, Mais où la vie afflue et s'agite sans cesse, Comme l'air dans le ciel et la mer dans la mer ; Léonard de Vinci, miroir profond et sombre, Où des anges charmants, avec un doux souris Tout chargé de mystère, apparaissent à l'ombre Des glaciers et des pins qui ferment leur pays ; Rembrandt, triste hôpital tout rempli de murmures, Et d'un grand crucifix décoré seulement

Commentaire composé DU BELLAY L’olive « ô douce ardeur que les yeux de ma dame … » Du Bellay, poète du 16e siècle forme avec le célèbre Ronsard et d’autres poètes de l’époque un groupe littéraire appelé « la Pléiade ». Ce groupe souhaite définir de nouvelles règles poétiques et se veut à l’origine de la poésie française. Ils publient un manifeste rédigé par Du Bellay, intitulé Défense et illustration de la langue française, qui vise à faire de la langue française une langue poétique. Inspiré

l'attaque d'Alceste, puis la contre-attaque de Célimène, et enfin la capitulation d'Alceste. Tout d'abord, Alceste est très remontée contre Célimène, il est décidé à avoir des explications. Dès le vers 1277, il utilise une question rhétorique : " O ciel, de mes transports puis-je être, ici le maître ?" alors que Célimène, lui répond en questions directes, ce qui traduisent son incompréhension : elle n'a aucune idée de ce qui rend Alceste dans cet état. Pour montrer sa jalousie et sa colère, il

Dissertation Quel est le but de la littérature romantique ? À en regarder certaines œuvres, on pourrait croire que la poésie romantique est le moyen le plus efficace pour exprimer la douleur de ses sentiments face à un amour conflictuel. Mais tous les types d’œuvres peuvent parler d'amour. Nous nous demanderons alors si la poésie est le genre qui convient le mieux pour parler d'amour. Pour cela, nous verrons que la poésie est un moyen intelligible pour exprimer ses émotions, mais qu'elle n'est

pour la plupart des enfants. Mais lorsque cet ami est devenu grand, et a ouvert les yeux sur le monde tel qu’il est vraiment, il a trouvé la vie adulte trop réelle, dure et amère et a commencé à reprocher à ses parents de l’avoir rendu aveugle par amour. Il ne les comprenait pas et leur en voulait de ressentir autant de peur et de souffrance. Le temps passa, il fit ses expériences et commença à s’armer pour affronter la vie. Enfin, à l’âge adulte, il comprit que pour être parent, il n’existe

et le sens qui brûle mon poumon Et l'emplit d'un désir éternel et coupable. Parfois il prend, sachant mon grand amour de l'Art, La forme de la plus séduisante des femmes, Et, sous de spécieux prétextes de cafard, Accoutume ma lèvre à des philtres infâmes. II me conduit ainsi, loin du regard de Dieu, Haletant et brisé de fatigue, au milieu Des plaines de l'Ennui, profondes et désertes, Et jette dans mes yeux pleins de confusion Des vêtements souillés, des blessures ouvertes, Et l'appareil

Méditations poétiques (recueil de 24 poèmes), « Le lac » (10è du recueil) * Date et lieu de publication : 1820, Paris * Courant, genre et forme littéraires : romantisme, poésie, élégie * Lien avec le contexte : * Inspiré par son amour pour Julie Charles, qu'il sauve de la noyade à l'été 1816. * Composé alors qu'il attendait en vain sa bien-aimée au bord du lac du Bourget à l'été 1817. * Sujet posé : Démontrer que dans le poème « Le lac », le poète sollicite la nature

ivrogne incivil Vous insulte en passant d'un amour dérisoire; Sur vos talons gambade un enfant lâche et vil. Honteuses d'exister, ombres ratatinées, Peureuses, le dos bas, vous côtoyez les murs; Et nul ne vous salue, étranges destinées! Débris d'humanité pour l'éternité mûrs! Mais moi, moi qui de loin tendrement vous surveille, L'oeil inquiet, fixé sur vos pas incertains, Tout comme si j'étais votre père, ô merveille! Je goûte à votre insu des plaisirs clandestins:

Écho parlant quand bruit on mène Dessus rivière ou sus étang, Qui beauté eut trop plus qu'humaine. Mais où sont les neiges d'antan ? Où est la très sage Hélois, Pour qui châtré fut et puis moine Pierre Esbaillart à Saint Denis ? Pour son amour eut cette essoyne. Semblablement où est la reine Qui commanda que Buridan Fut jeté en un sac en Seine ? Mais où sont les neiges d'antan ? La reine Blanche comme lys Qui chantait à voix de sirène, Berthe au grand pied, Bietris, Alis, Haremburgis