ò Vous Frères Humains

La Gaule celtique est entrée en contact avec la méditerranée (Asie mineure) sous forme de guerre. Repoussé mais des échanges formés = début d’autre contact. Le Gaulois Mourant : Le vaincu a une humanité: le Celte commence à exister en tant qu’être humain. Doc 6 : encadrement des 4 plus grands peuples qu’il faut connaitre : Arverni = auvergne, Sequani= saune, Helveti = suisse, Aedui = … Les 4 zones sont situées près de la ville de Lyon. Peuples à dominante Celte et mélanges entre celtes et autres

es vivant d'une vie sans égale Et derrière la nudité De ta pâleur de ta maigreur Tout ce qui est humain se révèle en tes yeux Paris ma belle ville Fine comme une aiguille forte comme un épée Ingénue et savante Tu ne supportes pas l'injustice Pour toi c'est le seul désordre Tu vas te libérer Paris Paris tremblant comme une étoile Notre espoir survivant Tu vas te libérer de la fatigue et la boue Frères ayons du courage Nous qui ne sommes pas casqués Ni bottés ni gantés ni bien élevés Un rayon s'allume

littéraires o 1.1 L'humanisme (XVIe siècle) o 1.2 La Pléiade (1550-1560) o 1.3 Baroque (XVI et XVIIe siècles) o 1.4 Classicisme (1660-1715) o 1.5 Les Lumières (1715-1789) o 1.6 Romantisme (1820-1848) o 1.7 Réalisme (seconde moitié du XIXe siècle) o 1.8 Naturalisme (1870-1890) o 1.9 Le Parnasse (1860-1875) o 1.10 Symbolisme (1869-1896) o 1.11 Surréalisme (1920-1950) o 1.12 Le Nouveau

ailleurs, O. de Gouges met l'accent sur l'absence d'indépendance financière de la femme, qui l'oblige à dépendre de son mari ou de son père, ou peut la conduire à la pauvreté, si elle se voit abandonnée. Si O. de Gouges défend avant tout les femmes, elle s'engage aussi en faveur des « hommes de couleur » et souligne le caractère inhumain de leur statut. Elle critique l'absence de compassion des colons, prêts à mettre en esclavage des hommes qui sont aussi « [leurs] pères et [leurs] frères ». Cette

la Fontaine Le Cid de Pierre Corneille Acte 1 , Scène 4 Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie ! N’ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ? Mon bras, qu’avec respect toute l’Espagne admire, Mon bras, qui tant de fois a sauvé cet empire, Tant de fois affermi le trône de son roi, Trahit donc ma querelle , et ne fait rien pour moi ? Ô cruel souvenir de ma gloire passée ! Œuvre de tant de jours

Et mon être entier te rend toute la gloire Sois loué ! Sois loué *3 soiaaaaaa loué Sois célébré ! Célébré*3 soiaaaaaa célébré Refrain : Je te bénirai tant que je vivrai Mon âme chantera toujours tes louanges J’exalterai ta magnificence O DIEU merveilleux. Quel DIEU merveilleux ! Quel DIEU admirable ! *2 Oh tu es. J’ai bouché l’oreille au son de ta voix J’ai même fermé les yeux sur ton œuvre Rendu mon cœur insensible à ton appel Mais tu n’as pas cessé de m’interpeller

..............2 i Poème sur le désastre de Lisbonne Auteur : Voltaire Catégorie : Poésie Date de publication originale : 1756 Voltaire (1756) Licence : Domaine public 1 Poème sur le désastre de Lisbonne O malheureux mortels ! ô terre déplorable ! O de tous les mortels assemblage effroyable ! D'inutiles douleurs éternel entretien ! Philosophes trompés qui criez : « Tout est bien » ; Accourez, contemplez ces ruines affreuses, Ces débris, ces lambeaux, ces cendres malheureuses

d’un point de vue sémantique, par des descriptions aussi précises que celles que l’on rencontre 7 Ladmiral faisait déjà la même remarque à propos de la première moûture de cet ouvrage (le Dictionnaire encyclopédique des sciences du langage, de O. Ducrot et T. Todorov, Paris, Seuil, 1972), cf. Traduire : théorèmes pour la traduction, 21994, p.258, n. 1. 8 Sans oublier ATLAS (Assises de la Traduction Littéraire en Arles) et sa revue TransLittérature. 9 A cet égard, les réflexions d’E. Osty

m'écrire Lance ta lettre obus de ton artillerie Qui doit me redonner la vie et le sourire Huit fois déjà le vaguemestre a répondu « Pas de lettres pour vous Et j'ai presque pleuré Et je cherche au quartier ce joli chien perdu Que nous vîmes ensemble ô mon cœur adoré En souvenir de toi longtemps je le caresse Je crois qu'il se souvient du jour où nous le vîmes Car il me lèche et me regarde avec tendresse Et c'est le seul ami que je connaisse à Nîmes Sans nouvelles de toi je suis désespéré Que

gibier Cette merveilleuse et terrible nécessité d’écrire (Georges Bonnet) Fonction du poète Dieu le veut, dans les temps contraires, Chacun travaille et chacun sert. Malheur à qui dit à ses frères : Je retourne dans le désert ! Malheur à qui prend ses sandales Quand les haines et les scandales Tourmentent le peuple agité ! Honte au penseur qui se mutile Et s'en va, chanteur inutile, Par la porte de la cité ! Le poète en des jours