évocation Du Souvenirs

RACINE, Andromaque Acte III, scène 8 Plan : I) La puissance évocatrice de la parole A. La reconstruction du souvenir 1) Les impératifs adressés à Céphise 2) La mise à distance B. Les jeux de lumières (les notations visuelles) C. Le registre pathétique II) La crise tragique : une délibération suspendue A. Les étapes de la délibération 1) Vers 13-14 : ne pas céder à Pyrrhus 2) Vers 41 et 43 : " Allons trouver Pyrrhus " 3) Vers 52 : la décision finale B. La

premier tableau présente de manière symbolique par la référence au ciel le moment de l’exécution. A partir du vers 6 se développe une évocation & une réflexion en trois moments : Tout d’abord des scènes individuelles qui font référence aux souvenirs (cf. vers 8 « l’un d’eux », vers 10 « un autre » pour les scènes individuelles & vers 9 à l’imparfait pour les souvenirs), l’allusion aux bourreaux (vers 17, 18) qui ouvre une réflexion sur l’idée du martyre (vers 15) & qui s’achève avec l’allusion à l’imminence

« Enfance » est caracterise par ses tropises, ses souvenirs evoques sans psychanalyse et sans jugement, ce qui differe du style de Sartre. Le ton de Sartre et ironique et l’auteur critique son enfance, les personnes qui l’entouraient ainsi que soi-meme. Sarraute fait sa narration quasiment impartialle, et son opinion est tres subtilement exprimee. Proust, oar contre, a un ton nostalgique ; toute l’œuvre et les evenements racontees sont des evocations provoquees par des objets ou es sensations, comme

maman », « baisers de maman », « chansons de maman ». Elle est ainsi directement associée à ses souvenirs d’enfance les plus intimes. Elle est donc l’image vivante d’un passé, l’image maternelle, protectrice, rassurante, nourricière, « baisers », « chansons », « gâteaux ». Cela laisse entrevoir tout l’expression de sa tendresse et de son amour pour sa mère bien que disparue, toujours présente dans ses souvenirs et dans son cœur. L’image du bonheur domine. 3 - La vie au quotidien Il semble que

bras Le fleuve est pareil à ma peine Il s'écoule et ne tarit pas Quand donc finira la semaine Guillaume Apollinaire (1880 - 1918) Etude linéaire Le premier quintil traduit l'incertitude d'une rêverie oscillant du souvenir émerveillé à l'espérance, coloré d'impatience ou d'inquiétude. En effet, l'attaque du poème comportent des termes qui dénotent ou connotent le bonheur tels que " petite-fille " et " mère-grand " qui appartiennent au monde du conte de fée, impression

extérioriser. Elle fait part de son amour pour la vie, la chance de vivre, avec cependant une impression du passé. L’analyse de ce texte portera sur les évocations de la poétesse pour définir le vrai but du poème : laissé sa trace pour conjurer l’oubli.     Dans ce texte l’auteur, une femme âgée de 78 ans évoque ? . Quelles peuvent donc être ces évocations ?   L’amour est important pour cette épicurienne. Le champs lexical de l’amour y est très développé : vers 4 « j’aimais », vers 11 « l’amour intimée »

vision qui nous intéresse plus que sa réflexion -> « au bout de chaque avenue apparaît l’image en perspective sur son piédestal » -> extrait de « Promenade – Apparition de Combourg ». Avant d’évoquer Combourg, Chateaubriand se plaît à présenter ce souvenir déterminant du chant de la grive : - C’est cet événement qui l’a amené à reprendre l’écriture de Les Mémoires d’outre-tombe abandonnée depuis quelques années.- Car il décrit le phénomène de la mémoire affective qui déclenche le récit rétrospectif

puisqu’il mentionne tout à la fois le moment présent, où les souvenirs d’enfance apparaissent comme vieillis, et le moment passé, renforcé par l’expression « jeune temps », un peu comme si rien de nouveau ne pouvait survenir de cette évocation. Pourtant le « je » de l’époque est distinct du « je » de l’écriture, le poète actuel revient sur un évènement passé et le réécrit avec son souvenirs mais aussi sa conscience du moment présent. Le souvenir, les émotions ne peuvent être que recrées. Ainsi, lorsqu’il

« suivaient », « s'éloignait », évoquant le souvenir d'un temps passé. Le mot « ruines », métaphore du souvenir, est mis en valeur par sa place en fin de vers et la diérèse nécessaire au décompte de l'alexandrin. Il exprime à la fois : Le travail du temps qui efface le passé et l'amour comme le montre le fait que ces ruines soient recouvertes et cachées progressivement par « lierre, vigne vierge et rosiers ». le plaisir mélancolique qui naît du souvenir puisque la végétation renaissante recouvrant

situe dans le Livre I et relate une chasse aux pommes qui a mal tourné. Nous allons voir quelles sont les particularités d’écriture de ce souvenir et la manière dont Rousseau en fait un récit à suspens. Pour cela nous allons tout d’abord étudier la composition et l’organisation du récit, ensuite nous verrons en quoi le souvenir relaté constitue un souvenir fondateur, et pour finir nous verrons que les différents registres employés font de ce récit un récit à suspens. I) Composition et organisation