évocation Du Souvenirs

pour déclaration d'amour - Une idée fixe, obsédante : la quête de libertéAnaphore et répétitions Valeur du présent : énonciation, état stable, répétition- Des lieux d'écriture à la fois concrets et imaginaires - Réalisme : évocation du quotidien sous l'occupation. - Evocation d'un fait et son contraire pour montrer l'universalité de la liberté Antithèses - Une progression vers l'intimeLexique Registre lyrique marques de la première personne à la fin du texte - Chant d'espoir et hymne à la vie, à

la campagne. Aux souvenirs d’enfance, charmants et idylliques, succède donc un cruel roman d’amour, dont le héros n’est plus le Narrateur mais Charles Swann. C’est par le biais du retour en arrière pris en charge par la mémoire du narrateur durant ses nuits d’insomnie que s’effectue le passage à cette partie du roman, comme l’indique la dernière page de “Combray” : “C’est ainsi que je restais souvent jusqu’au matin à songer au temps de Combray […] et, par association de souvenirs, à ce que, bien des

« Barbara » de J. Prévert 1er axe : un poème lyrique 1) évocation d’une rencontre : celui d’une femme amoureuse. Il ne s’agit pas ici d’une rencontre amoureuse mais d’une rencontre avec une femme amoureuse. Le « je » du poète s’adresse à une femme qu’il interpelle par un « tu », « toi » qui correspond à la femme amoureuse prénommée Barbara. Celle-ci a RV avec l’homme qu’elle aime qui reste anonyme aux yeux du poète puisque celui le désigne par «le pronom personnel « il », l’indéfini « un »

facilité d'attraper la femme. « Voilà ma pêche » : métaphore filée d'Argos. Dé-personnification. « Regardez-moi l'horreur ! Hou ! » exclamative, interjection de dégoût. Impératif. « Vous autres » : désigne Argos. Généralisation. « Glaives » : évocation du meurtre. « Rougis à blanc » : connotation évoquant le sang. « Ces soubresauts de poisson au bout d'une ligne » : Animalisation. La vieille s'étouffe et est prise au piège. « La vieille » : désigne la femme de manière dévalorisante. « Des

chanson renouvelle-t-elle les thèmes traditionnels de l'amour perdu et du temps qui passe ? D'abord, la strophe 1 et le refrain invitent à se souvenir. Puis, la remémoration de l'histoire d'amour s'étend dans les strophes 2 et 3 et les refrains associés. Enfin, la chanson s'achève sur le constat du temps qui passe. I. Vers 1-6 : L'invitation à se souvenir v1 « sous le pont Mirabeau » : c.c. Lieu + nom propre → effet de réel, confirmé par le nom du fleuve « Seine » mis à la finale => Paris

de détails sur l'intérieur du buffet dans lequel il nous incite à entrer par tous les sens. La vue → Puisque Rimbaud dresse une description visuelle L’ouïe → On crois entendre les bruits du buffets (assonances et allitérations) Le toucher → Évocation de différentes matières (dentelle, chiffons, fichus...) Le goût → Le poète évoque le goût du « vin vieux » L'odorat → Beaucoup de rappels de l'odeur qui règne « parfums » « odorant » AXE 2 : UN OBJET SYMBOLIQUE 1) La personnification du

mémoire et écriture Nécessairement confrontée au temps, la mémoire s’associe à l’écriture pour exprimer le vieillissement et le sentiment d’incompréhension face à la mort qu’elle préfigure. exprime le vieillissement, le met en rapport avec le souvenir, s’interroge sur l’énigme de la vie et du temps, fait se télescoper passé et présent par ce qui est justement appelé un « contraste bouleversant ». La longueur même de la phrase n’est pas sans analogie avec la lenteur, « alentissement » de la vieillesse

brisant sur des écueils » (= destin tragique du marin dans le naufrage). - Par touches successives : la solitude, l’obscurité, et le fracas des vagues, Chateaubriand nous introduit dans l’univers de la mort (= moment contraire à une naissance) - Evocation funèbre confirmée par l’antithèse « j’étais presque mort quand je vins au jour » - Mais aussi, il porte le prénom de son frère mort + c’est son parrain. Marraine : « comtesse de Plouët, fille du maréchal de Contades » = apport de la célébrité

la lecture de ce texte, est une impression de banalité, en effet, l’auteur décrit un paysage ordinaire et intemporel. Il n’y a aucune précisions de lieu, ni même de temps. L’auteur cherche a donner une impression de déjà vus au lecteur, un vague souvenir d’un lieu que lui aussi aurait contempler dans sa jeunesse. Cette simplicité apparente est dû au point de vus interne. En effet cette description est faite par un seul observateur, qui décrit comme il vois et comme ressent le paysage. Des le début

Les Fleurs du Mal – Charles BaudelairePlan :1. Des thèmes récurrents2. Le spleen3. L’image de la femme4. L’écriture poétique5. Typiquement baudelairien6. La structure de l’œuvre 1. Des thèmes récurrents · Le spleen · les sources de dégoût et la tristesse · Le vin · La fuite dans l’ivresse · La fuite du temps · Les saisons