éloge Sur La Fidélité

esprit une surprise adroite, et même à fuir vos yeux mon cœur se résolut » (v.15) * On voit qu’il reste en Tartuffe une part du dévot • Hommage de la créature au créateur →Eloge de Dieu * « beautés éternelles » (v.1) * « admirer en vous l’auteur de la nature » (v.10) * Cela souligne la fidélité apparente de Tartuffe envers la religion. Apparente, car elle n’est pas sans laisser entrevoir un double discours et la duplicité de Tartuffe Dvlpt 3 : Un Tartuffe à double personnalité

oratoire « Quoi ! » « tu veux … pour personne ? » Il se place tout de suite comme un personnage choqué, victime par des propos immoraux, il renverse donc les valeurs en utilisant une métaphore filée qui associe la fidélité amoureuse à la mort « s’ensevelir…être mort ». Il fait ensuite un éloge passionné de sa propre inconstance en montrant que finalement c’est un hommage à la gente féminine et il dit qu’il est soumis aux lois de la nature « toutes les belles ont droits de nous charmer » « la beauté

protectrice : "[…] sans avancer la moindre flatterie." L’emploi du conditionnel ("tel autre cependant le ferait", "il dirait ainsi", etc.) permet de faire parler un flatteur qu’il n’est pas. Au moyen de la prétérition, l’auteur écrit tout de même un éloge de la commanditaire en la comparant à la brise, un parfum et à un bijou. L’auteur lui reconnaît donc un certain nombre de qualités, au moyen d’un discours très travaillé. Le thème du livre n’est pas annoncé. Toutefois, Chrétien de Troyes emploie

Bougainville, « le chef des brigands », avec mépris. Il le blâme de son influence néfaste sur les Tahitiens et fait un portrait machiavélique des Européens qui ont eu pour seul but de détruire leur bonheur. Très rapidement le discours se transforme en un éloge de la vie sauvage et un réquisitoire contre les Européens. Il énumère les différents méfaits causés par l'expédition : les dénaturer, éveiller en eux la jalousie et la rivalité, violer leur liberté, voler leurs biens, ne pas les avoir respectés comme

lourdeur sur la « sagesse » (1.7) du Comte et sur « la pureté de ses intentions » (1.10). Suzanne l'aide en vantant hypocritement la « vertu »(1.21) de celui qui vient d' essayer de la séduire. La Comtesse l'aide aussi en vantant ironiquement la fidélité de son mari avec l'utilisation d'un imparfait révélateur : « l'amour charmant que vous aviez pour moi» Ce dernier sent d'ailleurs la pique et rectifïeaussitôt en mettant le verbe au présent: « Que j'ai toujours » (1.26). Les conspirateurs composent

fils et je vous trouve bien heureux de vous voir un garçon comme cela ». Monsieur Diafoirus saute alors sur l'occasion de faire le portrait de son fils, un portrait qui, bien sûr, veut être un éloge, pour ne pas dire un panégyrique . · Comment, à travers cet éloge paradoxal de Thomas Diafoirus par son père, Molière moque-t-il tous les médecins ? · Dans une longue tirade, M. Diafoirus dresse un portrait élogieux de son fils dont les pseudo qualités

personnage qui se laisse bien facilement convaincre... Manon libertine ? Sentence de sa bouche « c'est une sotte vertu que la fidélité » : définition ou caractérisation de la fidélité avec présentatif « c'est » => valeurs libertines a priori. Certains élèves on fait le rapprochement avec Dom Juan et son éloge de l'inconstance. Ce n'est pas la même chose : critiquer la fidélité dans certaines conditions (« dans l'état où nous sommes réduits » précède la sentence) / faire l'éloge de son contraire (infidélité)

en ridicule (représenté par Sga) - critique de la thèse adverse (l 1 à 6) - questions de rhétoriques qui montre l’étonnement de DJ et qui prend à partie le spectateur - ridiculise la thèse de Sga : comparaison de la fidélité au mensonge : « faux honneur » et à la mort ( éloge paradoxal) B- Se fait passer pour quelqu’un de bien - DJ retourne le reproche que l’on fait aux libertins (l’irrespect de la femme) : « toute femme a le droit d’être séduite » - devoir de l’homme juste est de regarder

s'adresse à Bougainville, " le chef des brigands", avec mépris. Il le blâme de son influence néfaste sur les Tahitiens et fait un portrait des Européens qui ont eu pour seul but de détruire leur bonheur. Très rapidement le discours se transforme en un éloge de la vie sauvage et un réquisitoire contre les Européens. CHAPITRE 3 : L'entretien de l'aumonier et d'Orou le chapitre s'ouvre sur la présentation des deux protagonistes : Orou, l'hôte, 36 ans, marié, père de trois filles, Asto, Palli et Thia,

trahisons de la révolution, le périodique qualifie les ministres,les aristocrates et les nobles(comme LA FAILLETTE) de traîtres et présente la violence comme le principal outil de la Révolution afin d’en terminer avec l’ordre ancien et d’assurer la fidélité des hommes de l’ordre nouveau à l’idéal révolutionnaire. Par la suite, il ne cesse de faire de la lutte contre les élites la clef de la continuité du soulèvement de la prise de la bastille. Parmi maintes discours, en 1791, il appelle à l’interdiction