égalité Et Famille

( Exercice du doc 1, p. 196 ( I) Égalités et justice sociale L’égalité est depuis longtemps au centre de la vie politique et sociale. Selon la déclaration des droits de l’homme et du citoyen, « tous les hommes naissent libres et égaux en droit » ; pourtant, ce principe n’a pas empêché la persistance d’inégalités. L’égalité de quoi ? 1) L’égalisation des conditions : l’approche de Tocqueville ( doc 3, p. 197, q. 1 et 2 ( 2) L’égalité des

depuis la Révolution et forment une Nation unie par une même langue, une histoire commune et des valeurs partagées comme la démocratie. Les valeurs sont résumées dans la devise « liberté, égalité, fraternité » Les 4 principes de la RF sont qu’elle est : indivisible : la loi est la même partout (égalité), la Nation forme un tout, tout en reconnaissant la diversité de chacun laïque depuis 1905 : elle respecte toutes les religions (liberté de conscience) et elle est indépendante du pouvoir

satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage. Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égal. Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu’à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s’il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale. » Selon le rapport Les Femmes, l'Entreprise et le Droit 2022 de la Banque mondiale, 1environ 2,4 milliards de femmes en âge

A ce propos nous avons relevé à l’OMDH, lors de la publication d’un rapport, après analyse des 20 manuels scolaires que 3 concepts implants dans les libertés publiques et droits humains ne sont pas pris en considération à savoir les principes : égalité, dignité et tolérance. Souvent on se place dans les libertés publiques dans le rapport de l’homme au pouvoir. Donc deux notions importantes : - liberté – participation : c’est l’Etat libéral, dont les seules valeurs importants sont le droit de

En effet, il met à jour certaines ruptures et continuités qui s’inscrivent dans une tradition historique marquée par la monarchie et la révolution française, laquelle a rompu avec l’ancien système d’enseignement qui reposait davantage sur les familles. Dès lors, l’État devenait responsable de l’éducation de l’individu, non seulement en ce qui concerne sa formation mais également son adaptation à la société et à ses transformations. Cet éclairage historique permet de mieux comprendre le processus

(pouvoir aux meilleurs), l’oligarchie (pouvoir à un petit nombre de personnes ou de familles), la théocratie (pouvoir d’une caste sacerdotale), l’empire, la dictature et d’autres régimes totalitaires. Selon Alexis de Tocqueville, le terme démocratie est utilisé dans un sens spécifique. En effet, selon lui, la démocratie est un état social dans lequel on y trouve un processus d’égalisation des conditions (égalité des droits, des chances et culturelle). C’est pour cela que l’égalité devient progressivement

l’articulation sexe/genre et sexualité (point de vue théorique et anthropologique). Le féminisme. Il n’y aurait pas eu de question de genre si la femme n’avait pas acquéri une certaine égalité de droit. C’est une évolution lente, difficile. 1949 : triomphe du modèle Parsonien et de la famille avec la publication du Deuxième Sexe de Simone de Beauvoir, qui marque le début du féminisme. Elle marque le caractère contingent (pas nécessaire) de la féminité : « on ne naît pas femme, on le devient »

contrainte : un empêchement physique, une occupation non choisie ou un souci.  - « Liberté, égalité, fraternité » : la devise de la République proclame trois valeurs dont l'association, en fait, ne va pas forcément de soi. Car liberté et égalité doivent se concilier, alors que la liberté absolue pour tous pourrait signifier le droit d'être très inégaux, tandis que la fraternité ferait de la société une grande famille ? Enfin, on comprend bien la différence entre l'homme libre et l'esclave, autrefois :

emplois ds d'autres secteurs. -si le K et le L sont mobiles. Mobilité sociale : phénomène de déplacement des individus ds l'espace social. Différent de l'hérédité sociale. Egalité des droits = correspond à l'égalité devant la loi de tous les i. qui sont égaux dvt la norme juridique qui est la même pour tous. Egalité des chances = principe selon lequel la situation sociale d'un i. ne dépend pas de son origine sociale éthnique, de son genre, mais sa situation sociale dépend dépend de son mérite

Deuxième constat : malgré les discours sur l'égalité et la mixité, la famille reste le lieu de la spécialisation du travail. L'habillage et les devoirs sont ainsi des activités féminines : dans plus de la moitié des familles, elles sont prises en charge exclusivement ou le plus souvent par les mères. Seuls le coucher, et surtout les loisirs sont - un peu - mixtes : dans plus de 60 % des familles, les pères et les mères participent à égalité aux activités ludiques des enfants. La tradition continue donc