égalité Et Famille

contrats de génération. •Solidarité, insertion et égalité des chances : + 3,2 %. Lutte contre la pauvreté, actions en faveur des familles vulnérables (protection juridique des majeurs, actions de lutte contre les maltraitances ou de protection des familles), programme handicap et dépendance (allocations perçues par les handicapés, mesures d'incitation au travail et « actions de promotion de la bientraitance (sig) des personnes âgées »), notamment égalité entre les femmes et les hommes (actions relatives

La contractualisation du droit de la famille Les récentes réformes du droit de la famille (loi du 4 mars 2002 relative à l’autorité parentale, loi du 26 mai 2004 relative au divorce, ordonnance du 4 juillet 2005 réformant la filiation) mais également celles du droit patrimonial de la famille (loi du 3 décembre 2001 sur les successions, loi du 23 juin 2006 réformant non seulement les successions mais également l’art. 1397 du Code Civil) et du droit des personnes (loi du 5 mars 2007 réformant

(page 7) 2. Les sanctions applicables (page 9) II- Dans la réalité, la parité est –elle appliquée ? (page 11) a) La parité dans la vie politique. (page 11) b) Y a-t-il eu une évolution dans le travail ? (page 15) c) Et dans la famille ? (page 18) INTRODUCTION… : L’homme et la femme sont deux êtres fondamentalement opposés dans leurs pensées, leur manière d’être, qui doivent forcément s’entendre. En effet, chacun à des compétences différentes, qu’il leur faut accorder afin

FAMILIAL Qu'est ce que la famille, de multiples visages. A-Les multiples visages de la famille. Pas de définition dans le code civil, mais on retrouve une partie de cette définition dans le mariage, mais ça reste insuffisant pour une définition générale. Il faut aller au delà du droit, dans l'histoire, et aujourd'hui. 1-Une histoire de la famille. Il y a eu des évolutions, et des fluctuations. a-Le évolutions. On prend 3 étapes: Antiquité, MA, EM. Occident, la famille diminue, et adoucissement

Droit civil II - Droit de la famille Le droit doit-il suivre les moeurs ou au contraire guider les moeurs et construire un droit de la famille tel qu’il souhaite que la famille soit ? Il existe un équilibre délicat entre moeurs et droit: « que sont les moeurs sans les lois et que sont les lois sans les moeurs » (Horace). Le droit ne doit pas seulement enregistrer les moeurs mais il doit aussi dire ce qu’il doit être tout en étant connecté avec la réalité sociale afin d’être suivi et conserver

territoire. Etat du droit à cette époque: l’ancien droit avait un aspect inégalitaire en … : -->droit des personnes : distinction entre les différentes classes clergé/noblesse/roturiers. Différents modes de vie. -->droit de la famille : seul était reconnu la famille légitime, qui existe dans le mariage donc seul les enfants issus du mariage étaient reconnus par la société. Inégalités hommes/femmes, puissance paternelle -> autorité sur les enfants même majeurs et sur son épouse. -->droit des biens

La famille d’hier est-elle la même qu’aujourd’hui ? Depuis la création de l’homme, des groupes humains sont observés. Unis par un sentiment d’appartenance commune ou par des liens sanguins, les hommes sont caractérisés par ce besoin de proximité avec ses semblables. Plus que le groupe ethnique, religieux ou social, la famille apparaît être incontestablement le groupe le plus constant et le plus évident. Elle est en effet une sorte de micro société au sein de la société, reproduction réduite de

membres de la même famille que représente l'espèce humaine. Elle implique la tolérance et le respect mutuel des différences, contribuant ainsi à la paix. Dans un sens plus restrictif, la fraternité désigne le lien existant entre les membres d'une même organisation, entre ceux qui partagent un même idéal ou qui ont combattu ou combattent pour une même cause (Fraternité d'arme). La fraternité est également l'une des trois composantes de la devise de la République française : "Liberté, égalité, fraternité"

l'ai relu, j'ai pu mesurer la différence avec ce que j'aurais fait aujourd'hui. Pour ne pas être trop long, je suis resté sur cette base et c'est donc une approche principalement historique de l'acclamation que je vais vous présenter. Liberté, Egalité, Fraternité Commençons donc par un peu d'histoire. Associés par Fénelon à la fin du XVIIème siècle, dans les aventures de Télémaque, fils d'Ulysse, ces notions sont plus largement répandues au siècle des lumières (le XVIIIème plus exactement 1715-1789)

social surprend parfois. Les dispositions de l’article L. 116 1 du Code de l’action sociale et des familles rappellent, par exemple, que certains groupes sociaux font l’objet d’une attention particulière (personnes handicapées, personnes âgées, personnes et familles vulnérables, en situation de précarité ou de pauvreté), comme si les fondements émis en 1789 ne suffisaient plus à garantir une égalité érigée en principe. Pourtant, l’article premier de la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen