éducateur Pjj

La construction de la professionnalité éducative, en partenariat avec l’Aforts, le Groupement national des instituts régionaux du travail social (GNI) et le Centre national de formation et d’études de la Protection judiciaire de la jeunesse (CNFE-PJJ). Pour en savoir plus ( Hélène Darriet, 01 58 80 87 11, darriet@cnam.fr Pour télécharger le dossier de presse ( http://presse.cnam.fr * de 18h à 20h, Cnam, Salle des conférences du musée, 292 rue Saint-Martin, Paris IIIe Former les professionnels

artisans comme nous le demande actuellement le Garde des Sceaux. Nous connaissons, pour l’avoir pratiquée, la mobilisation militante sur des valeurs partagées dont peut être capable le dispositif des Missions Locales pour faciliter la tâche des éducateurs. Ce dispositif occupe en outre une place stratégique au carrefour de diverses contributions et son implantation territoriale facilite le lien avec la société civile. Il est heureux que ce guide vienne consacrer cette place incontournable et mobiliser

évidence à interroger L’animateur pro travaille souvent avec des travailleurs/ses sociaux-les et il partage avec elles/eux un certain nombre de techniquesMais des différences importantes :Métiers du travail social (Assistant.es de travail social, éducateurs/trices spécialisé.es etc.) définis par des DE (diplômes d’Etat, délivrés par le ministère des Affaires sociales). On ne peut pas les exercer sans (métiers à exercice réservé)Spécialisation par publics : famille pour les assistant.es de service social

de la formation professionnelle : le dispositif accueil accompagnement ouvre droit au dossier dit « non rémunéré » et le module des acquisitions au dossier dit « rémunéré ». 2. Circulaire d’application dans les services et les établissements de la PJJ de la mesure d’activité de jour en date du 18 février 2008 3. Inspection académique du ressort 4. Les modalités d’accueil des mineurs hors mandat judiciaire au pénal en UEAJ sont précisées dans le cahier des charges des UEAJ BOMJL n°2012-04 du 30 avril

enfants sous assistance éducative. Lors de ce placement ils bénéficient d’un cadre contenant et sécurisant et suivent une scolarité ordinaire ou une formation professionnelle (contrat d’apprentissage). L’internat dispose de 12 place dont une place PJJ (Protection Judiciaire et de la Jeunesse) réservé au placement d’urgence. La vie en collectivité, la confrontation au cadre du placement et à une autre forme d’autorité créent parfois des ambiances pesantes (violences, injures, fugues, agressions

École Nationale de Protection Judiciaire de la Jeunesse Pôle Territorial de Formation de PANTIN Formation initiale Éducateur de la Protection Judiciaire de la Jeunesse Etude de Pratique Educative Stage de professionnalisation de 2ème année Rapport présenté par : JOURDAN Anaïs Promotion 2011/2013  SOMMAIRE

actions partenariales efficientes et des freins que j’ai pu rencontrer dans cette situation. LE CADRE INSTITUTIONNEL 1. Cadre institutionnel : Cette association régie par la loi 1901 a été créée en 1982 suite à des constats partagés entre éducateurs de rue et le CMPP (Centre MédicoPsychoPédagogique) de Saint-Raphaël, au sujet des problématiques et besoins sur les quartiers de Fréjus et environs. Elle a pour objectif d’aider les jeunes en souffrance, marginalisés, et pris dans des processus

bénéficient pas nécessairement de l'excuse de minorité. Les mesures ou sanctions éducatives et les peines sont décidées suivants les cas par le juge des enfants, le tribunal pour enfants ou la cour d’assises des mineurs. Les éducateurs de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) interviennent ensuite dans le suivi des décisions prises. Les mesures éducatives ont pour but de protéger, d’assister, de surveiller et d’éduquer le mineur. Parmi celles-ci figurent notamment l'avertissement, la mise sous

crime : en dessous de 16 ans ça va être le tribunal pour enfant et a partir de 16 ce sera la cours assise, il réuni les jurés, peine supérieur à 10 ans (perpétuité avec une sortie de peine incompressible de 30 ans). Travail quotidien d'un éducateur de la PJJ : l'origine de la prise en charge est un fait (délit et crime). A partir du moment ou le procureur (magistrat qui est en relation avec la gendarmerie et la police, joignable 24h/24) est destinataire d'une procédure qui met en cause un mineur

zéro » en 2002 a, en réalité, par ses multiples réformes de l’ordonnance de 1945, aggravé les dysfonctionnements. Il faut aujourd’hui engager un grand débat national à partir de constats partagés entre tous les acteurs (élus, policiers, magistrats, éducateurs…) pour aboutir à une refonte efficace de la justice des mineurs autour de trois objectifs : • le respect du principe fondamental selon lequel un mineur ne peut être jugé comme un majeur, • la lisibilité de l’échelle de sanction permettant une