éducateur Pjj

ou d’activités professionnelles journalières. Le DIPC reprend ces obligations et défini avec l’adhésion du jeune et de sa famille, des objectifs et des axes d’évolution et de travail favorisant ainsi la réussite de ce projet personnalisé. Les éducateurs sont chargés d’accompagner le jeune dans ses démarches d’informations (C.I.O, etc.) et de recherches (mission locale, etc.) et d’encadrer, notamment grâce à des conventions de stage ou de contrat professionnel, ces prises d’initiatives envers des

éducation, recueille les propos des directeurs des associations qui organisent ces types de séjour. Depuis 2003, ces associations sont surveillées suite à un décès d’un jeune de 15 ans lors d’un séjour au Niger en raison de violences infligés par son éducateur. Ces trois documents permettent d’aborder le thème des séjours de rupture sous trois axes : Qu’est-ce qu’un séjour de rupture ? Quels sont les problèmes et les risques rencontrés ? Comment un séjour de rupture est-il mis en œuvre ? Le séjour

sociale et un adjoint administratif) - Un espace rencontres (un éducateur spécialisé et deux employés) et un espace prévention (une assistante sociale de travail social collectif et un éducateur spécialisé de quartier) - Une unité d’AEMO judiciaire (un responsable, 4 assistantes sociales, 7 éducateurs spécialisés, 2 secrétaires et un instituteur vacataire) - Une unité d’aide à domicile (un responsable, 2 assistantes sociales, 2 éducateurs spécialisés, une secrétaire, un adjoint administratif, un conseiller

.... 124 3 Introduction Dans l’exercice de notre fonction de chef de service éducatif dans une Maison d'Enfants à Caractère Social, accueillant des adolescents, nous avons été conduit à travailler avec différents intervenants professionnels (éducateurs, enseignants, conseillers d'insertion, thérapeutes…) venant d’horizons institutionnels divers, ceci dans le but d’assurer la prise en charge des jeunes qui nous sont confiés dans le cadre des missions de la protection de l'enfance. C'est cette expérience

Dominique Versini, défenseure des enfants, Jean-Louis Daumas, directeur de l'EN-PJJ...), et des articles sur le droit des mineurs, les différents types de sanction, l'enseignement dans les Etablissements pénitentiaires pour mineurs, etc. Pour vous procurer ce numéro, contacter le Genepi au 01.45.88.37.00 ou par e-mail: publication@genepi.fr Les réponses de Roland Coenen David Taïeb - Jeu 14 mai 09, 18h43 Roland Coenen, éducateur, psychothérapeute, auteur de Eduquer sans punir (Erès, 2004), nous autorise

aux jeunes en situation de handicap et de faire évoluer la notion de droit à la dignité pour permettre à tous et toutes d’exercer leurs droits humains et citoyens de façon éclairée. C’est ainsi que je me suis inscrite à la formation de moniteur éducateur à l’ITS ERASME en contrat d’apprentissage au SESSAD CAP Midi-Pyrénées de L’ARSEAA, plus précisément sur les antennes de Toulouse et Montauban. Ce lieu d’apprentissage à du sens pour moi car il accueille en partie des jeune avec des troubles des

de vie. Texte de référence : * Article 43 à 46 du Code de l’action sociale et des familles et suivant du Code civil relative à la protection de l’enfance (ASE) * L’ordonnance du 2 février 1945 relative à l’enfance délinquante (PJJ) * Loi rénovant l’action sociale et médicosociale du 2 janvier 2002 * Loi de réforme du 5 mars 2007 relative à la protection de l’enfance et de la prévention de l’enfance en danger Financement :

particulière applicable aux mineurs. Elle est composée de trois magistrats professionnels et d'un jury populaire. Ces juridictions travaillent en collaboration avec le procureur de la République, les services de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) et les avocats. Le mineur est considéré comme responsable pénalement dès qu'il est "capable de discernement". La jurisprudence française fixe cet âge à 8-10 ans environ, âge à partir duquel il est susceptible d'être condamné. Les peines sont adaptées

permettre de qualifier la réalité et la nature du danger encouru par le ou les mineurs dans leur contexte de vie. Elle peut valider ou infirmer les hypothèses posées à l'origine par l'information préoccupante. Elle est en général exercée par des éducateurs ou des assistants de service social et recherche la collaboration de la famille tout au long de la mesure. L'intervention judiciaire dispose quand à elle d'une mesure d'investigation et d'orientation éducative qui a deux objectifs principaux: l'aide

actifs : celui qui concerne le placement du jeune et celui qui prend en compte le niveau professionnel du jeune. Pour le placement, les partenaires sont l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE), le juge pour enfant et la Protection Judiciaire de la Jeunesse (PJJ). Ces enfants sont confiés par le juge au Conseil Général et, par conséquent, à l’Aide Sociale à l’Enfance. L’ASE a en charge le dossier du jeune car elle le suit durant tout son placement et dans chaque institution où passe le mineur. Au niveau professionnel