Vocatif

chéris", 16 : "flots harmonieux") et la métaphore du navigateur (vers 3, 4, 35) renforce le sentiment d’impuissance : l’homme est un marin qui navigue sur l’océan des âges et voudrait jeter l’ancre pour arrêter le temps.  Le poète apostrophe ("ô" vocatif -> invocation) tous les éléments de la nature pour qu’ils témoignent du passé, des sentiments du poète -> le réseau lexical de la nature (vers 5, 9, 11, 18, 49, 54-55, etc.). L’apostrophe "Ô Lac !", caractérisée par l’usage de la majuscule donne au

expressive ”) ne doit pas être prise ici dans son sens habituel, qui renvoie à un affect humain. Elle n'a, en fait, rien à voir avec l'émotion. Tout message, même le plus froid, met en évidence la condition de son émetteur. » Fonction conative (fonction vocatif ou impératif du récepteur) - La fonction conative est dirigée vers le récepteur. Elle a une fonction impérative qui nous aide a dirigée l’action des gens. Par exemple, « mangez ! »,« sortez ! ». Fonction phatique (mise en place de la communication)

cheveux ! ». L’anaphore de cette expression donne à la femme une image d’idéal, idée renforcée avec les points d’exclamation. Pour finir, dans le texte C, Baudelaire célèbre la femme à travers sa chevelure au v.1 et v.2 avec l’utilisation du « ô » vocatif avec « ô toison », « ô boucles » et qu’il honore la femme au v.10 avec « ô mon amour ! ». De plus, dans le texte A, Du Bellay célèbre la femme avec la couleur de sa chevelure qui est « d’or ». Nous pouvons donc dire que cette couleur comme le soleil

(l’utilisation du plus que parfait insiste sur le caractère définitif et irrémédiable de la situation) - accumulation questions de rhétoriques pour dénoncer la démence de la passion, succession d’interrogations directement adressées à Pasiphaé (emploi du vocatif) (Quo tibi, Pasiphae, pretiosas sumere vestes ? v ) - évocation de conseils faisant appel à la raison de Pasiphaé (Sive virum mavis fallere, falle viro ! v ), progression dans l’immoralité. - narration de la faute, emploi du passif pour

qui meurt. Comme pour One Piece cet univers nous offre une diversité de planètes d’espèce a découvrir que c’est un voyage vers l’inconnue Enéidelieux : point grammaire :-Troie -nominatif=sujet/attribut du sujet-Carthage -vocatif=apostrophe -Hespérie -accusatif=COD-Italie -génitif=CDN-Lavinium -datif=COI/COS-Rome -ablatif=complément circonstancielpersonnages importants : les auteurs :-Énée -Virgile(70-29av J.C) -Anchise -Eiichiro Oda(né

chéris", 16 : "flots harmonieux") et la métaphore du navigateur (vers 3, 4, 35) renforce le sentiment d’impuissance : l’homme est un marin qui navigue sur l’océan des âges et voudrait jeter l’ancre pour arrêter le temps. Le poète apostrophe ("ô" vocatif -> invocation) tous les éléments de la nature pour qu’ils témoignent du passé, des sentiments du poète -> le réseau lexical de la nature (vers 5, 9, 11, 18, 49, 54-55, etc.). L’apostrophe "Ô Lac !", caractérisée par l’usage de la majuscule donne au

hyperbolique qui montre sa folle passion et “à ce dieu que je n’osais nommer” révèle la place réelle d’Hippolyte dans sa vie il est son dieu. Divinisation du jeune homme. MOUVEMENT 4 • V21 : “je l’évitais partout” Phèdre combat cet amour • Vocatif “ô” et exclamation “comble de misère !”V21-V22 “mes yeux les retrouvaient dans les yeux de son père” ironie du sort elle cherche à combattre cet amour pour le fils mais il lui est continuellement rappelé dans les traits du père. Même jusque dans

COLLE LATIN ILes Troyennes, Sénèque AI, s1 (v29 à 66)IntroLes Troyennes de Sénèque s’ouvre sur un monologue d’Hécube, femme de Priam et mère de Paris. Elle commence par raconter l’histoire de la chute de Troie et amorce son récit par ceci : Columen eversum occidit pollentis Asiæ : Troie est donc tombée, elle est morte, c’est une ville qui appartient à présent au passé. Mais alors puisque cet évènement bien connu s’est déjà produit, quels sont les enjeux de cette pièce ? Ici

+ apostrophe. - Apostrophe : « O jeunesse, jeunesse » : Zola interpelle la jeunesse. 2. L’emploi du registre oratoire -Zola se fait orateur et manie habilement la rhétorique (art de parler) pour convaincre : - Emploi de la forme oratoire « o » (vocatif / apostrophe) -Questions rhétoriques : EX : « N’est-ce donc pas là une aventure qui doive soulever ton enflammée passion du droit ? » Ici Zola accuse par exemple la jeunesse de ne pas se soucier de la justice.   -Emploi de phrases injonctives et exclamatives :

une chaumière » (v.21). L’amour semble avoir ce pouvoir : métamorphoser le monde et le rendre féerique. Victor Hugo nous tente encore en usant du registre lyrique. Il multiplie les invocations nombreuses qui vont jusqu’à se parer parfois du « Ô » vocatif (14). Il évoque tous les sens humains : la vue dans « Avez-vous vu ? » (v.5), l’ouïe dans « On entend dans les prés » (v.22), l’odorat dans « C’est le mois où les fraises sont mûres » (v.25), le goût dans « Lèvre, cherche la bouche ! » (v.11) et le