Vocatif

chéris", 16 : "flots harmonieux") et la métaphore du navigateur (vers 3, 4, 35) renforce le sentiment d’impuissance : l’homme est un marin qui navigue sur l’océan des âges et voudrait jeter l’ancre pour arrêter le temps. Le poète apostrophe ("ô" vocatif -> invocation) tous les éléments de la nature pour qu’ils témoignent du passé, des sentiments du poète -> le réseau lexical de la nature (vers 5, 9, 11, 18, 49, 54-55, etc.). L’apostrophe "Ô Lac !", caractérisée par l’usage de la majuscule donne au

comique de ce récit ? I. Les préliminaires et la révélation A. Une scène théâtralisée - Importance du discours direct -Jacques en posture de suppliant, implore Marguerite de lui apprendre ce qu’est une femme. Relation maître/ élève se rejoue ici. -Vocatif exclamatif « Ah ! dame Marguerite…) crée une attente. Point d’appel du comique. -Tournure archaïsante  Désignation de la « dame » : rappel de la tradition de la fin’amor des romans médiévaux (ds l’amour courtois, le chevalier est soumis à sa dame)

humaine, elle l’accompagnait dans toute son existence, ne le quittait pas ; il entretenait avec elle une relation étroite ; ils formaient un couple indissociable ; elle lui appartenait, d’où l’emploi du possessif «ma». Aussi, malgré la solennité du «ô» vocatif, qui introduit le personnage allégorique, il s'adresse à elle avec une gentillesse affectueuse, sur un ton familier, en usant de doux impératifs. C’est qu’elle est dotée d’un caractère : elle semble agitée, mal à l’aise, impatiente, exigeante ; elle

chéris", 16 : "flots harmonieux") et la métaphore du navigateur (vers 3, 4, 35) renforce le sentiment d’impuissance : l’homme est un marin qui navigue sur l’océan des âges et voudrait jeter l’ancre pour arrêter le temps.  Le poète apostrophe ("ô" vocatif -> invocation) tous les éléments de la nature pour qu’ils témoignent du passé, des sentiments du poète -> le réseau lexical de la nature (vers 5, 9, 11, 18, 49, 54-55, etc.). L’apostrophe "Ô Lac !", caractérisée par l’usage de la majuscule donne au

la femme est très valorisant : elle est idéalisée par le poète :  Métaphore des astres : « Etoile de mes yeux, soleil de ma nature ». insistance car occupe le vers entier, parallélisme de construction et les mots portent l’accent  Emploi du vocatif 2 fois : « ô la reine des grâces » 42, « ô ma beauté » 45  Amour marqué par l’emploi de l’adjectif possessif « mon », « ma » associé à un terme très fort : « passion » 40 . mise en valeur par la place à la rime, fin de strophe et diérèse : passi-on

ces seuls lieux clos (que sa voix peut donc remplir, ce que les diphtongues du vers, «em», «on», «om», «an», «oi», impliquent) la possibilité d’exprimer son regret de sa patrie qui est donc ainsi identifiée à une femme aimée. Le fait que le vocatif «ô cruelle» soit placé à la fin du vers lui donne la résonance de la rime. L’indignation est accentuée par les répétitions de «France», de «réponds», l'impératif évoquant l'urgence et la souffrance. Il faut savoir que «querelle» a ici le sens

personnage qui prend conscience de la peur : "et la peur de la mort me fait déjà mourir". On aperçoit alors une caricature d'un personnage tragique, car Clindor a peur de mourir, il ne veut pas mourir par amour, bien qu'il en donne l'impression. Par le vocatif, il garde l'image d'Isabelle pour éviter la souffrance. II) Un amour désintéressé • • • • • • • Champ lexical du bonheur : "délice", "juste", "bonheur", "glorieux", "heureux". L'héroïsation est vite regrettée vers 1256 : "je meurs

n peut d'abord noter que Primo Lévi, dans ce poème, nous interpelle véritablement avec la présence du vocatif « vous qui » et d'injonctions comme l'impératif présent « considérez » « n'oubliez pas » ou du subjonctif « s'écroule ». En somme, on trouve dans ce texte une écriture mimétique : le but de Primo Lévi est de marquer le lecteur ; on l'est grâce au texte et à ce qu'il raconte d'horreurs mais aussi avec l'écriture qui s'adapte au but de l'auteur : beaucoup de parallélismes, d'anaphores qui gravent

humaine, elle l’accompagnait dans toute son existence, ne le quittait pas ; il entretenait avec elle une relation étroite ; ils formaient un couple indissociable ; elle lui appartenait, d’où l’emploi du possessif «ma». Aussi, malgré la solennité du «ô» vocatif, qui introduit le personnage allégorique, il s'adresse à elle avec une gentillesse affectueuse, sur un ton familier, en usant de doux impératifs. C’est qu’elle est dotée d’un caractère : elle semble agitée, mal à l’aise, impatiente, exigeante ; elle

Ensuite il ne comprend pas comment on peut être malheureux alors qu’il trouve l’appartement splendide. Finalement, il fait une révérence à qqun qui ne le méritait pas ce qui va provoquer de l’énervement chez d’autres. Q3 : Ligne 19 en utilisant le vocatif. En Conclusion, le Rouge et le Noir est un roman de formation (type de roman avec beaucoup de succès au 19ème siècle) => Règles sur les codes sociaux et sur les points de vues humain. B) D’un texte à l’autre 1 : Maupassant, « Bel-ami », 1885 (p154)