Vocatif

début du repas, au chapitre 36, lorsque Trimalcion interpelle son écuyer par le mot «Carpe». Encolpe, s'étonnant que Trimalcion répète plusieurs fois ce mot apprend d'un autre convive que leur hôte a appelé son écuyer tranchant du nom de Carpus (vocatif: Carpe, impératif de carpere: «couper»), ce qui lui permet ainsi, en un seul mot, d’appeler et de commander ; et des allusions : le plat présentant un porcus Troianus, un porc dont le corps contient des victuailles, est ainsi dénommé par référence

infériorité et de sa dépendance ne se limite pas à une stratégie destinée à flatter l’amour-propre de l’amant. Habile séductrice, elle se montre tour à tour cajoleuse et autoritaire avec l’être aimé. Cajoleuse, elle lui témoigne sa vénération par le tour vocatif « ô âme bien-aimée » (v.4), et par un voussoiement respectueux, inhabituel dans la poésie amoureuse : « Ne me laissez par si longtemps pâmée » (v.5). Autoritaire, elle rappelle ses droits sur lui, notamment par une utilisation insistante du présent

heureux amants » → incipit ↔ excipit : à chaque fois deux mots pour exprimer l’amour. * v. 65 : introduction au discours de l’auteur qui va vers une généralisation due au récit des 2 pigeons. → du particulier au général → apostrophe (vocatif → rhétorique) aux lecteurs renforcée par « heureux » * rythme 2//4 du v.65 → rythme croissant II. L’amour, épreuve soumise aux aléas de la Fortune 1. Marques de la fatalité : désignations du pigeon voyageur * v.31 « le voyageur »

poignardée par la violence des combats et la souffrance des amis partis au front de cette 1ère Guerre Mondiale, tandis que le jet d’eau suggère les pleurs du poète lorsqu’il pense à ses amis « peut-être […] morts déjà ». Le « O » majuscule du bassin – vocatif – attire l’attention des lecteurs sur ce néant de la guerre, œil du cyclone de la « sanglante mer » personnifiée par où s’en sont allés tous les amis disparus. Il peut aussi symboliser la bouche du poète, grande ouverte pour déplorer la perte des

le narrateur) qui hésite entre une explication logique et une explication surnaturelle. | Lyrique | * Marques de la première personne (forte implication de celui qui parle) * Marques d’expressivité (phrases exclamatives et interrogatives, vocatifs) * Musique de la phrase (harmonie rythmique et sonore) * Rhétoriques amoureuses : personnifications, anaphores, comparaisons, métaphores, hyperboles, antithèses. * Ponctuation expressive forte : exclamations, points de suspension. * Champ

chéris », 16 : « flots harmonieux ») et la métaphore du navigateur (3, 4, 35) renforce le sentiment d’impuissance : l’homme est un marin qui navigue sur l’océan des âges et voudrait jeter l’ancre pour arrêter le temps. Le poète apostrophe (« ô » vocatif → invocation) tous les éléments de la nature pour qu’ils témoignent du passé, des sentiments du poète → réseau lexical de la nature « ô lac » (5, 9, 11, 18, 49, 54-55, etc.). Le vers 64 (« Ils ont aimé ») est la concentration de tout ce qui a

Le poète choisit le discours direct, le discours intérieur du personnage qui correspond à une voix discordante dans le beau concert du printemps. C’est une autre antithèse : à « l’orgie silencieuse » répond le cri solitaire : « Ah ! Déesse ! » au vocatif exclamatif. On a pu voir que le thème du désir, associé au printemps et à la femme, peut être actualisé selon des choix très variés. Pourquoi ne pas dire l'ardente préférence pour la sensualité de Marie Krysinska ? Plus

métaphorique pour l’écoulement du temps et, biensûr, la métaphore in absentia et, en même temps, l’hyperbole « océan des âges », donnée au temps et, de la même manière, à l’eau. L’auteur fait aussi appel aux invocations rhétoriques ( « ô » vocatif ) désirant que la nature, notamment le lac, soit le témoin de la douleur des deux amoureux. On bien saisit la présence des métonymies ( « roches profondes » ) qui aident le poète à mieux exprimer ses sentiments ( par l’entremise de la nature ). Le

regard des autres "toi que les fenetres observent". Il veut exprimer ses sentiments. Peu apres, on entends parlé de l'enfance pieuse du poete. Ce court pasage autobiographique se raproche de la tradition lyrique. L'etat lyrique est appuyé par le vocatif "ô" souvent utilisé dans la litterature classique "ô tour eiffel" "ô christianisme" C. le role de la religion Bien qu'etant athée, apollinaire a choisi une place importante pour la religion dans son poeme. Il crée un rapprochement entre le poete

s’influence. C’est une fonction très utilisée dans la publicité : faire un slogan accrocheur pour avoir envie d’acheter ce produit. Cette fonction est liée à une autre approche qui est La théorie des actes de langage. Des formes grammaticales comme le vocatif ou l’impératif permettent l’instanciation de cette fonction. De la même manière que les verbes dits performatifs (Cf : How to do things with words, Austi, 1962). Ces verbes mettent en évidence 3 types d’actes : - L’acte locutoire : acte de prononcer