Utopie Au 18ème

société où les valeurs économiques supplantent bon nombre de valeurs humaines, humanistes et morales, les trop rares moments de fraternité peuvent nous paraître vains. La fraternité peut devenir une illusion, la liberté une chimère et l'égalité une utopie. Mes FF∴ , élevons nos cœurs en fraternité et que nos regards se tournent vers la Lumière. R150-1 La Fraternité 9 2 Fraternité Maçonnique : Droits et Devoirs « Mon Frère, car dorénavant vous ne recevrez plus d’autre qualification parmi nous

il faut donc trouver un contrat pour éviter des affrontements permanents. L’essentiel dans ce contrat c’est que tous les hommes participent au pouvoir pour que personne ne n’en abuse = conceptualisation d’une démocratie directe. Mais cela est une utopie), Hobbs (il faut un contrat originel clair avec un maintien important de l’ordre. Un état sans ordre ne sert à rien), John Locke (importance du contrat social toujours avec le maintien de l’ordre et il constate qu’il faut une certaine liberté et propriété)

citoyen : on étudie le consentement, la validation mais pas le vote , les décisions du souverain. C'est la révolution qui a tout changé en faisant intervenir une nouvelle culture de la citoyenneté. On a un saut entre l'Empire romain et la fin du 18ème siècle ( même si le peuple n'est jamais envisagé de manière individualisé, on a au Moyen-Age des fervents démocratiques mais qui ne s'exercent qu'en milieu ecclésiastique et pas de remise en cause de la souveraineté. : Dans l'Evangile " les premiers

une pénurie pour commencer (de l’or et d’argent). Une classe nouvelle de banquier se dvp. Il y a un système d’échange en expansion à partir d’un Etat. Ce système d’économie monde est dirigé par les villes Italienne surtout (Vienne, Florence…) et au 18ème la France. Comme on manque d’or et d’argent on va faire des conquêtes à cuba ; caraïbes, Amérique centrale, Afrique, Asie. Il y a des traités entre Portugal et Espagne. Et par la suite, ces pays vont être sursemé. C’est une période de raréfaction

est malade. C’est alors qu’apparaîtront de nombreuses utopies, élaborant des modèles capables de lutter contre le machinisme. Une vision l’emportera: « le courant progressiste » (3). Ce mouvement est lié à la planification des villes, à la volonté de maîtriser l’organisation de la cité et du territoire. De nos jours, confrontés à la complexification croissante du phénomène urbain, à l’échec de la ville linéaire, l’heure n’est plus aux utopies mais au pragmatisme. L’urbanisme se cherche, on parle

spontanées de générosité : « il veut se jeter après lui dans la mer […] ». Les oscillations de sa volonté font sourire, et peut-être ( terme nuancé ) pourrait-on voir, dans son impulsivité ingénue, une satire des âmes sensibles, tellement à la mode au 18ème siècle. ( histoire littéraire ) Quant à Pangloss, il est encore une fois raillé pour son optimisme irréductible, et surtout pour le vide et l’absurdité de sa réflexion qui se donne des allures de démonstration rationnelle – la répétition du verbe « trouver »

progrès médicaux, il y a une crise de l’hôpital qui sombre dans la misère, Cet épisode de santé libérale ne dure que 2 à 3 ans, les pouvoirs publics comprennent qu’ils ne peuvent pas traiter le service médical comme un secteur marchand, Cette utopie libérale est arrêtée et on restructure le secteur de la santé avec notamment la création des écoles de santé, ancêtres de nos facultés de médecine, à Paris, Montpellier et Strasbourg, la reconstruction du patrimoine des hôpitaux,

2) L’opposition entre béatitude et luxure dans la philosophie médiévale 3) La conciliation entre bonheur et plaisir dans l’humanisme de la Renaissance 4) La suspicion du bonheur au 17ème siècle (Pascal et Spinoza) 5) L’exaltation du plaisir au 18ème siècle (Diderot et Sade) 6) La conscience malheureuse dans la philosophie du 19ème siècle 7) La promesse du bonheur et du plaisir dans la société de consommation. Conclusion : La vision bouddhique du bonheur 1) La polarité entre bonheur

spontanées de générosité : « il veut se jeter après lui dans la mer […] ». Les oscillations de sa volonté font sourire, et peut-être ( terme nuancé ) pourrait-on voir, dans son impulsivité ingénue, une satire des âmes sensibles, tellement à la mode au 18ème siècle. ( histoire littéraire ) Quant à Pangloss, il est encore une fois raillé pour son optimisme irréductible, et surtout pour le vide et l’absurdité de sa réflexion qui se donne des allures de démonstration rationnelle - la répétition du verbe «

scène au théâtre par exemple. Petit à petit, l’automate est perçu comme pouvant servir de substitut à l’homme ; c’est d’ailleurs à l’époque moderne que seront créées les machines à calculer et les métiers à tisser. → L’âge d’or de l’automate est le 18ème siècle. Une nouvelle littérature voit le jour, tributaire d’une conception mécaniste du monde et de l’homme. L’on assiste à un tournant épistémologique ; l’on passe d’un automate perçu comme un outil ludique à l’automate perçu comme un outil permettant